Impératif catégorique

peut se définir comme une règle d'action particulière, ou une obligation définie comme étant propre à une fonction (par exemple, le devoir de réserve du fonctionnaire.) Comme obligation morale, le devoir semble se justifier de lui-même, comme un impératif que chacun peut se délivrer ‡ lui-même. Toutefois, est aussi simple ? L'obligation sociale serait extérieure ? L'obligation morale serait intérieure ? Et les deux seraient parfaitement séparées ? Devoir et contrainte : La notion de devoir semble

devoir, simplement que mes actions y soient conformes. D’après Kant, « le devoir est la nécessité d’accomplir une action par le respect de la loi ». La seule façon de faire mon devoir, c’est d’agir uniquement par respect de la loi, par impératif catégorique. Le devoir n’a aucun contenu particulier. Peu importe le but que je dois atteindre en faisant mon devoir, l’action morale ne tire pas sa valeur de la réussite de ce que j’ai entrepris. « Tu dois » est une parole intérieure que je m’adresse

d'estime, autrement dit : n'est pas digne d'être considéré comme une opinion favorable. Par conséquent, cette différence entre les actes qui ont l'apparence d'actes moraux autrement dit « conformes au devoir » (impératif hypothétique) et les actes faits par devoir (impératif catégorique) relève du respect que tout un chacun devrait avoir face à une règle de conduite ou « maxime » qui nous commanderait de considérer l'autre comme une fin et non comme un moyen (respect de soi, respect de l'autre)

paix a) Armistice, absence de guerre, paix b) La paix dans l'état de nature c) Les illusions du pacifisme Transition : le pacifisme ne résiste pas aux passions Il - Le Devoir de faire la paix a) La guerre hors la loi b) La paix comme impératif catégorique c) Le pacifisme comme non-violence Transition : n'y a-t-il pas de guerre juste ? III - Guerre et paix dans la servitude a) La non-violence ne s'oppose pas à la violence b) La non-violence complice de la violence c) Force et violence

nature, mais en se contraignant à suivre des règles strictes fixées par l’homme lui-même. Il agit selon des lois morales : Les impératifs catégoriques. Un acte moral est un acte qui respecte ces impératifs (règles absolues). Rigorisme : pour qu’il soit moral un acte doit avoir un caractère absolu. Il refuse tout compromis, il est conforme à des règles strictes. 1er Impératif : Agit uniquement d’après la maxime qui fait que tu peux vouloir en même temps qu’elle devienne une loi universelle. Est

individualistes : les droits de l’homme. Peut-on déduire la valeur de la personne de la moralité ? Peut-on fonder une communauté sur des valeurs seulement individualistes ? a. L’action morale comme source de dignité. Noter la définition de l’impératif catégorique. A retenir : définition/concept Raisonnement concernant : Suis-je ce que j’ai conscience d’être ? D’une part, j’ai conscience de moi, c’est-à-dire que je suis présent à moi-même. Pourtant, nous nous trompons sur nous-mêmes, nous nous méconnaissons

acte. Dans certaines circonstances particulières, il peut être moralement acceptable de mentir, de ne pas tenir une promesse ou même de tuer quelqu’un. Les principes moraux utilitaristes seraient pour Kant des impératifs conditionnels ou hypothétiques et non des impératifs catégoriques. Ils tiennent compte des conditions particulières de nos actions. Les utilitaristes sont conséquentiaisme, les Kantiens, non. ACTE OU INTENTION ? 99% de nos bonnes actions sont accomplies pour d’autres raisons

s  actes ?   ­ Texte de Peter Singer : responsabilité, omission, pauvre absolu, riche absolus  ­ Le consequentialisme  ­ Dilemme du Trolley     ∙         ​ C. Suivre des principes acceptables par tous ?   ­ Morale de l’autonomie  ­ Impératif catégorique / impératif hypothétique  ­ Critique du passage du relativisme moral descriptif au relativisme moral normatif     ∙         ​ D. Etre attentif à la particularité de la situation?   ­ Relativisme moral / Relativisme culturel  ­ Critique du relativisme moral 

nos besoins, c'est-à-dire nos seuls désirs naturels et nécessaires. Chacun, sous l’impulsion de sa nature, est cependant porté à rechercher son propre bonheur. Mais du fait de l’irréalisme du contenu du concept, quiconque veut se donner comme impératif dans la vie de se consacrer effectivement à cette recherche sera bien embarrassé : « Le concept de bonheur est un concept si indéterminé, que, malgré le désir qu’a tout homme d’arriver à être heureux, personne ne peut jamais dire en termes précis

alors un outil absolu et véritable permettant à chaque homme de discerner le bien du mal, et ferait donc la différence entre les hommes et les autres êtres vivants. Un autre philosophe, Emmanuel Kant, utilise la notion d’impératif catégorique pour définir cette morale. Comment un homme pourrait-il discerner le bien du mal et agir ainsi en conséquence ? Il serait impossible pour un homme de prévoir toutes les conséquences d’un acte. S’il juge une action selon ses conséquences, comment