Individualisme Democratie

gouverner et l’Etat qui est le réceptacle du pouvoir. L’extrait de l’essai : « l’Ancien régime et la Révolution », paru en 1856 fut rédigé par Alexis de Tocqueville, auteur français ayant vécu de 1805 à 1859, et notamment connu pour son œuvre « De la démocratie en Amérique ». Tocqueville fut qualifié d’homme politique libéral. Dans cet essai, Tocqueville met en lumière l’idée que la Révolution, qui est le fruit d’une longue période qui nourrissait peu à peu cet évènement final, a servi à renverser les

civilisations, Samuel Huntington définit l’Occident de manière assez proche de ce qui est communément admis. D’après cet auteur, la caractéristique de la civilisation occidentale serait de deux ordres : des bases chrétiennes et un développement de la démocratie libérale. Par conséquent, le monde occidental correspondrait à l’Europe de l’Ouest, à l’Amérique du nord, à l’exclusion du Mexique, et à l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Selon cette vision du monde, l’occident est considéré comme la seule civilisation

Dans ces conditions, l’état de guerre ne serait-il pas le moyen le plus naturel de vivre en communauté ? Peut-il renoncer au rapport de force auquel il est naturellement enclin avec ses semblables ? Mais ce faisant, l’homme peut-il concilier son individualisme avec une vie en collectivité sans heurts ? Pour le savoir, il convient de voir comment l’individu, avec ses pulsions et ses droits illimités de l’état de nature peut être un despote qui menace la vie collective avant de réfléchir à une forme

Conseil national de la Résistance en 1944. Malaises dans la solidarité Les Français ont le sentiment d'un malaise profond dans la solidarité. L'absence de confiance pèse lourdement sur les sentiments de solidarité. Pierre ROSANVALLON (La Contre-démocratie – 2006) parle d'organisation de la défiance. Les électeurs votent contre bien plus qu'ils ne soutiennent des partis et des programmes. En France, 75% des personnes pensent que les relations entre les gens sont mauvaises et le taux monte à 89% dans

Fiche de lecture « La démocratie au lycée » de Robert Ballion ESF Editeur, Collection Pédagogies, 1998 Présentation 1) L’auteur Robert Ballion est un sociologue, directeur de recherche au CNRS, au CADIS (Centre d’analyse et d’interventions sociologiques). Il est considéré comme le spécialiste de l’étude du fonctionnement des lycées. Il a mené de nombreuses études pour le ministère de l’éducation nationale dans ce cadre. Ce sociologue de l’éducation s’est en effet penché sur les

Sciences Humaines et Sociales UFR IV Sciences Economiques, Mathématiques et Sociales Département d’Administration Economique et Sociale ------------------------------------------------- Dossier ------------------------------------------------- Démocratie et développement Présenté pour l’obtention du Master Professionnel Institutions – Organisations – Développement spécialité « Intermédiation & Développement Social » 1ère année et du Diplôme d’Etat d’Ingénierie Sociale (DEIS). Dans

« Route 68 » ou le procès de l’autorité ………………………………………………………78 La concurrence des pouvoirs …………………………………………………………………91 Deuxième partie – LE SOFT TOTALITARISME Chapitre 1. Sécuritarisme pathologique et capitalisme financier : « l’hiver de la démocratie » ? ……………………………………………………………………………….95 Homeland Security et Preemptive War ou les chemins de la servitude ……………………...95 De Keynes à Darwin ou le triomphe de la sélection naturelle ……………………………...106 Chapitre 2. La « guerre des clones » ou

la possibilité de la recomposition du lien social. Avant, vu qu’on dépendait de toute façon de Dieu, ça servait à rien de tisser des liens. Aujourd’hui, c’est différent, vu que l’autorité dépend de la volonté des individus. On a le principe de la démocratie qui commence à faire irruption dans le champ social.   Cassirer, La philosophie des Lumières. Les hommes se mettent en société par contrat. C’est le seul élément qui fonde le pouvoir légitime. La liberté de l’homme est de ne relever d’aucun autre

sociale. 2) La démocratie contre l’héritage social. Les sociétés d’ordres ou de castes sont des sociétés fermées où les privilèges se transmettent de générations en générations et où règne donc l’inégalité des chances. Les sociétés démocratiques par contre sont des sociétés ouvertes dans lesquelles il est possible de changer de condition sur la base de l’égalité des chances. En effet, l’égalité des situations étant impossible à obtenir ni même forcément souhaitable, la démocratie ne peut rechercher

général. Rousseau insiste sur la primauté de l’intérêt général qui doit l’emporter sur l’intérêt particulier. Les collectifs  (« la communauté, tous ») doivent supplanter les individualismes (« chacun »).Mais l’idée majeure c’est, en matière de politique, l’expression de la volonté générale, dans la perspective d’une démocratie directe participative. La formule finale en italique est claire sur ce point : « Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de