Hobbes Et Etat Gendarme

classique, l’évolution des croyances politiques s’est faite du libéralisme triomphant du XIXème siècle aux idées socialistes du XXème siècle. A chacune de ces étapes de l’idéologie politique a correspondu une idéologie fiscale. L’Etat libéral (ou « gendarme ») s’est ainsi complété de la théorie de « l’impôt échange » ou de « l’impôt contrat » (A) tandis que l’Etat « providence »a eu recours à la théorie de « l’impôt solidarité » (B)[6]. A – La théorie fiscale libérale : « l’impôt échange » ou « impôt

CONSTITUTIONNEL Dr. Hassan RAHMOUNI CHAPITRE I L ETAT DE DROIT ** INTRODUCTION • • • • • • I. LA NOTION D'ETAT : • • II Besoin historique d'organisation de la société humaine Regroupement des familles en clans, puis en tribus, etc… Rudiments d'Etat dans les cités grecques du 5ème siècle avant J.C. : " Polis ". La notion de " Res-publica " sous l'Empire Romain Les théories politiques du contrat social : J.J. Rousseau, Thomas Hobbes et John Locke. …..L'Etat résulte alors d'un

et les gouvernés. Elle comprendra l’ensemble des règles qui fondent l’état. (lat :Stare = Statut ) l’étude comme discipline de l’ensemble des normes, des règles, qui fondent l’État (ce qui se tient debout, status). Lien crée entre constitution et État. B) Approche du droit constitutionnel en tant que discipline ⇨ Naissance et évolution historique de la discipline Les différents sens de l’expression « droit constitutionnel » L’expression est apparue en France, 15 ans avant la révolution

du concret, de faits réels et selon lui, elle s’inscrit dans une histoire intellectuelle de l’humanité, histoire linéaire en trois grandes étapes, stades, états. * Premières Etape Etat théologique : l’humanité essaie d’expliquer les phénomènes en faisant intervenir des agents surnaturels (Dieu, Diable…) Cet état théologique va être dépassé par l’état métaphysique : la philosophie va convoquer des forces abstraites pour expliquer des phénomènes : La raison, l’âme pour expliquer des phénomènes psychologiques

: Henry VIII : il s’autonomise par rapport au pape est crée un religion (protestantisme, catholicisme) l’anglaitarisme B) Hobbes Grand ouvrage : Le Léviathan : avant les Etats il y avait les hommes, qui vivais sans société, (état de nature), aucunes règles de droit, selon Hobbes l’homme est particulièrement méchant, et de nature mauvaise ! L’état de nature est un état de guerre permanente, donc les hommes crée une structure qui puissent leur garantir une sécurité, il crée L’Etat. Les différent

devenir un fondamentalisme aussi dangereux que celui qui est religieux. Les droits de l'homme peuvent servir aux pays terroriste. Ex : Vous réagissez à mes actions terroristes et je vous attaque pour ne pas avoir respecter votre prétention à être un état respectant les droits de l'homme. Le discours des droits de l'homme peut avoir un effet subversif. Cela peut aussi ce manifeste aussi par l'invocation des droits de l'homme mais en les retirant de leur contexte. Les droits s'exercent en collectivité

tout ce qui est lié au droit naturel. Pour les positivistes, le droit positif est le droit en vigueur dans un lieu et moment donné, le contenu du droit positif est celui qui est prescrit par les organes abilités, que ce soit dans une cité ou dans un État. Le droit de l’État, de la cité s’impose en tant que tel parce qu’il existe. On peut en déduire deux conséquences: DURA LEX, SED LEX: toute règle de droit positif doit être respectée même si elle est sévére, injuste et cruelle. Exemple: de la condamnation

religion. Il traité le christianisme de secte romaine. Il trouve les racines du droit naturel dans l’antiquité gréco-latine. Pour Pufendorf : Justification du droit de propriété. Pour Grotius : sert pour le commerce. C- Contrat social Hobbes (1588 – 1679) utilise le contrat social pour justifier la dictature. Locke (1632 – 1704) : le contrat social est la base de nos libertés. Rousseau inspire la déclaration de 1789. Le contrat social chez ces 3 auteurs présente un point commun :

i"itllmel complexe où les intentions réelles des divers acteurs, probable:nent difficilt'lll,'nt .saisissables, n'éclairent pas nécessairement la rationalité du prr;.cessus d'en~"nlh1t'. Il y a encore davantage. tIn .1 pu soutenir, notamment depuis Hobbes, que la soumission, mêrr:.e par craintt' ,,!,, la sanction ou sous menace, est la manifestation d'un consenteme:::t. C'est la ,"':(-.hre proposition: ({ It is not therefore the victory, that giyeth the r~t of domini(\n ,weI' the vainquished, but his

créées dans l'ordre juridique international et dont "les effets n'ont pas vocation à se limiter au territoire d'un seul état". Il semble utile de combiner ces 2 définitions en donnant définition suivante: C'est le droit produit par le concours de 2 ou plusieurs sujets de droit international (Etats et/ou OI) et dont les effets ne se limitent pas au territoire d'un seul état. Un accord de DI sera classiquement conclu par 2 ou plusieurs états lais cet accord peut également être conclu entre états