Individuelle Ou Collective Conscience Moral

droits sont-ils liés ? Il existe des libertés individuelles et collectives comme des droits individuels et collectifs. Liberté d’expression : la liberté d'expression est le droit pour toute personne de penser comme elle le souhaite et de pouvoir exprimer ses opinions par tous les moyens qu'elle juge opportun, dans les domaines de la politique, de la philosophie, de la religion, de morale... Liberté de culte :principe composant la liberté de conscience qui désigne le droit de chacun à choisir et de

information et structuration   Partie III: vision sociologique   Partie IV: gestion de la compétitivité   Partie V: management interculturel et culture d’entreprise Partie I INDIVIDUS ET GESTION DES ORGANISATIONS A. Les comportements individuels   Les déterminants des comportements des individus   La personnalité   L’âge   L’inconscient   L’individu et l’organisation   Système culturel, symbolique et imaginaire dans lequel l’individu construit une grande partie de son identité  

essentielles pour définir un fait social : l’extériorité et la contrainte. a. Les faits sociaux sont extérieurs aux individus L’idée d’extériorité du fait social signifie qu’il existe des mécanismes proprement sociaux qui échappent à la conscience immédiate et à la volonté des individus. La société n’est pas la simple somme de ses parties. Autrement dit, les systèmes ou faits sociaux sont extérieurs aux individus qui les intériorisent et qui orientent leurs actions en conséquence. Ils ont

* Pour Weber, les idées (même religieuses) peuvent jouer un rôle moteur dans l'histoire. * Pour Marx, les conditions matérielles d'existence déterminent les manières de penser et les consciences. (cf. cours philosophie) ("Ce n'est pas la conscience qui détermine l'être mais l'être qui détermine la conscience") | | | | POSITION DE L'AUTEUR SUR CHAQUE THEME * Père de l'individualisme en sociologie et d'une méthode sociologique * Importance des idées plus que des conditions matérielles

pas ce qui libère = échelle individuelle. a) Liberté au sens d’absence de contrainte Liberté (du latin liber « celui qui n’est pas esclave ») semble d’abord se définir par opposition à l’idée de contrainte et de servitude. • Dans Gorgias (Platon) Calliclès explique que la liberté repose sur la satisfaction illimitée des désirs : l’obéissance à autrui ou à la loi va donc à l’encontre de la liberté humaine. La loi peut aller à l’encontre de l’intérêt individuel, nous contraindre à une action

pulsions rend-il vraiment heureux ? La liberté consiste-t-elle a faire ce qu'il nous plait ? Autrement dit, la licence totale et le rejet des contraintes entraînent-elles automatiquement la liberté ? Il est donc question de savoir si la liberté individuelle est possible, puis s'il est forcément nécessaire de limiter notre liberté. Dans Gorgias, le sophiste Calliclès, dont les propos sont rapportés par Platon fait l'apologie de la licence. Il invite à rejeter les contraintes afin de satisfaire

arbitre et desouveraineté individuelle, ils s'appuient foncièrement sur la prémisse initiale où toute personne a droit de tout et est libre de tout. Du coup, la confrontation des droits et libertés les uns par rapport aux autres tient compte d'un contrat social appuyant la justice naturelle et, conséquemment, l'ordre public. Parallèlement, l'application des droits et libertés diffèrent selon les conceptions et réalités sociales relatives à l'éthique, la déontologie, la morale et les valeurs personnelles

ne peut en aucun cas être réduite à la seule interaction qui se tisse entre les individus. EMILE DURKHEIM développe l’idée de conscience collective : la société est une entité distincte des individus qui la compose. Emile dit que la société n’est pas une simple addition d’individus c’est plus que cela, la société c’est un être vivant indépendant des consciences individuelles : « La société est mue par un vouloir propre ». À l’opposé, la thèse de l’atomisme sociale considère que l’individu est la seule

Durkheim et la notion de morale SEBASTIEN DAMBRA : Doctorant en sociologie, Université de Franche-Comté. Introduction. Dans les premiers temps de sa carrière intellectuelle, Durkheim ne se préoccupe pas spécifiquement de « la sociologie », mais entend étudier scientifiquement « les phénomènes moraux » à l’aide d’une « physique des mœurs ». Un projet avorté comme en témoigne la rédaction inachevée de son dernier ouvrage lui tenant particulièrement à cœur : « La morale »1. Paradoxe d’un auteur

sens du diagnostic « Un diagnostic qui ne se partage pas perd de son utilité : il isole son concepteur dans une vision non contredite, sur laquelle il est le seul à pouvoir s’appuyer ». Le diagnostic est une phase de partage d’élaboration collective qui permet, pour les parties prenantes d’exprimer et d’échanger leurs visions d’une situation. Cette élaboration se fait sur la base des visions singulières de chacun pour une vision commune dans laquelle on retrouve : * La situation ; *