Hume Religion

l’essai d’Adam Smith (1776). Avant cela, une conception très dévalorisante des organisations était en place. En effet, Aristote faisait remarquer que tout s’organise, aussi bien les hommes que les fourmis… Mais peu à peu, notamment avec Descartes, la religion va découvrir la raison, ce qui va faire bouger les choses. L’organisation monacale apparait comme la première organisation à se préoccuper des deux types de rationalité mais la notion de calcul n’était pas encore mise en évidence (contrairement

pas besoin de religion et les progres rendent la religion inutile Critique: la croyance dans le progres = une certaine forme de religion avec des fanatiques pres a tout Aristote l H est un animal politque Kant l H peut vivre en societe mais aussi avoir envie d etre seul - meme si l h n a pas besoin de religion elle peut passer pour une tendance ou une contrainte ! Pb faut il parler d un besoin irrepressible ou d une tendance a la religion pouvant etre vaincu ? I la religion comme tendance

La religion naturelle La religion naturelle est un projet né à la Renaissance, consistant à établir une religion sur le seul secours de la raison, appelée aussi la « lumière naturelle », et ce, indépendamment de la Révélation. On entend par religion un ensemble de croyances et de rites collectifs, mettant en rapport les croyants avec une puissance spirituelle surnaturelle. Vouloir établir une religion sur les lumières de la raison, c'est vouloir éviter l'obscurantisme, la superstition et le fanatisme

| | | |David HUME (1739) | |

« oui » général. En effet, les croyances sont diverses, ainsi que les savoirs. Pour cause, les croyances et le savoir ne s'accordent pas toujours, avec l'exemple de la religion et de la science. Nous pourrions alors nous demander comment les croyances et le savoir deviennent-ils des choix ? C'est pourquoi l'exemple de la religion et de la science revient , en effet les croyances en Dieu sont parfois plus fortes que la science chez certains individus et inversement parfois la science est plus forte

des certitudes, il donne les raisons de ce qu'il proclame comme vrai, par des observations, par des preuves. Au contraire, la croyance ne se base pas sur des démonstrations mais elle affirme qu'une opinion est vraie sans forcément la prouver. La religion ne demande pas d'explication là où le savoir en cherche une. Une croyance ne peut établir sa propre vérité sur aucune observation réelle, elle se repose sur une intuition, sur la foi. Nous pouvons prendre l'exemple de la théorie de l'évolution expliqué

central de sa philosophie : l'homme naît naturellement bon et heureux, c'est la société qui le corrompt et le rend malheureux. Il réfute ainsi la notion de péché originel. Jean-Jacques Rousseau retourne dans sa patrie d'origine en 1754 et retrouve la religion calviniste. Après un séjour chez Mme d'Epinay, il est recueilli à Montmorency en 1757 par le maréchal de Luxembourg et va y passer les années les plus fécondes de son existence. Son oeuvre principale, "Du contrat social", analyse les principes

science peut tout expliquer, ce sont les « philosophes empiristes ». Ils affirment que tout ce qui est accessible à l’humain, peut faire l’objet d’expériences et de raisonnement scientifique et pensent clairement que tout nous est accessible. David Hume affirmait : « nos connaissances et nos idées proviennent uniquement de l’expérience. » Mais l’expérience est-elle suffisante pour affirmer quelque chose ? Les scientistes, qui sont des personnes qui affirment que tout doit être soumis à la science

Gay Pierre Chaunu ; pluriel : mltiplication des idées évolution : quete du prfit, effritement es solidarités féodales, ruture de la chéritenneté, pratquede l'introspection John Greville Agard Pocock, : pas de processus uniforme Robert Darnton : Hume, Burke, Winckelmann, Kant, Goethe pas fraco français ambitions universai=lites, variantes nationales nationalismes commences au XVIIIe : 1680-1780 1780-1820 Pul Hazard la rise de la conscience européenne 1935 Desarte e newon tps fort de la

horloge marche et n'ait pas d'horloger. » Les hommes des Lumières observent et décrivent toutes les croyances : des religions proches, comme le judaïsme et l’islam, ou des religions plus lointaines, celles de l’Inde et de la Chine, mais celles aussi des païens en Océanie, en Afrique noire ou en Amérique. Ce recensement universel n’a pas pour but de récuser les religions, mais de conduire à une attitude de tolérance et à une défense de la liberté de conscience qu’illustrent Lessing ou Voltaire