Homme Libre Hobbes

c’est un chef de famille ; s’ils sont plus nombreux encore, un chef politique ou un roi - comme s’il n’y avait aucune différence entre une grande famille et une petite cité ! Quant à politique et royal, la distinction serait celle-ci : si un seul homme est personnellement à la tête des affaires c’est un gouvernement royal ; si, au contraire, conformément aux règles de cette sorte de science, le citoyen est tour à tour gouvernant et gouverné, c’est un pouvoir proprement politique. En fait, ces distinctions

Politique Française est naissante avant l'Ancien régime, mais depuis quelque années , la France souffre d'une "CRISE DE LA REPRESENTATION" (c'est a dire que les citoyens FR se désintéressse de plus en plus à l'activité politique ) Mais si la vie des Homme en Société suppose une certaine forme de pouvoir,
il n’existe pas de Société sans Règles • La Vie Politique FR trouve ses racines dans les caractéristiques propres à la Société FR En effet pendant longtemps, la Vie politique est l’activité réservé

L’esprit des lois (1748) Ses pensées * «les gens qui ont peu d’affaires sont de très grands parleurs : moins on pense, plus on parle.» * «J’ai toujours vu que pour réussir dans le monde, il fallait avoir l’air fou et être sage.» * «Un homme n’est pas malheureux parce qu’Il a de l’ambition, mais parce qu’il en est dévoré.» Le concept de loi * La loi est un rapport nécessaire, associé à une régularité. Tous les êtres ont leur loi. Loi scientifique ~ Loi politique Produits

l’établissement de loi l’homme entre et s’épanoui dans un monde proprement humain. L’état est donc l’aboutissement de la société et on ne peut que rappeler que toute finalité est censée conduire au bonheur et au plaisir : « l’homme n’est homme que dans une Cité ». De plus selon Hobbes, l’homme est guidé par le désir du pouvoir. N’est-il pas réel que chacun désire dominer l’autre ? Il faut donc, pour assurer la cohésion instituer un pacte entre les individus par lequel chacun s’engage à léguer une partie de son

d’institutions. Il s’intéresse dans le prince au type de principauté. Pour lui le Prince, n’est pas un titre, c’est quelque chose d’abstrait, le prince est un personnage qui a la capacité politique de parvenir et se maintenir au pouvoir : donc tout homme qui peut prendre le pouvoir et le garder. Il va donc classer les régimes, d’une part avec la république : plus complexe à gérer pour lui. ; Et les principautés (où un personnage dirige). Il les divise en trois notions : les principautés héréditaires

qu’ils sont » (Spinoza). De Machiavel à Hobbes, un constat analogue transcende alors les divergences : à l’état de nature, l’homme est dangereux, « loup pour l’homme » car prisonnier de ces lubies. La nature humaine ainsi posée, se fait jour la question fondamentale des moyens de la réfréner. Comment mettre en place une « police » efficace des passions ? A cet édifice que tous estiment vital, chaque penseur apportera sa propre pierre. De l’Etat répressif de Hobbes, qui dresse les contours d’une autorité

création une simple hypothèse scientifique en concurrence avec d'autres. Cette doctrine est celle que défend un moine breton du IVe siècle appelé Pélage. Il pensait que tout chrétien pouvait accéder à la sainteté par ses propres forces et par son libre arbitre. Il y eut alors une réaction, la plus puissante possible et qui imprimera sa marque sur huit siècles de christianisme, c'est la réaction de Saint Augustin. Paragraphe 2 : La réaction volontariste : la théologie Augustinienne Augustin (354-430)

heureux B) Les trois parties de l’âme (partie désirante, partie irascible, raison) C) Le respect de la justice, une condition nécessaire au bonheur et à l'accomplissement de soi III – Peut-il exister des règles morales absolues et universelles, que tout homme devrait accepter ? (Race et histoire de C. Levi Strauss,Conférence sur l'Ethique de L. Wittgenstein, Fondements de la métaphysique des mœurs d'E.Kant) A) Le problème de la vérité des règles morales B) La seule chose au monde qui possède une valeur

droit est prolongée encore aujourd’hui par les kantiens. Alain Renaud (professeur à Paris 4) répond à ces problèmes dans une ignorance totale du droit tel qu’il est actuellement. Pour Kant, la fonction du droit est de permettre à l’homme d’être libre vis-à-vis de tous les déterminismes qui peuvent peser sur lui (la nature selon Kant). Déterminisme réellement naturel (les passions, les instincts), plus généralement ce qui peut nous empêcher de penser par nous même (la famille, etc.). L’homme doit

Les fausses pistes Le sens commun s’imagine parfois que l’on n’est libre si l’on fait ce que l’on veut. Il est exact en effet que lorsque nos désirs sont contrariés, on ne se sent pas libres! Pourtant la liberté ne peut être définie comme la capacité de faire tout ce que l’on a envie de faire, car le sentiment d’agir librement peut être trompeur. C’est ainsi, nous dit Spinoza, qu’un nourrisson croit peut-être qu’il est libre lorsqu’il réclame son biberon… Mais suivre nos inclinations n’est pas