Individualisation Des Peines

altern. : transact. pén., médiation pén., sursis prob., TIG… 2. L’état des idées a. La tendance répressive Opinion publique désire nv législations pénales sécurisantes et sécuritaires => Régime des peines incompressibles en France, Patriot Act dès 2001… b. La tendance abolitionniste Louk Hulsman : abolition de tout le système pénal Constatations : 1. Toujours mêmes individus appréhendés (souvent

manifestations sportives en dehors de la prison sont-elles encouragées? Existe-t-il un calendrier de manifestations sportives? 3) Individualisation : La législation prévoit-elle une assistance en fonction des besoins individuels des prisonniers en planifiant le développement de chacun d’entre eux sur la base d’une évaluation individuelle? Un projet d’exécution des peines est-il mis au point au moment où le prisonnier commence à purger sa peine? En quoi consiste ce projet? Le prisonnier est-il consulté

 Une pratique judiciaire plus rigoureuse  2. Le renforcement de l'arsenal répressif II. UNE VOLONTÉ D'ÉQUILIBRE ENTRE L'INSTAURATION DE PEINES MINIMALES ET LE PRINCIPE D'INDIVIDUALISATION DE LA PEINE A. LES SEUILS DE PEINE : UN DISPOSITIF FAMILIER AU DROIT PÉNAL 1. Une formule déjà utilisée avec souplesse en France 2. A l'étranger : un recours fréquent aux peines minimales obligatoires B. LA PERSONNALISATION DES PEINES : UNE EXIGENCE CONSTITUTIONNELLE POUVANT SE CONCILIER AVEC D'AUTRES PRINCIPES 1. Une consécration constitutionnelle tardive

les lois est « Nullum crimen, nulla poena sine praevia lege poenali » par FEUERBACH Le principe fondamental du droit pénal est la légalité des délits et des peines. Ce principe est formulé dès la fin du XVIII ème siècle par différents auteurs notamment par MONTESQUIEU dans « de l'esprit des lois » et par BECCARIA dans « des délits et des peines ». Les hommes en s'unissant en société ont du sacrifier une part de leur liberté, c'est le contrat social. La somme de toutes ces libertés sacrifiées constitue

de la société, ce qui suppose un Etat puissant et soucieux des droits des citoyens. En droit romain on distingue deux types d’infractions : • délits publics (meurtre, adultère, blasphèmes…) ils sont pénalement sanctionner de peines plus ou moins graves et les • délits privés (coup, blessures, vols…) la victime doit porter plainte pour avoir une sanction civile. Ils vont disparaître et tous les délits vont devenir des délits publics au fur et a mesure que le droit romain

là où le téléphone portable et autres instruments technologiques sont interdits, là où seul quelques bibles ou citations bibliques sont permises, là où on va seul sur ces « îlots » (espace privé sur les bancs de l'église) afin de se vider de nos peines et de se sentir exister, afin de se retrouver seul avec soi-même pour méditer et trouver une paix intérieur à travers la solitude (solitude qui n'est pas vraiment solitude car, selon Jean-François Ramelet, on est jamais seul et Dieu nous accompagne

devait prendre garde à ce que la victime ne soit pas un acteur de la scène judiciaire : magistrat juré officier ministériel. Il lui fallait en effet protéger la justice encore plus fortement que les autres institutions. Aussi devait il réclamer des peines encore plus élevées lorsque les victimes étaient choisies à raison de leurs responsabilités administratives ou judiciaires. En 1532 en application de la Constitutio Criminalis Carolina article 43, le juge doit rechercher si les circonstances qui

au droit criminel, vise à déterminer les sources du droit pénal, les règles communes à la constitution de toutes les infractions et à la responsabilité de leur auteur. * Droit pénal spécial : s’intéresse spécifiquement à la composition et aux peines applicables à chacune des infractions. Droit pénal spécial classique qui étudie les infractions figurant dans le code pénal, et droit pénal des affaires, fiscal, du travail, etc. * Droit pénal de forme (procédure pénale) : regroupe les règles

pour un chèque sans provision ; décriminalisation de l'IVG ; ajout du délit de bizutage. En vertu du principe de légalité criminelle, la sanction devrait être la même pour toute personne commettant un crime, mais dans les faits, il y a une individualisation de la sanction B/ Du point de vue sociologique. On retrouve 2 idées = c'est un acte humain qui atteint la société. Section 2 : La réaction sociale au phénomène culturel Sous-section 1 : Les fondements de la réaction sociale. Différentes

d’enquêtes Paragraphe2 : L’action publique Paragraphe3 : L’action civile SECTION3 : L’information Paragraphe1 : L’instruction Paragraphe2 : Le jugement Paragraphe3 : Les voies de recours SECTION4 : Les Paragraphe1 : LES PEINES PREVUES PAR LA LOI Paragraphe2 : LES PEINES PRONONCEES PAR LA JUSTICE CHAPITRE II : LE JUGE D’INSTRUCTION EN DROIT FRANÇAIS SECTION 1 : Le rôle du juge d'instruction dans la procédure pénale française Page 2 sur 63 sanctions Paragraphe 1 : Principe Paragraphe