Hofstede Angleterre

des malentendus culturels contre-productifs qui risquent soit d’entraîner des coûts, soit de faire échouer des alliances ou tout autre projet de coopération entre eux. Comme l’ont déjà montré plusieurs auteurs (d’Iribarne 1989, 1998; Hofstede et Bollinger, 1987; Hofstede, 1991; Hickson et Pugh 1995), chaque groupe national génère ses propres représentations et pratiques en affaires et en gestion qu’il faut comprendre pour interagir avec succès avec des membres de ce groupe. Pour les Québécois, il s’agit

des malentendus culturels contre-productifs qui risquent soit d’entraîner des coûts, soit de faire échouer des alliances ou tout autre projet de coopération entre eux. Comme l’ont déjà montré plusieurs auteurs (d’Iribarne 1989, 1998; Hofstede et Bollinger, 1987; Hofstede, 1991; Hickson et Pugh 1995), chaque groupe national génère ses propres représentations et pratiques en affaires et en gestion qu’il faut comprendre pour interagir avec succès avec des membres de ce groupe. Pour les Québécois, il s’agit

Une logique ethnocentrique où on ignore les différences et une logique polycentrique (approche multidomestique) pour s’adapter et tirer parti des différences. A partir d’une enquête réalisée auprès de salariés d’IBM répartis dans 50 pays, Geert Hofstede[5] propose une grille d’analyse en caractérisant quatre dimensions pour la gestion de l’intégration culturelle : La distance hiérarchique : c'est-à-dire le degré d’inégalité accepté par les individus face au pouvoir et à l’autorité (forte Asie

conduire ? Niveaux implicites, hypothèses inconscientes : une forme de programmation mentale, programmations cachées dans notre subconscient. Comment développer les différences culturelles ? Quelques grilles d’analyse… 5 dimensions de Geert HOFSTEDE pour analyser les différences entre cultures (1972) 15 ans de rechercher chez IBM 116 000 questionnaires 72 pays 20 langues La distance hiérarchique déf° : dispositions de la part des membres les moins puissants des institutions et des

est une jeune entreprise avec un budget de développement réduit. Je n’avais pas accès au téléphone pour contacter les clients potentiels afin de savoir s’ils avaient bien reçu le courriel. Les aspects culturels Selon les différents modèles de Hofstede, Trompenaars, et Hall déterminant les dimensions culturelles, on peut s’apercevoir que celles-ci ne sont pas les mêmes d’un pays à un autre. Ces divers aspects divergent également en fonction des sphères professionnelles et privées. Donc la société

personnes, qui aident les individus à décider de ce qui est, de ce qui peut être, comment ressentir, de ce qu’il faut faire et comment le mettre en œuvre ». Selon Geert Hofstede, la culture est « le logiciel du cerveau » : la culture est une programmation mentale collective propre à un groupe d’individu (Hofstede, Geert and Hofstede, Gert-Jan. Cultures and Organizations: Software of the Mind. New York: McGrawHill U.S.A., 2004.) Dans ce poly nous allons nous inspirer très largement du site américain

tunnel par le consortium Transmanche-Link, maître d’œuvre des travaux d’études et de réalisation (aujourd’hui l’entreprise en charge de l’exploitation est Eurotunnel, maître d’ouvrage). Nous nous sommes inspirés de la méthodologie quantitative de Hofstede sur l’analyse des différences culturelles complétée par la méthode de l’évaluation organisationnelle de Van de Ven. Cela permettait de déployer une batterie de mesures sur différents aspects, depuis la motivation individuelle jusqu’aux problèmes

d'un Master 2 recherche en tant que cadre. Avec 5 ans de reculs, on se rend compte que les entreprises partenaires ne jouent pas le jeu. Alors que ceux qui ont été embauchés s'en sont très bien sortie. Pourtant cela est tout à fait banal en Angleterre. Hofstede, psychologue néerlandais, fait une étude sur ce sujet : Malgré le fait que les entreprises utilisent les mêmes outils (Kaisen, JIT, …), est-ce que ces entreprises ont le même style de management ? La réponse est non, on ne manage pas les hommes

des médias ont encore accru l’intérêt pour ces disciplines de l’interculturalité. Les premiers travaux sur les différences culturelles en management marquent l’origine de l’intérêt des chercheurs pour l’interculturel avec la publication par Gert Hofstede de Culture’s Consequences (1980). L’ouvrage publié en France en 1987 fut à l’origine d’un engouement qui semble depuis se confirmer d’année en année pour ce champ en émergence. Dans le monde anglo-saxon, des ouvrages didactiques de référence (Adler

de compétences entre les deux entreprises sera la tâche la plus délicate à réaliser. En outre, l’aboutissement de cette mission permettra de dégager des gains indéniables notamment en termes de coût et de temps. Les dimensions culturelles selon Hofstede Dans la première moitié du 20e siècle, les anthropologues ont développé la conviction que toutes les sociétés, modernes ou traditionnelles, font face aux mêmes problèmes élémentaires et seules les réponses sont différentes. En 1954, Alex Inkeles