Hume La Vertu Et Le Vice

technique qui peut être utilisée notamment par les démagogues. On en trouve un exemple dans la pièce Dom Juan, de Molière. Le personnage éponyme s'adresse à son valet : « l'hypocrisie est un vice à la mode, et tous les vices à la mode passent pour vertus ». Il en tire une conclusion : l'hypocrisie est une vertu. Même si le raisonnement est valide du point de la logique, il est faux car il s'appuie sur des prétendues « vérités » qui n'en sont pas. En conséquence, Dom Juan donne à son propos un aspect

détruire les illusions. Dans le tome I de son Traité de la nature humaine (1739), D. Hume insiste sur la multiplicité des perceptions quand il déclare : « notre pensée est encore plus variable que notre vue » et plus loin, « ce sont les seules perceptions successives qui constituent l’esprit ». Puis, il conclut « l’esprit est une sorte de théâtre où diverses perceptions font successivement leur apparition ». Hume constate comme Hegel la continuelle modification des jugements que nous portons sur

est un effort pour circonscrire les limites du jugement moral de façon à ce qu’il entrave le moins possible la liberté individuelle (// De la liberté de J. S. Mill, chap III). Bentham (//Beccaria : action publique des juges) prolongeant les idées de Hume prend le tournant décisif en faisant porter l’analyse sur l’action et ses conséquences et non plus sur les motifs de la conduite. Bentham : dénonciation de l’iniquité des peines dont le but était de satisfaire l’esprit de vengeance de la société et

problèmes financiers, le parent n'est pas responsable du fait qu'il est dans l'incapacité de satisfaire le payement de la scolarité. Il n'y a donc aucune implication morale de ses actes. Hume montre que la responsabilité suppose que les individus soient déterminés. Or, la responsabilité enlève leur liberté, donc selon Hume être libre nous rend responsable de rien. II. ON NE PEUT PAS ETRE LIBRE SANS ETRE RESPONSABLE (NON) A) On ne peut pas nuire a autrui Ce qui précède semble indiquer que

dans l'intention de tromper. L'intention de tromper permet de distinguer le mensonge d'autres usages faux de la parole, faits dans le but de divertir ou par pur procédé rhétorique (comme dans le cas de la litote). À ce titre, il est considéré comme un vice ou un péché par la tradition morale philosophique et religieuse. Ainsi, certains mensonges sont punis par la loi, comme l'usage de faux, le non-respect des contrats dans le commerce, ou la fausse déclaration en justice. Mensonge socialement invalide

justice du droit commun, social, politique de la justice au sens moral du terme. Le contentement : forme morale d’un accord avec soi-même Textes de Kant : (cripu/crirprat/crifju) / « fondement de la métaphysique des mœurs » «  la doctrine de la vertu » / « sur un prétendu droit de mentir par humanité / « théorie pratique » Allemagne 1789 : territoire disloqué en de nombreux petits états (des milliers), intégrés au st empire germanique, puis l’Allemagne unifiée, Napoléon/Chancelier Bismark (Reich/République

version est publiée en 1705 et s’intitule « La ruche murmurante ou les fripons devenus honnêtes gens ». Cette 1ere version connaît un très grand succès, il publie une 2e version en 1714 « La fable des abeilles » => transformation des vices privés en vertus publiques. Pour lui les fondements d’une société riche et puissante sont l’envie, la jalousie, l’orgueil, la vanité … Une société dans laquelle les gens seraient bons, charitables, humbles … serait nécessairement pauvre, désordonnée, chaotique.

thème récurrent de la perversion dans la ville de Florence, tout en permettant d’introduire le rôle de Lorenzo auprès du Duc le tout avec un éclairage particulier sur cet enlèvement peu conditionnel, insistant plus sur les ravisseurs et leur peu de vertus que sur Gabrielle, la victime. II) Les relations spéciales entre les personnages 1. Le personnage du duc, Alexandre de Médicis, entre Giomo son écuyer et Lorenzo son cousin : Ces deux personnages sont fortement contraires et opposés :

raison et passions, B. Pascal (1623-1662) .................................................................... 18 Pour mieux comprendre le texte .............................................. 18 Texte 3 : La raison est l’esclave des passions, D. Hume (17111776) .......................................................................................... 19 Pour mieux comprendre le texte .............................................. 21 Texte 4 : Une maladie de l’âme, associée et opposée à la

la définition même). =>on ne peut demander s’il existe un lien entre les premières et les deuxièmes, car sous-entendrait que ceux qui commandent valent nécessairement mieux que ceux qui obéissent et que la force du corps ou de l’esprit (sagesse, vertu) se trouvent toujours dans les mêmes individus, en proportion de la puissance ou de la richesse. Des hommes raisonnables et libres qui cherchent la vérité ne peuvent poser cette question. Il s’agira donc : de marquer le moment où le droit succédant