Hospitalisation sans consentement

hospitalisée avec son consentement pour des troubles mentaux, elle peut décider de sa sortie a tout moment. →Hospitalisation avec demande d’un tiers (1/3) *: Membre de la famille, entourage, médecins… Sans le consentement de la personne. (Demande via une lettre) →Hospitalisation d’office : les préfets décident a vu d’un certificat médical l’hospitalisation d’office des personnes dont les troubles mentaux compromettent a l’ordre public ou a la sureté des personne. Sans le consentement Rappel Réforme

ces informations ou documents par les personnes habilitées à les communiquer en vertu de la loi s’effectue avec un accompagnement adapté de nature psychologique, médicale, thérapeutique ou socio-éducative. Article 4 Principe du libre choix, du consentement éclairé et de la participation de la personne Dans le respect des dispositions légales, des décisions de justice ou des mesures de protection judiciaire ainsi que des décisions d’orientation : 1) La personne dispose du libre choix entre les prestations

------------------------------------------------- - Médecine : 10 lits ------------------------------------------------- - Soins de Suite et de Réadaptation en Hospitalisation complète : 35 lits ------------------------------------------------- - Soins de Suite et de Réadaptation en Hospitalisation de Jour : 2,5 places L’activité de Soins de Suite et de Réadaptation en hospitalisation complète et en hospitalisation de jour, accordée par l’Agence Régionale de Santé d’Auvergne décline les orientations médicales spécifiques ci-après :

l’hospitalisation des détenus.  La prévention : - Des préservatifs sont en libre accès ; - Dépistage obligatoire de la tuberculose et des IST à la charge du conseil général ainsi qu’un contrôle des vaccinations ; - Un dépistage du VIH est réalisé avec le consentement du détenu.  La continuité des soins : L’USCA organise le suivi médical à la sortie de détention en collaboration avec le Service Pénitentiaire d’Insertion et de Probation (S.P.I.P) avec les assistants sociaux. B) SMPR Ils sont destinés à

de l’hygiène corporel, prenez-vous des douches ou plutôt effectuez-vous des toilettes au lavabo ? à quelle fréquence ? - Hydratez-vous bien le corps après la toilette ? - Pour les ongles des pieds, comment s’y prend-il ? - pourquoi est-il là? (hospitalisation) - Signes d’une hypoglycémie ? - FF de l’hyperglycémie ? - En cas d’hypo ou d'hyper,connait-il les CAT ? - Connait-il les complications de sa pathologie ? - EI des ttts ? - Que faire si plaie? - Connaît-il les différents sites d’injection

I Contexte Mme M est âgée de 37 ans et est entrée en hospitalisation libre dans le service 40D de psychiatrie à Maubeuge le 26/09/2011 suite à des idées noires reliées à un syndrome anxio-dépressif. Elle nous est adressée par les urgences de Maubeuge. Nous sommes à J1 d’hospitalisation. Madame M habite à Avesnes avec son concubin et ses trois enfants (2 étant issus d’un précédent

J'étais étrangère à moi-même. Puis en 1990, lors d'une hospitalisation d'urgence vu mon état lamentable, une jeune femme, médecin de garde a enfin posé un diagnostique sûr quant à mon comportement désordonné. Maniaco-dépressive, j'étais maniaco-dépressive. Je vous passe les détails concernant ma révolte contre le monde entiers et les différentes phase qui m'ont conduite à une acceptation de la maladie. Ont suivi plusieurs hospitalisations en volontaire désormais qui ont contribué à me protéger

mondes cohabitent-ils dans l’intérêt de cette catégorie de personnes? De prime abord, une évolution en la matière, légale et jurisprudentielle, a été observée afin de garantir des droits à des personnes dont l’hospitalisation a lieu sans leur consentement. I/ Evolution dans les notions Evolution légale et jurisprudentielle La loi de 1838 traitait d’ores et déjà des personnes atteintes de déficiences mentales. Mais ces dispositions ne répondaient plus aux exigences du 20e siècle déjà

“programme de soins” Les personnes en soins psychiatriques à la demande d’un tiers et sur décision du préfet peuvent être prises en charge hors hospitalisation complète (HC). ce n’est donc plus l’hospitalisation qui est imposée mais les soins. Le psychiatre décide du cadre de ces soins (en hospitalisation complète ou sous une autre forme : hospitalisation partielle, consultations, ateliers…). Si le patient est pris en charge dans un cadre autre que l’hospitalisation complète, il bénéficie d’un programme

Hospitalisation sous contrainte: loi du 5 juillet 2011, Réforme loi de 1990 Suite à la promulgation de la loi portant réforme de loi d’hospitalisation sous contrainte de 1990, et la parution récente des décrets, nous vous proposons de découvrir ici les modalités concrètes de son application. Nous mettrons en lumière les différences principales existant entre cette nouvelle loi et l’ancienne. Cette loi a suscité de nombreux débats, qui ne seront pas tenus ici. Si vous voulez en savoir plus sur les