Humanité Et Animalité

nous amène à nous interroger sur ce qu’il faut penser de cette affirmation d’Erasme, autrement dit quel est son sens ? Ses fondements ? Sa valeur. Comment et par quoi l’humanité se donne-t-elle ? Un homme sans humanité, n’est-il pas un vrai homme ou est moins homme qu’un homme avec une humanité, en d’autres termes quelles sont les limites à ne dépasser dans la compréhension de cette affirmation. L’affirmation selon laquelle l’homme ne naît pas homme, il le devient, est acceptable dans la mesure ou

analytique (1) Repérage des réseaux lexicaux  découvrir les thèmes du récit ATTENTION ! Ne jamais "délivrer tel quel" ce repérage dans un commentaire composé. Réseau 1 Réseau 2 Réseau 3 Réseau 4 Réseau 5 Réseau 6 Réseau 7 Réseau 8 Religion Humanité Animalité Nature Taille/Force Lumière/couleur Vision Son/Maladie/mort petite cloche on noires comme des fourmis Soleil Une petite cloche Bien avant soleil se lève Petite cloche se mit à sonner Ermitage Angelo recouverts de carapaces dorées Collines

Commentaire Composé TD « La Bête Humaine » Au 19eme siècle, époque où vont triompher le Romantisme et naitre le Réalisme, Mérimée écrit « Lokis », une nouvelle dans laquelle la frontière entre humanité et animalité est poreuse. Le professeur Wittembach, qui raconte l’histoire, y conte en effet l’histoire d’un homme, le comte Szémioth, faisant l’objet d’une énigme tout au long du récit, laissant planer le doute sur sa nature duelle. Dans cet extrait, le comte et le professeur se sont rendus au

“L’enfant est le père de l’homme”. Avant d’être fils de l’homme, l’homme est fils de l’animal. L’animal est le père de l’homme. La double acceptation de sa filiation et de sa nature présente est un élément de sa dignité et la clef du dépassement de son animalité. Rosanna Santos L’homme et l’animal I QUEL EST LE STATUT DE L’HOMME PAR RAPPORT À L’ANIMAL ? 1 - La conscience de l’altérité animale 2 - En découle une double interrogation sur le statut de l’animal et de l’homme 3 - Une question atemporelle et

créatrice de l’Homme ? Certes, moralement, l’homme ne peut s’envisager comme pouvant se transcender lui-même grâce à son génie artistique, car lorsqu’il fait couler le sang, il retombe immédiatement dans sa condition animale et naturelle et perd son humanité. Les valeurs des Lumières sont celles qui font de l’homme, pour Malraux, un être capable de s’élever au-dessus de sa condition naturelle, donc de la violence et de sa sauvagerie. C’est en 1942 que le grand écrivain autrichien Stefan Zweig, trop affecté

l23 et 29 "notre Langlois"-> notre chef Mais les trois troupes sont unis :l67 "tous ensembles" Langlois apparaît comme le grand sacrificateur l13-15. Il est le chef qui commande et qui a organisé cette cérémonie. "Nous aimions assez ça" l15: humanité moutonnière qui aime être commandé. Langlois sait flatter ses troupes cette cérémonie est aussi une manière de séduire les villageois. L2 "on nous avait soigné", l15-16 "on nous avait envoyé Pierre le brave", l5 "dis donc on a compris que c'était

bien la liberté et la responsabilité qui sont derrière ces choix. C’est donc une preuve que seul l’Homme peut faire preuve d’inhumanité. Nous devons donc admettre comme l’un des paradoxes, notre inhumanité comme faisant partie de notre humanité et non de notre animalité. Ainsi, l’Homme peut manifester une perversion toujours possible de sa liberté. C’est donc par sa conscience et par sa liberté que l’Homme s’écarte de ce qui lui a été prescrit. Or, cette liberté peut le pousser à agir autant dans le

donc à disparaitre, le travail reprendrait donc le bon chemin après deux siècles de perversion. Nous avons tout d’abord montré le caractère libérateur du travail, hissant l’homme au-dessus de son animalité. Mais ce travail est perverti avec la révolution industrielle, privant l’individu de son humanité. Selon Yann-Arthus Bertrand, « il est trop tard pour être pessimiste » : des solutions existent, des plus utopiques aux plus concrètes, et l’action des hommes peut briser leur calvaire pour enfin

divertir le lecteur. En effet, dans Les Caractères de Jean de La Bruyère, le procédé d’animalisation (de l’animal) dont sont victimes les hommes permet de faire rire le lecteur, de par son argumentation habile, comme par exemple le parallélisme humanité/animalité, (l.1) « L’homme est un animal raisonnable ». L’homme admire l’habilité de certains animaux à chasser (exemple : les chats), mais utilise les techniques de ces derniers pour se chasser entre eux, (l.17/18) « ont joué ensemble de la dent et de

concrets au début (images tirées de la chasse) puis plus fantaisistes/ amplification (épisode des chats) : hyperboles qui soulignent l’absurdité de la guerre/ la comparaison avec le sabbat : réunion de sorcières: combat diabolique. -Parallèle humanité/animalité : jugements contradictoires portés par l’homme sur la cruauté des animaux : admiration pour l’habileté de certains animaux lorsqu’ils sont chasseurs et mettent cette habileté au service de l’homme (emploi répété de l’adjectif « bon »), condamnation