Hybris

Épisode : partie dialoguée de la tragédie, limitée par deux chants du chœur et où l’action se produit. Épode : troisième partie d’une ode, divisée en strophe, antistrophe et épode. Exodos: dernière partie de la tragédie et sortie du chœur. Hybris: Démesure, excès, orgueil : traits des héros qui irritent les dieux et entraînent leurs représailles. Ironie tragique : désigne normalement l’emploi, par un personnage, de formules à double sens que son interlocuteur n’est pas en mesure de comprendre

également un instinct mais celui-ci ne programme pas son comportement. L'excès pour l’homme pourrait être interprété comme preuve de liberté à ne pas se laisser déterminer par son instinct (continuer à manger même si on a mal au ventre) • Ex : Hybris : chez les Grecs figure de l’excès • Rousseau indique que chez l’homme il existe 2 voies : la volonté de parler plus fort que la nature et la voie de la nature qui reste là, même invisible. • L'homme possède un instinct MAIS qui ne le détermine

Ciel jette un voile sur le regard des hommes, semblable à l'haleine qui brouille la surface d'un miroir ainsi verront-ils tout juste ce qui est à leur portée. S'élever au-dessus d'une condition désormais fixée, égaler les dieux, on appellera cela hybris chez les Grecs, ce qui veut dire démesure. Le monde judéo-chrétien parlera d'orgueil, le péché des péchés. En maya je ne saurais dire, mais l'idée était la même et les ethnologues l'observent un peu partout où il y eut des mythes. Les hommes devaient

fier aux apparences (41→49) ●Les mauvaises âmes : idée d'âme fatiguée : "rien de sain" (53) ; "lacérée...ulcérée" (54) vocabulaire de la faute : "injustice" "parjure" "rien n'est droit" "pas de vérité" (18 expressions) "démesure" (hybris → toujours puni) ╚> l'exercice du pouvoir corrompt, éloigne de la vérité. ● Les bonnes âmes :(sur les Îles des Bienheureux) piété et vérité : philosophe = vertu du travail / modestie / humilité ●Leçon qu'il envisage lui-même

sujet tragique . Cela se retrouve de part la démesure d'Ubu qui est la particularité de cette dernière. En effet le père Ubu est attiré par l'appât du gain , et est présenté comme violent et aveuglé. De plus on appelle cette démesure « Ubris » ou « Hybris » en grec ; cela peut donc être considéré comme un rapprochement avec le titre Ubu roi . Cette pièce est donc liée à la tragédie mais c'est également est une représentation du pouvoirs ( et de tous les totalitarismes) qui se fait par le rire avec

 distanciation  =>  apostrophes  directes  à   Jason  :  «  tu  »  =>  c’est  ici  un  monologue.   § Début  de  la  montée  de  colère  de  Médée  :  exacerbation  du  sentiment  :  paroxysme  =  hybris   de  la  haine  =>  les  sentiments  traduisent  de  la  tragédie  classique.   § Vers  245  :  «  sanglant  ;  meurtre  ;  carnage  »  opposition  de  mariage  //  divorce  («  mariage  »

On a vu que l’amour pouvait dépasser la mort mais ce sentiment peut être si fort qu’il peut nuire à l’être humain. La condition de celui-ci était son destin, et même une volonté par Amour est limitée à la volonté divine infinie et irréductible. Son hybris même l’a trahi : ce mythe démontre donc que quelle que soit l’intensité de la volonté humaine, celle-ci se heurtera toujours à la fatalité divine. b) L’être humain devant accepter sa condition Perséphone, en donnant sa condition à Orphée de regarder

sorcellerie dissimule ainsi qu’à assouvir sa soif qui le pousse à vouloir atteindre des sommets dont peu d’hommes peuvent s’en venter. Il cherche la gloire, il veut se rapprocher des dieux, jusqu’à en être leur égal et il est profondément ancré dans « l’ hybris ». l’excès Ainsi , nous reconnaissons bien le mythe d’Icare qui malgré les avertissements de son père (ceci dépend des versions), tente de s’approcher au plus près du soleil. C’est une sorte de tentative d’égalité entre l’homme et la

--> droits inaliénables Xénos, sacré celui qui reçoit l'hospitalité ; Zeus l'hospitalier Xénos dias sinon puni par la justice divine Il n'y a pas de subjectivité chez les grecs (un monde ou loge la conscience) le péché n'existait pas chez les grecs, hybris tout commence par la démesure. Il n'y a pas la notion d'intention. 

« hunte », le « huntage » et la « vergoigne ». ➢ Leur souci noue des nœuds étranges entre la vie et la mort  : il faut mourir dignement pour que les parents puissent continuer à vivre en paix. ➢ Ils commettent tour à tour la faute de démesure, mot grec hybris. Ne pas savoir s’arrêter à temps, vouloir trop en faire, présumer imprudemment de ses forces parce qu’on se sent invincible. Enseignements à tirer sur la représentation de la guerre. ➢ L’épopée alterne des scènes de violence spectaculaire et des