Immanence Et Transcendance

dire que la religion est un fait social et pensent que l'on peut étudier la religion avec les outils de la science. La religion, qui est un phénomène de transcendance, peut donc être étudiée avec les outils de l'immanence. Transcendance = Ce qui pousse l'homme vers le haut (exemple de la religion qui admet qu'il y a une existence divine) Immanence = Ce qui tient l'homme sur terre 1) Durkheim Il pense que le fait religieux n'est pas la croyance en Dieu mais ce qui importe est le sacré. La religion

masque qui danse est le dieu qui ayant emprunté la forme humaine se rend sensible pour partager la fête avec les hommes. C’est pourquoi, la fête au sens fort, celui que défend Georges Bataille, est toujours religieuse car en elle se mêlent transcendance et immanence ; l’éloignement et la proximité. D’une manière générale, le culte des ancêtres en Afrique est un processus de présentation de l’invisible dans le monde sensible. Cette présentation de l’invisible s’élabore dans le rite de la représentation

dans ma conscience, me les représenter, autant autrui s’échappe toujours et il se présente en fait tant qu’il s’échappe sous la forme d’une absence, c’est ce qu’il appelle une apprésentation analogique. Autrui représente une transcendance par rapport au monde. Cette transcendance est le signe d’un égo, d’une subjectivité, d’une autre dimension du sens. Husserl pose alors la question : « comment se fait-il que mon ego, à l’intérieur de son être propre puisse, en quelque sorte, constituer l’autre justement

ordres de règles, un ordre fait de règles issues de la nature, mais quelle nature, et celles issues du droit humain, du pouvoir humain, des droits posés par l’homme donc le droit posé, mais avec quelles valeurs, avec quelle finalité, avec quelle transcendance. Dans ce point de départ, il est possible de constater que ce débat entre jus naturalismes et jus positivismes a habité, irrigué, vivifié et finalement structuré toute l’Histoire de la pensée juridique. Ainsi deux parties vont être analysées

faudrait-il exclure Antigone de la série des mythes littéraires ? Et Tristan ? 33 Certes, si l’on considère des enjeux « métaphysiques » larges comme la liberté ou l’amour, alors il n’est pas difficile de trouver dans ces récits une forme de transcendance – mais dans ce cas, la refuserait-on à Casanova ? • L’éclairage métaphysique en question Ce critère de l’éclairage métaphysique me paraît donc sujet à caution. Il me semble que la fréquence des mythes marqués par la présence d’un « Regard

C – De l’individu à la société  D – Pensée directe et pensée indirecte   E – L’archétype        Chapitre II : Vers une exégèse de la religion naturelle                                 A – La transcendance impersonnelle ou                                           Puissance                                  B – La transcendance personnelle : La                                            Pneumatologie                                  C – En guise de rappel          Chapitre III : Phénoménologie d’un espace négro‐africain :  

réel et symbolique, comme lorsque les deux combattants se rendent sur les lieux du duel. Filmer le mouvement d’un corps en l’accompagnant, c’est en quelque sorte nous faire adhérer à l’énergie, à la volonté supposées qui l’habitent, mêlant immanence et transcendance. De la même manière, les trajets de la dernière séquence du film – l’enfant amenant l’œuf à Attou, sa mère posant l’œuf au pied de l’aile du Korê puis la rapportant à son fils - sont filmés en travelling pour donner à ce parcours sa dimension

groupe comme l'expression d'une société transcendante puisque nécessairement il s'agit d'une force limitative de la libre action et donc opposée à ce qui en nous est le plus individuel. 185En conclusion, la société est en même temps une immanence et une transcendance psychologiques qui en font une réalité, une chose d'ordre psychique sans doute, mais non pas seulement un mot. Nous penchons donc vers le réalisme psychologique, mais en repoussant avec force tout aspect organiciste. 186Nous définirons

immanent de mouvement et de repos), étant donné, enfin, que l’âme joue « le rôle de moteur et de fin » (ibid.), si le naturaliste ne se préoccupait pas de l’âme, la vie même, c’est-à-dire les raisons de sa structuration, de son fonctionnement, son immanence et sa spontanéité lui échapperaient). Aristote étudie « cette sorte d’âme qui n’existe pas indépendamment de la matière » (Métaphysique, E, I, 1026a5-6 et De l’âme, I, 1, 403a28). L’âme n’est pas une entité sur-naturelle, méta-physique ou transcendante

contemplation du spectacle cosmique. En plus du bleu, le blanc véhicule aussi une dimension spirituelle ; "c'est pourquoi le blanc agit également sur notre âme (psyché) comme un grand silence, absolu pour nous" [7], un silence méditant, annonce d’une transcendance qui s’affirmera pleinement lors de la rencontre amoureuse. Cette spiritualité dont témoigne la couleur met en évidence un état intérieur d'éveil à la béance du monde, un état de disponibilité, de détachement, propice à la méditation, à la fiction