Hybris

unités de mesure…) ; • les récompenses (prix Nobel, médaille Fields,…) ; • la fuite des cerveaux. - Représentation du savant dans l’art, la littérature, la BD, le cinéma : • le savant distrait (professeur Tournesol,…) ; • le savant fou pris par l’ « hybris » (Mabuse, Frankenstein,…) ; • les savants et ingénieurs géniaux (Nemo de Jules Verne, …) ; • l’iconographie officielle. - La représentation « populaire » du savant : • le bienfaiteur de l’humanité (Pasteur) ; • le savant victime de ses recherches

parisiens sont en relation avec la corruption des âmes. C’est la ville qui serait à l’origine de cette dégradation des conduites. Balzac montre l’inhumanité de ces hommes mais aussi comme des surhommes ratés, frappés par un « syndrome de démesure » (hybris). Ils s’occupent d’affaires qui dépassent les hommes, les tâches qu’ils accomplissent devraient être faites par Dieu, ce qui cause leur propre perte. On voit donc une superposition entre le réalisme de la description de la société, et une sorte de

questionnements mettent en doute l’autorité du gouvernement et donc de la loi et nous permettent de nous demander : peut-il être raisonnable de désobéir à la loi ? Est-ce qu’il y a de situations où le bon sens est de nier l’autorité et commettre un hybris, désobéissant les lois fruits du pouvoir souverain ? Dans un premier temps, on peut remarquer l’utilisation du modalisateur ‘peut-être’, ce qui fait une distinction importante. La problématique ne fait pas référence à la désobéissance de la loi dans

malédiction des dieux pour excuser sa propre faute « Dans quels égarements l’amour jeta ma mère ! », « Ariane, ma sœur », évocation de Vénus à 2 reprises (trahison du Soleil et de la mère de Phèdre). « Je péris la dernière et la plus misérable » : hybris, orgueil démesuré du personnage, elle se pense extraordinaire. b) Un personnage qui suscite pitié et terreur : Elle aime son beau-fils, inceste : elle suscite la terreur. Elle est monstrueuse, inhumaine « silence inhumain ». Elle suscite

enfin mon cœur à dévorer. » : Oreste est prêt à mourir, il ne peut plus lutter… Il se sent impuissant. La métonymie du « cœur » symbolise ici sa vie. II. Oreste ou la sortie de scène du héros tragique 1) La mise en scène de la folie L’ hybris envers les dieux : Oreste accuse violent les dieux d’être responsables de son malheureux destin. Il fait preuve d’orgueil et de démesure, la punition des dieux ne se fait pas attendre. Il sombre dans la folie… L’agitation extrême du personnage est

|caractère aussi irrésistible et invincible que la volonté des dieux. | |Hybris |Ce mot grec désigne généralement tout ce qui dépasse la mesure. Il est synonyme | | |d’emportement violent, d’orgueil insolent, de témérité impétueuse. Fait preuve hybris,| | |celui qui transgresse l’ordre naturel des choses, qu’il s’agisse

avec le manteau : - « Je ne peux plus supporter ce regard » l.11 (elle recouvre le corps d’Egisthe) = remords et culpabilité - « Que m’import ce regard » (elle arrache le manteau) = elle accepte / assume sa culpabilité hybris (= la fureur) • Opposition entre ce qu’avait imaginé Electre et la réalité « Je ne m’en rendais pas compte « l.4 en songe : « Ses yeux étaient clos, il avait l’air de dormir » « Il n’a pas l’air de dormir et ses yeux sont ouverts » chiasme

contraintes à tous les niveaux - censure comme déclencheur de la création………………………… - texte ou représentation contrôlés pour libérer idées et images………. B. Triomphe du spectacle total guidé par la démesure ( hybris ) - magie et folie des sens pour la scène : bruit, lumière, parole,………… - mélange d’autres arts dans les mises en scène actuelles…………… Sujet 2 : Doit-on forcément connaître le contexte d’une pièce de théâtre (

un débat entre deux personnages soutenant chacun une thèse opposée, par exemple le débat du juste et de l’injuste dans Les Nuées d’Aristophane (et que l’on retrouve par exemple entre Philinte et Alceste, qui tous deux soutiennent une thèse opposée) Hybris ou « démesure » : C’est un sentiment violent inspiré par les passions et plus particulièrement, par l’orgueil. Les Grecs lui opposaient la tempérance, ou modération. Dans la Grèce antique, l’hybris était considérée comme un crime. Dilemme : Nécessité

fatalité mortuaire; personnages monstrueux dans leurs dépassements de leurs actes moraux. Leur passion amène à l'homicide et à la mort. Giovanna est aussi la séductrice qui conduit l'homme jusqu'à la destruction. Elle a sur elle le pêché d'orgueil (hybris). Le désordre et l'ordre. Le réalisme a été dépassé par l'esthétisme.