Ideologie De Descartes

LA LIBERTÉINTRODUCTIONAvant de s’engager dans un débat sur la liberté, cherchons à la définir. Pour qu’elle s’applique à toutes les formes de liberté nous ne pouvons en donner qu’une définition négative : elle est absence de contrainte. On parle alors de libertés au pluriel, car il y a autant de libertés que de contraintes dont on s’affranchit. Par exemple, on parle en physique d’un corps qui tombe en chute libre, c’est à dire indépendamment de toutes les forces autres que la pesanteur, en politique

pré-humanisme · A l’ humanisme de la bienveillance (Montaigne) · A l’affirmation du sujet autonome càd l’affirmation du moi comme substance (Révolution introduite par Descartes) * Le premier moment porte sur les travaux d’un auteur Italien Pic de la Mirandole . Il est l’auteur de De la dignité de l’homme . On parle aussi du

procès de Galilée débouche sur l’abjuration officielle de sa thèse, il est considéré comme le marqueur du début des sciences modernes, car il a grandement influencé les scientifiques et philosophes à s’émanciper de la théologie. C’est ainsi que Descartes, philosophe français né en 1596, va réfléchir à une méthode pour se rapprocher le plus possible de la vérité, en rendant compte de la nature en langage mathématique. Avec son ouvrage Le Discours de la Méthode (1637), il se place en précurseur de

historiques) est la religion naturelle. La religion naturelle ne peut être liée à aucune coutume, elle s'identifie à la moralité, non pas comprise comme commandement extérieur mais comme impératif de la raison. La modernité est introduite par Descartes, penser librement, c'est penser radicalement, càd revenir à la racine des choses. Le doute ne peut dès lors que prendre la forme d'un doute radical et hyperbolique. Il s'agit d'ignorer toute tradition, de s'extraire du monde pour revenir en soi.

les sens humains peuvent percevoir. Il est donc lié à la conscience. Cependant, l'imperfection des perceptions, maintes fois démontrée, ainsi que celle des représentations du sens commun obligent à ne pas en rester là. Les philosophes tels René DESCARTES (Principes, I, x) ou Baruch SPINOZA (Ethique, I, définition 3) éprouvant cette difficulté en ont fait une notion première6. 1.1.1.2 L'existence du réel Devant ces difficultés de définitions, beaucoup affirment que le réel n'existe pas. Les solipsistes

en même temps dans la confusion sans risque d’obscurité comme on le voit avec les idées de « déesse raison » pendant la Révolution de 1789, de « fin de l’histoire » au XIXe siècle, ou celle de preuve dite « mathématique » de l’existence de Dieu (Descartes, 1965b et Kant, 1986a). Il y a donc une différence première entre l’esprit philosophique et l’esprit religieux. Dans le premier cas, tout est critiquable, y compris la critique ellemême ; il n’y a pas de domaine interdit à l’exercice de la pensée

scientifique, médecin généticien, et essayiste français. Directeur de recherche à l'Institut National de la Santé et de la Recherche Médicale, et ancien directeur de l'Institut Cochin, il est depuis le 20 décembre 2007 le président de l'Université Paris Descartes. Axel Kahn est surtout connu du grand public pour sa vulgarisation scientifique et ses prises de positions sur certaines questions éthiques et philosophiques ayant trait à la médecine et aux biotechnologies, en particulier au clonage ou aux organismes

imagination nous renvoyant systématiquement à une couleur existante et que nous connaissons. C’est là qu’existe en réalité une différence entre ce que nous imaginons et ce que nous concevons, ce qui a aiguisé la curiosité des philosophes. Ainsi, René Descartes prenait l’exemple du polygone à mille côtés en disant «Si je veux penser à un chiliogone, je conçois bien à la vérité que c’est une figure composée de mille côtés, aussi facilement que je conçois qu’un triangle est une figure composée de trois côtés

philosophie : « La lutte contre les préjugés est-elle sans fin ? » Qu’est ce qu’un préjuger ? Le préjuger est un jugement porté prématurément ; de racine « praejudicare » en latin ; sur une personne, une race, un type, un concept, une vision, une idéologie … en réalité toutes choses peut être jugé. Les Hommes donnent une valeur à chaque chose sans même en avoir fait l’expérience ou encore connaître la véritable nature de celle-ci. Le préjuger est une idée admise sans démonstration, et toute personne

la puissance des préjugés. Descartes rappelle que « nous avons été enfants avant que d'être hommes » afin de nous sensibiliser au poids, souvent inaperçu, des idées acquises sans examen. L'historien doit en être particulièrement conscient puisqu'il prétend connaître des époques différentes de la sienne. B. Le positivisme Cet idéal d'objectivité se caractérise d'abord par l'attachement aux faits, par opposition aux reconstructions dues à la fantaisie ou aux idéologies partisanes. Auguste Comte,