Héroine Tragique Caractéristiques

indépendante, le 28 octobre 1989, le même jour que celui de son cousin Mustapha Kateb, qui dirigea le Théâtre National d’Alger (TNA) à l’aube de l’indépendance. Et c’est la sœur de celui-ci, Zouleikha, la cousine qui inspira à l’auteur sa mythique héroïne Nedjma, qui ramena de France où ils étaient soignés, les dépouilles des deux cousins. Ils seront inhumés dans le même carré au cimetière d’El Alia, à Alger, la proximité de leurs tombes scellant à jamais leur roman familial. Le déroulement des

…………………....... …………………....... Exemples : Exemples : Exemples : …………………....... …………………....... …………………....... …………………....... …………………....... …………………....... III. Les fonctions du rire Pour Cyrano, l’amoureux héroïque au destin tragique, le rire est souvent une arme contre les larmes… Si l’épée du Gascon est sa plus fidèle protectrice, son humour, tour à tour impitoyable, tendre et spirituel reste son meilleur allié pour surmonter les épreuves. Retrouvez dans la pièce des passages

première tirade qu’il prononce. Les deux autres textes affirment clairement l’aspect artificiel du théâtre et de l’exposition en particulier. La présence du chœur est la marque de la théâtralisation, fantaisiste pour On ne badine pas avec l’amour, tragique pour Antigone. La pièce de Musset innove dès l’arrivée des personnages, décrits ironiquement au public par le choeur : le premier à entrer en scène porte un nom latin et est affublé d’un titre vieilli « messer » qui devrait lui conférer une grande

contexte politique 13 1. La Monarchie absolue 13 2. Racine, historiographe du Roi 14 II – LA VIE DES THÉÂTRES : HISTOIRE D’UNE CONCURRENCE 16 III – RACINE ET LE JEU DES RÈGLES « CLASSIQUES » 19 1. L’écriture tragique au XVIIe siècle 19 2. Motifs galants 24 3. L’imitation créatrice : « l’écart » racinien 26 4. Complément : typologie racinienne 27 PARTIE II – POUR L’ANALYSE DE BÉRÉNICE 35 Illustration : l’allégorie

l’exclusion des règles classiques est à associer au fait que Ruy Blas est un drame en vers. Hugo prend là quelques distances avec la définition du drame romantique donnée par Stendhal dans Racine et Shakespeare (1823) : « Le romantisme appliqué au genre tragique, c’est la tragédie en prose qui dure plusieurs mois et se passe en divers lieux ». Le mélange des genres Victor Hugo a fait du mélange des genres une obligation absolue car c’est le principe de départ pour instaurer ce qui lui tient le plus à cœur

même temps, ce sont les écrivains qui redonnent vie à la forteresse et qui l’axent non pas sur sa fonction protectrice originelle, mais sur une fonction inédite. En effet, le château devient ici un lieu de clôture, destiné à emprisonner la jeune héroïne éduquée selon les principes de la culture sentimentale de l’époque, et à lui proposer une série d’épreuves et de situations au cours desquelles elle puisse démontrer sa vertu. Tout cela se pose hors du contexte, non dans des situations qui

assume nombre de monologues. on re- père, dans ces monologues, certains passages types caractérisés par F. dupont5: Le «monologue de la passion» qui pose l’argument mythologique: il développe les potentialités du masque, prolonge en actel’épithète caractéristique du héros6. Le héros expose son dolor initial, sa passion, sa souffrance. ici Médée s’affiche comme extrêmement blesséepar la trahison de Jason pour Créüse(v. 1-55)7. Le «monologue du furor » où s’expriment la colère et le ressentiment de Médée

commence par plaindre son amant qui est «infiniment affligé». Elle, qui a toujours pensé «que l'amour [...] quand I'objet en était honnête [...] inspirait encore une nouvelle ardeur d'acquérir de la gloire», maîtrise sa propre douleur, et, en fière héroïne, assume la séparation parce qu'elle est convaincue d'être exclusivement aimée à jamais : «Vous donnerez une femme à l'illustre Titus [...] ; mais vous ne donnerez point de rivale à Bérénice», qui «doit être votre seule passion». Elle ajoutait : «Je

au massacre de la cité. Issue du peuple. Peut-être en est-elle le symbole. • Tous ces personnages parlent-ils de la même façon ? Avez-vous noté quelque chose quant au langage dans cette pièce ? Personnages adoptent tantôt un registre sérieux (=> tragique) tantôt un langage plus familier qui fait que la pièce semble proche de nous, comme une comédie. + Rappel sur ce que sont la tragédie et la comédie (sera repris dans la S.8) Tragédie : tout est joué d’avance, dès le départ on sait que la fin sera

ordinaire en 3 époques, // 3 actes d’une tragédie :           - saison du plaisir (strophe 2)           - saison de la paresse, vie dépensée à ne rien produire (strophe 4)           - tardifs regrets d’avoir oublié les valeurs (strophe 6) Caractéristiques de la tragédie : v2, puissances divines menacent le destin de l’Homme qui se perd au lieu de s’affronter à la vie, de construire une existence de vertu. Il est averti mais porte en lui les causes même de son châtiment (parallèle avec Dom Juan deMolière)