Hybris

y a faute, c’est parce que le héros s’est trouvé dans une situation intenable : il est en conflit avec le divin, donc avec des forces qu’il ne peut pas maîtriser. Il est allé au-delà de la mesure de l’humain (= acte démesuré). Acte de démesure (hybris), irrationnel, dépassant l’humain… Mais comment a-t-il fait ? Comment expliquer cet acte irrationnel de la part d’un être qui aurait pu agir correctement ? Parce qu’il n’a pas eu accès à un savoir fondamental : il n’a pas su où il était, il n’a pas

mythe mais dans une version modernisée (ajout de scènes…). Ce dernier s’est concentré sur Crénon, alors que Jean Anouilh a centré sa pièce sur Antigone. Les tragédies mettent les personnages devant des dilemmes. Ces deux protagonistes font preuve de hybris/hubris : Crénon car c’est un tyran qui élimine tous ceux qui se mettent en travers de son chemin, il empiète sur le rôle des dieux, et Antigone car elle ne vit que pour les morts et ignore les vivants. La pièce est présentée pour la première fois

L’argent ne fait pas le bonheur  : cette méfiance vis-à-vis de l’argent relève du monde catholique mais pas du monde grec, juif, ou protestant. Finalement, Midas a préféré l’avoir à l’être. A cause de son hybris , il devient un monstre : en dévitalisant le cosmos, en transformant l’organique en inorganique, il menace l’ordre cosmique. C’est un anti-créateur, un anti-dieu : il fait le travail inverse de la création. D'ailleurs ne pourrait-on pas

a été punie de manière si injuste et qu’elle ne comprend pas. Mais il y’a aussi l’idée que c’est son hybris, sa démesure du fait qu’elle n'ait pas été pas assez triste pour le “malheur de Rome et la mort de deux frères” qui a engendré cette fin tragique, cette punition. Cela rappelle également le motif du personnage tragique qui commet une faute et qui est ensuite puni par les dieux pour son hybris. Ainsi, Camille possède une forte dimension tragique, en se présentant comme le jouet de la fatalité

avouer. C'est, comme toujours dans la profération d'aveu, notamment au théâtre, un instant douloureux, car il est la révélation de qqchose d'intime et secret. Termes à connaître hybris/hubris : notion grecque que l'on peut traduire par démesure. Sentiment violent inspiré par les passions et plus particulièrement par l'orgueil. affiches rouges : affiches de propagande placardées en France qui montraient des résistânts parisiens comme des terroristes, avant leur exécution. parataxe: absence

intelligence = bcp de ruses de la part de l'« inventif » ou « ingénieux » U. ≠ P. = « monstre gigantesque » ac « un cœur cruel » - Hybris d'U.  U. = Hô au sens négatif CAR défauts = curiosité qui conduit à la mort de compagnons + orgueil & fierté = « dis-lui que tu dois [ta cécité] à Ulysse, fléau des villes, fils de Laërte & noble citoyen d'Ithaque » = hybris = démesure CAR U. soucieux de sa gloire Chant X - 2ème partie du périple d'U. - Éole, Lestrygons & Circé Résumé. - Arrivée

souvent faire usage de nombreuses images, métaphores et figures de style pour atténuer la force de certains mots. Un autre point important est que beaucoup de choses représentées dans une tragédie (passions, colères), sont vus comme des démesures, « hybris », qui n’apportent que le malheur. Ce sont des choses négatives au XVIIe siècle et a L’Antiquité. Tout doit être mesuré. C’est l’idéale de l’homme du XVIIe. Mesure équilibré : « L’idéale de l’Honnête Homme »

de la tragédie A. Les personnages exemplaires incarnant la raison, l’ordre et la justice Kadmos, Tirésias, Banquo, Junie, Britannicus, Burrhus. B. La faute tragique : le héros entre innocence et culpabilité (cf Aristote) Ex. Hybris et impiété de Penthée Ex. Macbeth hésite avant de se laisser convaincre de tuer Duncan, c’est une résolution délibérée, il force le destin, Néron choisit le parti de Narcisse plutôt que celui de Burrhus, il a encore le choix d’être craint ou

par fierté qu’il donne sa main l.24. On constate ici l’impuissance du héros, sa bravoure et son panache ne lui sont plus d’aucun secours et provoquent sa perte. D.J a ici les caractéristiques du héros tragique : aveuglement orgueil démesuré (« hybris »). (cf. Œdipe chez Sophocle). Son courage contraste avec la superstition et la lâcheté de Sganarelle, dont les interjections « Ô, Ah » et les remarques inutiles et ridicules « c’est un spectre, je le reconnais au marcher » donnent à la scène

l’inconstance a)renouveau b) attrait de la beauté (« ravit », »cède », »entraine », connotation d’envouter et d’ensorceler au 17ème) 3) combat : il veut exercer son pouvoir et sa domination B Portrait du libertin 1) Liberté absolue 2) hybris (orgueil) (l’amour lui permet de s’affirmer, comparaison orgueilleuse avec Alexandre le grand) 3) Esthétique de l’amour et non seulement d’aimer une seule personne (forme de sadisme révoltant) C : plaidoyer brillant 1) Vocabulaire : verbe