Hume Pour Le Mensonge

même), je te suggère de piocher chez Hume ( => l'identité du moi comme substance pensante est une illusion: notre conscience est constamment interrompue et fragementée par le sommeil, la distraction, l'ivresse, la colère, etc... Ce que j'appelle le "Je" n'est qu'un mot commode pour désigner une succession d'états et de perceptions. Donc je ne suis jamais le même dans le temps, et pire, je ne suis jamais moi-même du tout: l'ipséité par la conscience est un mensonge). Approfondis mon premier point

n’est pas une chose, mais une relation : relation de conformité ou d’accord entre nos pensées, nos paroles et la réalité. On peut, si l’on veut, parler plutôt de « véracité », pour désigner l’accord de nos paroles avec nos pensées (le contraire du mensonge), et réserver le terme de « vérité » à l’accord de nos pensées avec la réalité (le contraire de l’erreur). Dans ce dernier cas, la « vérité » est essentiellement une propriété de nos jugements (ou des énoncés qui les formulent), et non une qualité

Mais la création artistique, elle, peut parfois n'être le fruit que des divagations du créateur, sans rapport avec le réel. Peut-on se permettre d'imaginer à partir de rien ? Est-ce acceptable, alors que ce serait source d'erreur, d'illusion, de mensonge ? Ou au contraire ne doit-on pas privilégier cette imagination productrice, comme une nécessité pour le progrès dans l'invention technique (qui part parfois de ce qui paraît invraisemblable, impossible), ou pour la création artistique ? [On peut

connaissance implique des procédures d’objectivation, n’est-elle pas par principe condamnée à manquer l’identité d’un sujet ? Et qu’est-ce que le sujet ou le moi en-dehors de la conscience qu’il a de lui-même ? Une fiction peut-être comme le montre Hume, auquel cas la conscience de soi n’aurait pas d’objet et si elle en a un, elle est disqualifiée par la réflexion précédente dans toute prétention à l’objectivité. Alors faut-il renoncer à la connaissance de soi-même ou bien faut-il comprendre que

veut dire qu'elle n'a aucune valeur. Toutefois, la notion de sceptique peut paraître floue, elle consiste à remettre en doute tout ce qu'il n'a pas été prouvé. Cela reviendrait à remettre en cause la nécessité de manger, de dormir, etc … Comme le dit Hume, on peut être sceptique en parole, mais on ne peut pas l'être en acte. Comme vu précédemment, de part leur incertitude, on peut penser que toutes les opinions on la même valeur puisqu'elles sont toutes douteuses. Pourtant, certaines formes d'opinions

connaissance implique des procédures d’objectivation, n’est-elle pas par principe condamnée à manquer l’identité d’un sujet ? Et qu’est-ce que le sujet ou le moi en-dehors de la conscience qu’il a de lui-même ? Une fiction peut-être comme le montre Hume, auquel cas la conscience de soi n’aurait pas d’objet et si elle en a un, elle est disqualifiée par la réflexion précédente dans toute prétention à l’objectivité. Alors faut-il renoncer à la connaissance de soi-même ou bien faut-il comprendre que l’identité

connaissance implique des procédures d’objectivation, n’est-elle pas par principe condamnée à manquer l’identité d’un sujet ? Et qu’est-ce que le sujet ou le moi en-dehors de la conscience qu’il a de lui-même ? Une fiction peut-être comme le montre Hume, auquel cas la conscience de soi n’aurait pas d’objet et si elle en a un, elle est disqualifiée par la réflexion précédente dans toute prétention à l’objectivité.Alors faut-il renoncer à la connaissance de soi-même ou bien faut-il comprendre que

dit de façon universelle et univoque. La vérité s'oppose ainsi au mensonge qui est le fait d'induire en erreur consciemment. Mentir ≠ Vérité ≠ Réalité ≠ Véracité ( fait d'être sincère) En effet le mensonge s'oppose à la véracité puisqu'on peut se tromper en étant sincère, en pensant détenir le vrai (véracité), on peut alors parler d'erreur. Ou alors, on peut faire une faute morale en sachant que ce qu'on dit est faux (mensonge). L'erreur est plus décisive et a un enjeu moral contrairement à la

En effet ce tableau représente une pipe; mais ce n’en n’est pas une, ce n’est que l’image d’une pipe que l’on ne peut ni toucher ni fumer... ⇒ Dans le “Crépuscule des idoles” Nietzches veut examiner pourquoi les penseurs préfère la vérité au mensonge et la raison au sentiment. La volonté de vérité dérive du besoin de sécurité chez les hommes. Ils ont besoin de stabilité. Pour Nietzches, la réalité n’est qu’un chaos d’apparence, il n’y a pas pour Nietzches un vrai monde, derrière les apparences

doit être tenu et affirmé comme vrai est imposé a tous. Et malheur a celui qui remet en cause les interprétations et les idées reçues... Mais au lieu d'attaquer directement l'idéologie qui se cache derrière ces " vérités ", Nietzsche dans Vérité et mensonge au sens extra moral préfère détruire le principe même de la vérité : la généralisation qu'elle suppose de la part des "êtres raisonnables" ou pour le dire en termes plus précis, le travail d'interprétations et de conceptualisation. Il reproche a