Hobbes Traité De L Homme

1) Le Léviathan, Hobbes sur le langage : • L’usage de la parole et ses abus • Usage général est de transformer notre discours mental en verbal, nos pensées en mots, usage dont la double fonction est (1) l’enregistrement de la consécution de nos pensées (par des mots qui les désigne) qui peuvent être oubliées (2) et la communication sous forme de signes (les mots) avec d’autres individus • 4 usages particuliers de la parole : * L’acquisition des arts (sciences et techniques) à travers des

vivants. Ainsi peut on retenir comme définition minimale de la nature humaine celle formulée par Jean Baechler dans son article  « Nature et démocratie », (Revues européenne en sciences sociales, n°97, 1993) : « La nature humaine est l’ensemble des traits communs à tous les représentants de l’espèce, qui les différencient des représentants des autres espèces ». Si Rabelais a noté que le rire était le propre de l’homme, philosophes et scientifiques ont pu distinguer différents aspects caractéristiques

violence inexorable et des formes de négativité que l’on ne peut réduire par le raisonnement, la réforme sociale ou le traitement clinique. Afin de cadrer cette violence, De Maistre ne voit qu’un moyen, la violence. Il s’agit en quelque sorte de traiter le mal par le mal, comme si des êtres violents ne pouvaient être réceptifs qu’à de la violence. La violence permet d’encadrer la population et de maintenir l’ordre. On tire un exemple de l’histoire de la Russie lorsqu’au 19e siècle le tsar Nicolas

conception classique liée à ces courants et la conception néo-classique de ces courants de pensées. Section 1 : Le Réalisme Le père de l’école réaliste est le philosophe Thucydide. Deux grands philosophes sont également fondamentaux : Hobbes et Machiavel. Hobbes : L’Homme ne peut pas vivre en société, il faut fonder un système sur le droit. Il détourne le concept du Léviathan qui représente la construction de l’Etat. Il critique la position de l’Etat (à cause de la répression en Irlande). Il

intérêt ? Sade écrivait, dans la Nouvelle Justine « Je suis l'homme de la nature avant d'être celui de la société. » explicitant bien le doute qui peut régner dans le rapport nature/société. Si Sade semble reconnaître l’existence de la société et d’un homme social, il affirme ne pas l’être par nature. L’est-il par intérêt ? Il est en effet connu pour avoir agi dans la société en fonction de ses instincts, ses plaisirs… Et, plus généralement, si les hommes vivent ensembles, est-ce simplement parce que

et plus précisément de valeurs humaines. C’est dans cette perspective que nous allons décrire la place qu’occupe le terme de liberté fondamentale. Mais avant toute analyse et toute explication prouvant la raison pour laquelle nous avons choisit de traiter ce sujet, nous nous sommes posés la question suivante : Sommes nous réellement libre ? nous poussant donc à faire des recherches afin d’obtenir de notre mieux , une explication, un sens, à ce que peut représenter la liberté pour chacun de nous , que

esprit comme nos yeux. La pensée est vision mentale. Ceci montre la puissance mais aussi la faiblesse de la pensée. Par exemple nous pouvons nous représenter l'idée de centaure. Le hasard a rapproché les simulacres déformés et usés d'un cheval et d'un homme pour former une image composite. Ainsi mythes, fictions, peuvent s'expliquer par la physique, par la théorie des simulacres. La raison peut de toute façon vaincre l'imagination quand elle nous effraie. Inversement c'est l'imagination qui peut nous

caractère générale de la règles juridiques garantie une certaine égalité entre les acteurs du droit. L’égalité ne signifie pas nécessairement l’uniformité, en effet, il est légitime de traiter différemment en droit ce qui est différent en fait. [ Ex : un criminel récidiviste de 35ans ne devrais pas être traiter par la loi comme un jeune de 16ans qui est un primo délinquant]. Le tout est évidemment de savoir, si, les différence de fait justifie la différence en droit. [ Ex : Aujourd’hui nous admettons

peut-il être légitime, cela peut-il constituer un droit ? I. La vérité comme impératif moral. 1). Tradition et culture : le culte de la vérité au cœur de la société - Christianisme : mentir = pêché, « sainte horreur du mensonge » - Chez Hobbes dans le Léviathan, l’homme de nature se méfie de l’autre. La vérité est alors la garante de liens de confiance qui se tissent entre les hommes. Elle évite la méfiance qui engendre le conflit, la division sociale et nuit donc à la progression de la

sanctionne facilement Droit immoral : référence de la règle juridique en faisant appel à la conscience Liberté de conscience : reconnue par différentes normes françaises (législatives prenant leur source dans les traités internationaux : Convention européenne des droits de l’homme ) et la réciproque, le corolaire (en découle), c’est le droit à l’objection de conscience. Cas de la pilule avortive : Affaire Pichon :