Hippias majeur

Présupposés notionnels: Demander si penser est nécessaire pour avoir des opinions, c'est distinguer a priori " penser  " et " avoir des opinions " en faisant de l'un (penser) la condition (à envisager du point de vue de sa nécessité) de l'autre. Cf Hippias Majeur: Le Beau est père du bien, donc le beau ne saurait qu'être autre que le bien. Idem ici. Repérage de l'enjeu de la question Dans la question posée, il y va du passage de l'opinion au tribunal de la raison et donc d'une mise en question de la

exemple que, dans un dialogue de Platon consacré à la recherche de la définition de la beauté, l’Hippias majeur, après avoir vu plusieurs de ses tentatives de définition du beau réfutées par Socrate, Hippias finit par proposer la définition suivante de la beauté : « Le beau… c’est l’agrément qui nous vient de l’ouïe et de la vue ». Mais l’apparente simplicité de la définition proposée par Hippias cache en réalité bien des difficultés, dont au moins ces deux principales : tout d’abord, comment rendre

origines sociales et géographiques : Périclès semble prédestiné dès sa naissance à un rôle de citoyen hors pair. Membre par sa mère de la grande famille aristocratique des Alcméonides, qui domine la vie politique depuis qu'elle a chassé le tyran Hippias, il est le fils du stratège Xanthippos, le vainqueur de la flotte perse au cap Mycale, et d'Agaristê, la nièce du grand Clisthène, fondateur de la démocratie athénienne. Le jeune Périclès doit à la richesse de sa famille d'avoir pour précepteurs des

sur soi. Ce serait un repli sur notre subjectivité. Néanmoins cette conception de plaisir ne va pas de soi. Dans Hippias Majeur, sur la Beauté de Platon on y voit Socrate s’entretenir avec Hippias et lui demander « qu’est ce que la beauté ? » Hippias donne une réponse mais celle ci est fausse car il recherche la beauté dans un univers matériel . Ex : 1° réponse de Hippias : « la beauté c’est une belle jeune fille » La beauté s’incarne alors dans quelque chose de sensible, de

inciter d’autres à faire de même et de fil en aiguille entrainer la désorganisation de la vie citoyenne. Ce n’était pas la première fois que Socrate suivait les lois de la cité plutôt que ses idées. En effet déjà dans Hippias majeur Platon relatait un dialogue entre Socrate et Hippias qui s’interrogeait sur la justice d’une loi. A cela Socrate avait répondu « mais voyons: ceux qui font des lois, ne les font-ils pas pour le plus grand bien de l’Etat? Et sans ce bien, n’est-ce pas impossible d’être bien

I. Intro : II. Texte 1 : Hippias majeur, Platon 1. Qui parle ? a. Hippias Le sophiste, de sophos = savant b. Socrate Le philosophe, ami de la sagesse Socrate = rapporté par Platon 2. Le problème de l’ignorance a Socrate conscient de sa propre ignorance Pythie : « Socrate est le plus sage des hommes » Socrate n’y croit pas, parle avec des ‘savants’ et se rend compte qu’ils sont ignorants de leur propre ignorance (illusion). Illusion est la pire chose pour un philosophe car elle bloque toute

Commentaire de document : « Les réformes de Clisthène au témoignage d’Aristote » Les réformes de Clisthène marquent un tournant majeur dans l’histoire de la cité athénienne et, par extension, du monde occidental puisqu’elles préfigurent le développement de la démocratie comme régime politique. Elles interviennent en 508/7 av J.C., entraînent un renforcement du pouvoir du démos, le peuple, au sein de la cité et représentent ainsi une charnière entre l’époque archaïque et l’époque classique, entre

humains, cela varie selon les individus. Référence : Hippias Majeur de Platon. Hippias dialogue avec Socrate. Et Socrate demande à Hippias “qu’est-ce que tu entend par la beauté?” Hippias répond à socrate, la beauté c’est cette belle jeune fille, c’est une belle maison (il prend des cas particuliers). Socrate dit à Hippias de ne pas lui donner des exemples mais de définir l’essence de la beauté. C’est un dialogue aporétique, Ni Hippias ni Socrate n’arrivent à défendre la beauté. Aporétique c’est

beauté est une illusion elle peut donc être utilisé comme outil de manipulation. c) Platon traduit le beau comme n’étant qu’ornement. Une chose peut donc en embellir une autre, faisant disparaitre sa valeur initiale. - Hippias Majeur , Platon La beauté finalement n’est qu’une illusion. Les pensées d’une personne au regard d’une chose peuvent être influencé, modifiant leur perception du beau qui n’est plus digne d’être admiré. Cependant, le beau est une

collective). - L’équité ou le tout prime sur le particulier. ❖ Comment devenir un citoyen grec ? - soit de naissance de parents athéniens qui sont mariés - soit après avoir fait le service militaire - en étant majeur - il faut être un homme Les femmes et les esclaves en Grèce n’ont pas de capacité juridique, de place dans la cité, ils ne peuvent être citoyens mais peuvent en revanche transmettre la citoyenneté (pour la femme). On peut aussi perdre