Hésiode

ce a stat la baza acestui material difuzat ulterior în întreaga literatură, pe baza legii imanente conform căreia „degradarea sensului duce la conservarea materialului” (Eliade). Nu dintotdeauna funcţia Muzelor a fost atât de bine delimitată ca la Hesiod, cel ce stabileşte cu cea mai mare autoritate atribuţiile zeiţelor, în funcţie de diferitele forme de manifestare a spiritului. Cu cât mai multe atribute concrete sunt însă înzestrate Muzele, ne spune Decharme, cu atât ele par a se depărta de o idee

communauté, l'Empire. Page 8 2) LES MARIAGES GRECS Page 9 A) LES CONDITIONS Elles sont fixées par un accord entre celui qui donne sa fille et celui qui la reçoit comme épouse. Tout mariage résulte d'un arrangement entre deux hommes. D’après Hésiode (poète grec), le mariage doit s’effectuer pour les hommes autour de la trentaine. La femme, pour se marier, doit être pubère depuis quatre ans. L’âge du mariage arrive donc pour elle vers la seizième année. Lorsqu’un père a décidé de marier sa fille

changer de voiles. Par ailleurs, Aphrodite serait apparue à Ariane pour la réconforter en lui annonçant la nouvelle de ses noces proches et la coiffer d'une couronne d'or que par la suite les dieux changeront en constellation pour plaire à Dionysos. Hésiode (Théogonie) ajoute qu'Ariane fut elle-même transportée au ciel, Zeus l'ayant rendue immortelle afin de complaire à Dionysos. ("Dionysos aux cheveux d'or, de la blonde Ariadne, de la fille de Minos, fit son épouse florissante, et le fils de Cronos

a utilité à cette création, qu'elle profite à quelqu'un. Ainsi défini, le travail peut tout d'abord apparaître comme une contrainte. Pour les Grecs en effet, travailler c'était s'aliéner au service de la matière ou d'autrui (notons toutefois que Hésiode a fait la louange du travail, faisant de celui-ci un moyen d'existence plus honorable que la dépendance de l'oisif car il permettait une émancipation par rapport à la société). Cf. l'étymologie du mot travail : "tripalium" = instrument destiné à

virginité. On croyait, au Moyen-Age, que les coquillages étaient fécondés par la rosée. Botticelli n'éprouvait visiblement aucun scrupule à employer le même motif pour deux thèmes opposés Dans sa Théogonie, écrite au VIIe siècle avant Jésus-Christ, Hésiode parle lui aussi d'Aphrodite Anadyomème, c'est à dire sortie des eaux : lors du combat des dieux, Chronos renversa et émescula son père, Ouranos, le ciel. Lorsque la semence de ce dernier se répandit dans les flots, la déesse de l'amour naquit de l'écume

mentale. Il écrit contre son enfance. Il démystifie / hôte / dénonce le mythe de l’enfance heureuse. Il était élevé ds le mythe d’être un être exceptionnel. « Il m’apprit le nom de ces hommes illustres ; seul, je m’en récitais la liste, de Hésiode à Hugo, sans une faute : c’étaient les Saints et les Prophètes. » Son gd-père avait un véritable culte et a voulu lui transmettre cela. Il vit avec des absents et se rend compte après qu’il ne sait mm pas écrire. Aux yeux de Sartre, ce n’est pas

comme Homère puis par écrit bien plus tard vers le 7ème siècle avant J-C. * Cela explique une des particularités de la mythologie, c’est qu’il n’y a pas d’unification des légendes et que celles-ci ne concordent pas nécessairement. * Pour Hésiode la mythologie est une manière de penser et d’observer l’univers. Tous les mythes ont une explication logique par rapport à l’observation du Monde. (ex Ouranos à la fois au dessus et à côté de Gaïa qui enfantent ensemble les Titans: éléments du Monde

vénérables déesses ». On les appelle aussi χθόνιαι θεαί / chthóniai theaí, « déesses infernales ». Elles correspondent aux Furies (en latin Furiæ ou Diræ) chez les Romains. Ascendance Filles de Gaïa et du sang d'Ouranos mutilé d'après Hésiode, ce sont des divinités chtoniennes. Leur nombre reste généralement indéterminé, quoique Virgile, s'inspirant sûrement d'une source alexandrine, en dénombre trois : * Tisiphone (la Vengeresse du meurtre) ; * Mégère (l'Ensorceleuse) ;

Mnémosyne et Clio - Mémoire et Histoire ; deux fonctions différentes, voire opposées La mythologie nous dit que c’est après une longue fornication avec Zeus que Mnémosyne, déesse de la Mémoire mit au monde les neuf muses, parmi lesquelles Clio, dont Hésiode disait qu’elle annonçait aux mortels ce qui fut et ce qui sera. L’Histoire est donc fille de la mémoire ! Pourtant, en fait tout les oppose. « L’histoire est une pensée du passé et non une remémoration ; elle périodise et met à distance, universalise

preuve d’une maîtrise de l’art du discours impliquant que, génie mis à part, il avait reçu, sous une forme ou une autre (préceptes empiriques ou apprentissage ordonné) un savoir élaboré. On peut constater la même chose chez l’autre poète fondateur, Hésiode. La rhétorique des sophistes et des orateurs[modifier] Mais c’est au Ve siècle que les Grecs situent l’invention de la rhétorique proprement dite. Ils l’attribuent à deux Siciliens, Corax et son élève Tisias, personnages dont l’existence réelle