Hume La Vertu Et Le Vice

les sciences : - sciences théorétiques (physique, d’où mathématiques ; théologie) - sciences pratiques (politique, d’où morale et économie) - sciences poétiques Les principes directeur de la morale sont au nombre de deux : - les vertus politiques et la théorie du juste milieu - la définition du plaisir Une synthèse fusionnera enfin les deux principes dans une détermination du Souverain Bien. 1) La morale à première vue semble soumise à la politique « L’homme est un animal

: Deux types de philosophie morale : • Homme = une être actif « influencé dans ses démarches par ses goûts et ses sentiments ». Distinction entre vertu et vice > l’homme doit être incliné vers l’amour. • Homme = être raisonnable « qui s’attache plus à former son entendement qu’à cultiver ses mœurs ». Nature humaine → objet de spéculation. Hume → Homme > être raisonnable (science est son « aliment »), sociable, et actif (« esclave de ses affaires et de ses occupations »). >> Donc genre de vie

Le projet de Hume A la suite de Locke et des Lumières anglo-saxonnes (de ce scepticisme constructif dont Newton est emblématique), Hume remet en cause les capacités de la raison dans le domaine de la connaissance. Dès lors, répondre à la question « comment connaissons-nous ? » engage un projet résolument novateur. Hume écrit ainsi à John Arbuthnot que, s’il s’est jeté dans la philosophie dès l’âge de 18 ans avec enthousiasme, c’était dans le but d’inaugurer un nouveau genre de philosophie, « a

nécessité et liberté D’après le naturalisme de Hume Alex Espinoza Universidad de Tarapacá Abstract: Thus it appears, not only that the conjunction between motives and voluntary actions is as regular and uniform as that between the cause and effect in any part of nature; but also that this regular conjunction has been universally acknowledged among mankind, and has never been the subject of dispute, either in philosophy or common life. David Hume Résumé : Dans cet article j’aborde quelques

dans le monde. C’est la RF la grande révolution. Rôle de la raison. Le meilleur interprète est Hume. Hume et la raison impuissante. L’économie pol peut être entendue comme une victoire anglaise face à la philosophie éco française. « La raison est et ne doit être que l’esclave des passions ». Les passions gouvernent la raison. Pas de désirs irrationnels mais que des désirs subjectifs. Ce sont nos désirs. La raison devient la façon d’agencer nos moyens pour parvenir à une fin désirée. Il n’y

| | | |David HUME (1739) | |

contraintes sociales comme des lois, ils se mettent à faire n’importe quoi et à agir immoralement. C’est pourquoi Kant préconise une société régie par des lois et des principes strictes afin d’apporter le peuple à bien agir avec de bonnes intentions. 2- Hume, empiriste de nature, croit que toute représentation et concept vient de nos sens soit internes ou externes. Il affirme que la raison ne peut fonder le savoir et que seuls les sens et les perceptions le peuvent. Les sentiments principaux qui sont

(quoique...mode gothique). L'homme est "ondoyant et divers", et tous les goûts sont dans sa nature. III. Hume, De la norme du goût (1757) Alors que le goût classique affirmait l'existence d'un Beau en soi, le XVIII ème siècle et les Lumières découvrent le rôle du sujet. Le goût est relatif aux cultures, et même subjectif. Le goût se forme au fil des expériences. Quelle est la position de Hume, lui-même auteur du XVIII ème ? On attend de sa part une position plutôt relativiste, à cause du contexte

aussi altruisme. A l’issue de ses études il envisage de rentrer dans les « », mais ses convictions religieuse ne sont pas extrêmement fortes. Il donnera des conférences pour les bourgeois, c’est là qu’il se fait repérer par le grand philosophe David Hume. Il lui obtient un poste de professeur philosophie morale. Il publie en 1959, son premier ouvrage : la théorie des sentiments moraux. Cet ouvrage connait un grand succès, il devient le précepteur d’un jeune duc. Il voyagera avec ce duc, jusqu’à se

goûtTexte de HumePour Hume, certains hommes ne sont pas aptes à juger d’une oeuvre d’art. En effet, selon lui, apprécier le clair-obscur d’un tableau, comprendre un poème, juger la musicalité d’une symphonie ne s’improvisent pas. Il faut être capable de discerner les qualités d’une oeuvre d’art pour énoncer un jugement sur elle, qui nous permettra d’en déterminer la valeur. Être capable de faire cela c’est avoir de la délicatesse de goût. Exemple d’un bon jugement de goût pour Hume avec une peinture