Igname

(Cordyceps sinensis) • Crataegus oxyacantha (Aubépine) • Cucurbita pepo (Citrouille (huile et graines)) • Curcuma (Curcuma longa) • Cynara scolymus (Artichaut)   D [pic] • Damiane (Turnera diffusa) • Dioscorea villosa (Igname sauvage) E [pic] • Échinacée (Echinacea angustifolia, purpurea, pallida) • Éleuthérocoque (Eleutherococcus senticosus) • Éphédra (Ephedra sinica) • Épimède (Epimedium grandiflora) • Equisetum arvense (Prêle des champs)

entretien, équipement mécanique, manutention, etc…) Agriculture, élevage et pêche L'agriculture gabonaise est peu développée. Elle est constituée essentiellement de cultures vivrières destinées à l'autoconsommation (banane plantain, manioc, taro, igname). Les villageois vendent leurs quelques surplus au marché pour gagner un peu d'argent. Ils élèvent quelques volailles autour de leurs maisons et consomment de la viande de brousse, ramenée par des chasseurs. Ce système ne peut pas permettre d'alimenter

jours, on faisait bombance en dégustant les nombreux plats qui caractérisaient et caractérisent encore le Noël antillais : • Jambon fumé (*) ; • Pâtés à la viande ; • Boudin créole (*); • Ragoût de porc; • Pois de bois (ou pois d'Angole) (*); • Ignames, riz blanc; • Gâteaux; • Mandarines. On arrosait toutes ces bonnes choses avec du rhum, des punchs à base de sirop de groseilles (*), de l'anisette ou du shrubb (*). (*) Voir les recettes. Dans les familles modestes, le Père-Noël ne passait pas

Ainsi, les 2 422 exploitations enquêtées concernaient-elles 13 280 personnes pour un territoire d’environ 15 000 habitants. Les surfaces cultivées occupent 1350 ha soit 9,5% de la surface émergée, essentiellement en cultures vivrières (taro, igname, kapé, manioc, bananes, arbre à pain …), non compris les jachères pluriannuelles et les quelques unités de maraîchages qui émergent (environ 2 ha sur l’ensemble des deux îles). L’élevage Le porc demeure un élément essentiel de la coutume

vécus eux mais généralement ce qu’ont vécus tout les guadeloupéens du pays, il nous ai dit qu’il fallait se débrouiller avec ses propres moyens locaux . La préoccupation majeure était de remplir les ventres affamés. On mangea beaucoup de racines (ignames, patates douces, dachines/madères, choux/malangas), de ti-figues/ti-nains, de poyos, de bananes plantain, de légumineuses (lentilles, pois boukoussou, pois savon/chousse ...), de fruits à pain. Comme chair, il y avait la morue salée. La viande et

obtenue à ‘l’aide d’un mélange de plusieurs feuilles notamment de gombo et d’aubergine), le raihô (aubergine) ainsi que le tchregno(sauce graine) qui leur sont particulier. Sur le plan évènementiel le plus connu et le plus en vu est la fête des ignames comme chez beaucoup de peuple Akan .Chez les koulangos cette fête qui se déroule plusieurs fois dans l’année (les mois d’octobre et de septembre) est une fête dont seul les animistes y ont droit car les religieux là considère comme une fête d’idolâtrie

| | | |igname 薯 | |intestin 肠子(  肠胃, intestin et estomac)

concombres, les courgettes, les gombos ; d’autres sont saisonniers, tels le chou pommé, le pois canne et le pois d’Angole, et l’étonnant fruit à pain à consommer le jour même. Les racines entrent dans la composition de nombreux plats guadeloupéens ; ignames, patates douces, malangas(ou choux caraïbe). Parmi les autres légumes-pays, la cristophine est délicieuse en salade ou en gratin, la banana -légume accompagne poissons et viandes, le giromon est un légume proche de la citrouillequi est souvent utilisé

olives, oranges, pêches, prunes, pruneaux, raisins, rhubarbe… Cures : *un repas normal remplacé par une grande ration d’un légume ou fruit cité *une monodiète de 24 heures Utilisation de glucides à IG bas : banane verte, haricots rouges et blancs, igname, lentilles, madère, malanga, patate douce, pois d’angole Les amidons résistants sont dégradés en acides gras volatils (AGV) dont le butyrate. (polysaccharides non amidonnés, oligosaccharides, résidus protéiques et lipidiques) : fermentation de substances

le manioc. Les cultures commerciales sont dominées par le cacao, le café, le tabac, canne à sucre, palmier à huile. Dans les plateaux de l’Adamaoua : L’agriculture est secondaire et pratiqué par les minorités Dourou et baya. On y trouve : macabo, ignames, mais, mil, manioc, arachide. Dans les plaines du Nord et les monts Mandara : La région est propice à l’agriculture des arachides, du mil, du sorgho. Les cultures commerciales sont le coton et le riz. C. Quelques problèmes de l’agriculture au Cameroun