Immanuel Wallerstein

se référait principalement aux mouvements anticoloniaux et de libération nationale des années 1950 aux années 1970, « ainsi qu’à l’analyse politico-économique des théories de la dépendance et du système-monde capitaliste (André Gunder Frank, Immanuel Wallerstein, Samir Amin). » Qui plus est, Hobsbawn (1999) souligne que pour le tiers-mondisme, l’émancipation de l’humanité se réaliserait par « la libération de la périphérie appauvrie, exploitée et condamnée à une dépendance forcée par les pays du centre »

Altermondialisation Bibliographie sur l'altermondialisation Biens publics à l'échelle mondiale Collectivisation Diversité culturelle (mise à mal par la marchandisation, selon ses détracteurs) Fétichisme de la marchandise Immanuel Wallerstein Karl Polanyi ("marchandises fictives": terre, travail et monnaie). Libéralisation de l'enseignement en France Privatisations en France Riccardo Petrella Lien externe

Royaume-Uni et qui se diffuse progressivement dans toute l’Europe Occidentale et aux Etats-Unis et enfin au reste du monde, provoquant ainsi l'émergence du concept d'économie mondiale. Ce concept a été analysé par 2 historiens : Fernand Braudel et Immanuel Wallerstein, qui ont travaillé sur les mutations économiques et leurs explications sur le long terme. Aujourd’hui, l'idée d'économie mondiale est articulée avec l'émergence de nouvelles puissances économiques (Russie, Chine, Inde..) qui vont être a

choix, l’un des deux sujets suivants : Sujet n°1 : « Je considère que l'hégémonie américaine dans le système-monde est parvenue à son apogée à la fin des années soixante, et qu'elle se trouve depuis en lent mais continuel déclin. ». Immanuel Wallerstein Le Capitalisme historique, postface à la deuxième édition (2002) Après avoir explicité cette affirmation en la replaçant dans la pensée de son auteur, vous développerez un ensemble d’arguments permettant de la justifier. Sujet n°2

l’expansion du sys capitaliste à l’échelle M· Cette expansion débouche sur la convergence des prix et des salaires, homogénéisation des marchés, densificat° des échanges, densificat° des flux de tt sortes (financiers, éco, cul, migratoires…)·  Immanuel Wallerstein appelle cela un « sys monde »Principale caractéristique de la mondialisation : - la mobilité (des capitaux, des hommes, du travail) - Branco Milanovic , “la prime de citoyenneté” = le

interventionniste. Dans les années 60 on l'appellera le néo-capitalisme caractérisé par la régulation de l'Etat, l'amélioration de la vie du prolétariat,et des fluctuations moins importantes qu'auparavant. b) les dysfonctionnements Selon Immanuel Wallerstein, nous entrons dans une phase du déclin du capitalisme si l'on en croit les cycles de Kondratieff. En effet, après une des plus longues périodes de prospérité depuis la naissance du capitalisme, nous entrons dans une phase de déclin profond

auparavant inscrit dans un cursus sociologique et je me souviens que nous avions effectué tout un travail sur la notion « d’identité fictive » par le biais de deux livres: Race, Nation et Classe: les identités ambigües de Etienne Balibar et Immanuel Wallerstein et L’imaginaire national: Réflexion sur l’origine et l’essor du nationalisme de Bénédicte Anderson. Ces deux ouvrages tendaient à montrer que les concepts de « nation » ou « d’identité » sont des constructions imaginaires et fictives basées

des historiens lie l’apparition de l’Etat moderne aux transformations sociaux écos qui sont apparues au Moyen Age et qui se sont imposés au fil des siècles. Ces transformations sont principes d’une division du travail. L’un des tenants est Immanuel Wallerstein, notamment dans son ouvrage Le système monde du 15ème siècle à nos jours. Il fait de la naissance du capitalisme marchand la cause éco du développement de l’Etat. Il s’attache à montrer d’abord comment l’ouverture des océans et l’apparition

toujours invoquer un facteur extérieur) et donc dépourvue de caractère scientifique. Différents auteurs marxistes n'en ont pas moins entretenu jusqu'à nos jours l'idée d'une fin prochaine du capitalisme. C'est le cas de l'historien et sociologue Immanuel Wallerstein (12). L'idée d'une fin du capitalisme est également présente chez des penseurs non marxistes.

pratiquement atteint le niveau du produit intérieur brut (PIB). L’effondrement du système soviétique a résulté dans le passé d’un crise systémique. Peutil en aller de même du système capitaliste ? Certains le pensent, tel par exemple l’économiste Immanuel Wallerstein, pour qui « nous sommes entrés depuis trente ans dans la phase terminale du système capitaliste », car le capitalisme ne parvient plus à « faire système », c’est-à-dire à retrouver l’équilibre après avoir trop dévié de sa situation de stabilité