Homozygote

généalogique) de la Maladie d'Alzheimer et ce principalement en cas d'homozygotie. En effet le risque des porteurs de la forme hétérozygote (E3/E4) auraient un risque de développer la maladie 3,2 fois supérieur à celui des (E3/E3). Les porteurs homozygotes (E4/E4) auraient quant à eux un risque 11,6 fois supérieur aux (E3/E3). L'allèle E2 serait quant à lui un allèle protecteur, puisque les porteurs (E2/E3) auraient un risque de développer la maladie légèrement inférieur aux non-porteurs. Différents

environnementaux. C'est ainsi que l'étude de cette maladie semble plus avantageuse sur un modèle animal à la fois sur les plans génétique et environnemental. Nous utiliserons des souches parentales consanguines dites souches pures qui sont donc homozygotes pour tous leurs gènes ce qui facilitera l'étude de la maladie. Par ailleurs, les animaux utilisés se trouvent dans une animalerie où l’environnement est relativement contrôlé. Nous régissons alors tous les paramètres environnementaux et réduisons

conventionnelles. Un gène à un locus bien défini sur un chromosome. Chez les organismes diploïdes, les cellules somatiques (autres que les gamètes) possèdent des paires de chromosomes homologues, donc deux allèles pour chaque gène. Les individus homozygotes pour un gène donné possèdent deux allèles identiques de ce gène et leur phénotype est donc déterminé par cet allèle. Les individus hétérozygotes pour un gène donné possèdent deux allèles différents de ce gène. Le phénotype peut alors être déterminé

plusieurs. On peut supposer que le phénotype couleur du pelage est gouverné par un seul gène. Alors dans ce cas on sait qu’ un couple de souris homozygotes donnera une descendance ( F1 ) homogène, puis un testcross donnera 2 phénotypes dans les mêmes proportions ( 50% ). Dans le premier croisement, nous constatons que les souris 1 et 2 sont de lignée pure donc homozygotes, leur descendance est homogène avec des souris au pelage noir. Dans le deuxième croisement, on croise des souris F1 avec des souris au

gène est donc représente dans le génome par deux allèles situés au même locus (emplacement) sur deux chromosomes homologues. Pour un gène donné, on dit qu'un individu est hétérozygote s'il possède deux allèles différents de ce gène, qu'il est homozygote si les deux allèles sont identiques. Un chromosome porte de nombreux gènes: si, pour l'espèce humaine, on retient le nombre de 30000 à 35000 gènes portés par 23 paires de chromosomes, cela signifie qu'il y a en moyenne 1300 à 1500 gènes par chromosome

Nous venons au monde avec un bagage de gènes donnés, c’est notre génotype [5; p.276]. Les gènes sont reçus en deux versions, l’une maternelle, l’autre paternelle. Lorsqu’un individu reçoit 2 allèles identiques du gène TAS2R38, on dit qu’il est « homozygote ». Le caractère héréditaire observé, le « phénotype », est bien sûr celui porté par les allèles : l’individu est goûteur ou non-goûteur. Mais quel sera le phénotype d’un individu « hétérozygote », c'est-à-dire un individu qui hérite de deux allèles

femelles | gamètesmâles |   | + | e | | + | + / + | + / e | | e | + / e | e / e | | 25 % normal + / + | 50 % normal + / e | 25 % ebony e / e | | 75 % normal | 25 % ebony | Les individus possédant des allèles similaires sont appelés homozygotes (le génotype est noté + / + ou e / e), et les individus possédant des allèles différents sont appelés hétérozygotes (+ / e). Dans l'exemple donné ci-dessus, l'allèle ebony n' aucun effet sur les hétérozygotes, et pour cette raison il est appelé

(pour les organismes homozygotes le phénotype correspond à l'allèle présent en double, et pour les hétérozygotes seul l'allèle dominant s'exprime bien que les deux interviennent dans la réalisation du phénotype). Dans les cellules H, 1 seul chromosome =) 1 seul allèle. Le phénotype correspond donc au génotype puisqu'il n'y a qu'un seul allèle qui le détermine. Le croisement test: on croise un individu de phénotype dominant avec un individu de phénotype récessif homozygote: lorsque 100% des

| |2 caractères différents (= dihybridisme) | |parents homozygotes pour les 2 caractères car de lignées pures | |F1 homogène (100%) donc individu hybride : l’allèle coloré (i+) domine incolore (i) et l’allèle arrondi

pour un gène (il possède deux versions différentes de ce gène), il est fréquent que l’un des allèles seulement (l’allèle dominant) s’exprime dans le phénotype : l’observation du phénotype ne révèle pas forcément le génotype. Lorsque l’individu est homozygote (les deux allèles sont identiques), son phénotype est celui déterminé par l’unique version du gène qu’il possède. Il se peut, cependant, que le phénotype d’un individu corresponde à l’expression des deux allèles : on dit qu’il y a codominance entre