Hobbes Leviathan Il Peut Sembler

mais bien plutôt la recherche d’une autre fin que le Bien, qui semble tout aussi bien pouvoir nous satisfaire, au constat de la prospérité du vice. La prospérité du vice, autrement dit ici l’abondance du vice lui-même, peut nous sembler incompréhensible si précisément nous n’en tirons aucune satisfaction

| | | |Thomas HOBBES (1651) | |

Une société sans religion est-elle possible ? Introduction : On peut rattacher la religion, tout au long de l’Histoire a de nombreux faits marquants et importants. Elle joue la plupart du temps un rôle aussi minime qu’il puisse être. De plus, les chercheurs ont même fait la découverte de traces de rites funéraires, donc religieux, datant de la Préhistoire, ce qui nous montre l’universalité et la longévité de la religion. Cependant, si cette religion est fondée sur des faits si anciens, comment

ensemble d’individu ayant des relations et unis par des services réciproques. Une société sans Etat est une société sans politique La toute première condition nécessaire afin de fonder un Etat semble être la sédentarisation, la ville devient alors un centre polyfonctionnel de vie, de travail et de pouvoir. Il ne peut avoir d’Etat chez les tribus nomades. C’est à partir de noyaux urbains que se sont fondés les premiers grands empires, tels que Egypte, la Chine, la Grèce ou encore l’empire romain, où l’on

Démocratie ou Monarchie, selon vous, lequel est le plus avantageux ? Il semble tout d’abord difficile d’exprimer un choix du fait que nous, élève de L1, n’avons jamais vécu sous une monarchie mais bien dans un système politique qui s’apparenterait à une démocratie. Cependant, il est intéressant de se demander lequel nous semblerait le plus avantageux. Pour ma part, j’ai la conviction que la démocratie, notion venant du grec « demos » signifiant peuple et « kratos » pouvoir possède de nombreux

« Les hommes restent naturellement ennemis les uns des autres » Hobbes, Léviathan Cette citation de Hobbes nous montre bien que les hommes ont toujours été ennemis et en concurrence de nature. En effet, depuis la préhistoire, il n’as pas eu un moment ou les hommes n’étaient pas en rivalité. Cette rivalité, qui engendre bien souvent de nombreux conflits entre les hommes, provient de notre peur de l’autre. Cette peur nous ronge et ne nous ne permet pas de nous intégrer si nous ne parvenons pas

puissance attachée à sa personne, concentre en ses mains tous les pouvoirs, gouverne sans aucun contrôle ». Contrat social : Le contrat social est un pacte qui détermine l'organisation d'une société. Chez de nombreux philosophes du 18èmè siècle, comme Hobbes ou Rousseau, mais selon des modalités différentes, le contrat social est l'origine et le fondement même de toute communauté politique. Pouvoir(s) : Le pouvoir est la faculté, la capacité, la possibilité matérielle ou la permission de faire quelque

religieux et vont ainsi saper une des bases de la vielle civilisation grecque. Par ailleurs les sophistes ont pris conscience de la diversité des hommes et des sociétés et ont considéré que ce que tel peuple juge bon utile et juste un autre peuple peut le juger de façon inverse. Cela signifie qu'il n'existe pas de véritable immuable, toute vérité est relative. Il n'existe à proprement parler que des opinions. Ils substituent une philosophie de progrès. Ils n'enseignent pas l'histoire de la décadence

Introduction & Problématique: Si ce qui nous plaît le plus, c'est d'être libre. Être libre, est-ce, pour autant faire ce qui nous plaît ? Ce désir de liberté peut-il se réaliser par la liberté des désirs qui ne visent que le plaisir ? Il semble bien, en un certain sens, qu'être libre, c'est faire ce qui nous plaît: car comment pourrions-nous seulement nous sentir libres si on nous empêchait d'agir en fonction de notre "bon plaisir" ? C'est cette liberté d'action qu'il nous faudra interroger de

un cas particulier qui s’oppose à une règle peut-il en même temps la confirmer ? Dans ce texte extrait de L’Utilitarisme, Mill va tenter de concilier la règle de ne pas mentir avec la possibilité de déroger à cette règle sans que celle-ci perde pour autant de sa valeur. Ainsi, il explique d’abord en quoi dire la vérité est nécessaire au bonheur social. Puis il en déduit que vouloir enfreindre cette règle de ne pas mentir pour son bonheur personnel ne peut qu’être un mauvais calcul. Se pose alors le