Hybris

impose une hiérarchie entre les Dieux et les Hommes condamnant ces derniers à vouer leur vie au travail et en ne leur laissant aucune chance de se mettre au niveau des Dieux. Il empêche les hommes d’agir par hybris comme il a puni Promethée après que ce dernier est péché par orgueil et donc par hybris. De plus Zeus condamne les Hommes à souffrir de tous les maux possibles. Seule l’espérance est resté au fond de la jarre ce qui signifie que les Hommes souffriront des maux mais pas de l’attente de ces maux

elle est confirmée - Dom Juan peut être comparé à un héros tragique car il est noble, il va aveuglement vers sa perte, brave les lois divines, meurt C'est le mortel contre le destin, il défi Dieu → dans ce cas, il peut être comparé à Prométhée hybris (voir le mythe d’Œdipe) - La présence d'une catharsis = purgation tragique, visée morale - Par le choix de la nature du châtiment : le feu est purificateur. - Une valeur universelle: dans l'apparence du spectre, dans le fait qu'il s'adresse à Dom

Dom Juan dans la mort, le lexique de la mort est omniprésent « perte », « mort funeste », allégorie de la mort « esprit avec la faux à la main ». Dom Juan est puni par l’intervention de la puissance divine. Dom Juan a été condamné pour sa démesure : hybris. Dom Juan a péché par son orgueil ; il veut être le maître de son avenir. La fin de Dom Juan n’inspire pas vraiment au spectateur de la pitié ou de la terreur (sauf à Sganarelle). La présence de Sganarelle prête à sourire : ses différentes interventions

enviable pour un homme· Immortel = rien à désirer · Autarcique = seul l’homme demeure pour toujours un animal social Ø utopie individualiste La folie du toujours plus :· Hybris de l’homme pour Antiques ce qui dépasse la nature d’un être = folie· Rien de mieux que d’être pleinement humainContre-argument : y a-t-il vraiment une nature humaine préétablie ? posthumanistes ne reconnaissent pas de nature humaine => l’homme

Vous savez mieux que moi ce que peuvent ses charmes. » , ce qui ne respecte pas les règles de la tragédie classique, mais baroque. En revanche, Corneille respecte les unités d’action et de temps et le fait qu’il y ait un personnage principal avec un hybris, une sorte d’orgueil démesuré, ici Jason. Nous pouvons le constater au vers 28 : « Les sceptres sont acquis à ses moindres regards. », et aux vers 15 à 18 : « Médée en son malheur en pourra faire autant : qu’elle soupire, pleure, et me nomme inconstant

de la réaction comme pour conjurer le sort à croyance illusoire, dérivatif à la réalité .à action multipliée, agitation : appel à l’autorité de l’Etat, de la famille à opposition entre action et résultat nul, condition humaine et fatalité : hybris. M. de Nemours croit pouvoir dominer le destin à Pour combattre son destin qu’il pressent pourtant inéluctable, M. de Nemours, torturé par le désespoir de voir s’éloigner Mme de Clèves, met tout en œuvre pour la faire revenir mais en vain. Pas d’heureux

prouesses, affrontant de multiples dangers, qu’ils ceux qui proviennent des hommes, ou des dieux, ou encore de monstres prodigieux. Mais par bien des aspects, Ulysse paraît être souvent bien plus un homme en proie à ses démons, à ses faiblesse, à son hybris, au point qu’il paraît légitime de se demander s’il est un héros. Pour répondre à cette question , il faut tout d’abord définir ce que l’on entend par héros, ce que recouvre ce terme particulièrement polysémique.Étymologiquement héros en grec signifie

dans la caverne de Polyphème, Ulysse et ses compagnons volent et mangent les fromages sans vergogne. À l’horreur du repas du cyclope, répond l’horreur de la mutilation infligée par Ulysse. III- Un épisode clé du point de vue symbolique A- Un hybris châtié Importance narrative de l’épisode qui explique pourquoi Ulysse mettre dix ans à rentrer. Temps nécessaire pour échapper à la barbarie en soi. B- Le risque d’une perte d’identité Du point de vue symbolique, en déclarant s’appeler «

points. *** Phèdre et Antigone sont tous les deux des pièces tragiques , elles comportent donc des points communs important, c’est ce que nous allons voir dans cette partie .Tout d’abord on observe dans la citation d’Anouilh qu’il parle de destin, hybris : «  parce qu’on sait qu’il y a plus d’espoir », or dans Phèdre on y retrouve cette fatalité avec l’amour de Phèdre à Hippolyte .La fatalité est pour commencer un ressort du tragique puisque Phèdre lutte en vain contre un destin qu’elle n’a pas choisie

eux c’est ê au milieu entre le peuple et les nobles. Ex : Solon= fondateur de la démocratie athénienne, Solon se disait comme un loup entre 2 camps, au milieu ds sa cité. A) « Eunomie », « hybris », « anomie » et guerre civile à l’époque archaïque. La Cité-Etat archaïque (VIII-VIème s) : eunomie et hybris avant la démocratie. Cette notion de milieu entre les extrêmes= le prototype d’une modération de la pô. Sur ces « cités-Etats » on a des témoignages ds la poésie qui font état des luttes violentes