Individuelle Ou Collective Conscience Moral

La conscience est-elle une force ou une faiblesse pour l'homme ? La conscience est la source de la connaissance de soi et du monde. Elle peut prendre plusieurs valeurs. Elle peut désigner la faculté qu’a l’homme de posséder une connaissance de sa réalité, de ses actes, de ses sensations, de ses réflexions, et de les juger. C'est donc un élément fondamental de la pensée. Nous pouvons distinguer 2 formes de conscience : la conscience du monde c'est-à-dire la sensibilité à ce qui se passe

évidences -se mettre à la place d’autrui pour penser différemment -pensée relationnelle (socialisation) VS essence/substance Bernard Lahire: la culture de l’excuse Pour la Sociologie -le rôle du sociologue n’est pas d’excuser mais d’expliquer (VS registre morale et juridique) -expliquer c’est détruire l’illusion de l’individu libre (interactions directes et indirectes) -contrainte de la socialisation mais individu actif dans le processus, acteur -structures sociales, poids du collectif, rapports de pouvoir

mémoire apparaît souvent dans l’actualité. Les débats qui ont eu lieu autour de « la lettre de Guy Mocquet » en sont l’illustration. Ce devoir doit permettre d’éviter que l’histoire ne se répète. Dans cette perspective il apparaît comme d’une injonction morale : se souvenir, c’est garder la mémoire de évènements traumatiques d’une histoire, comme garde-fou de nos propres comportements. C’est d’ailleurs à propos d’évènements négatifs que ce devoir de mémoire est généralement invoqué. Cette interdépendance

| | |existe aussi en droit pénal | |Organisation économique Doter la vie |Respect de la propriété individuelle | |économique des règles |Respect de la liberté contractuelle | |qui vont en permettre le fonctionnement |

de la responsabilité pénale, il s'agit du délinquant. En France, le sujet de la responsabilité pénale est un sujet individuel. L'article 121-4 du CP parle de « l'auteur » de l'infraction. En outre, l'article 121-1 du CP pose le principe de personnalité de la responsabilité pénale : « Nul n'est responsable pénalement que de son propre fait ». Cependant, une telle conception individuelle, n'ignore par la participation plurielle de l'infraction. La prise en compte de cette pluralité peut se faire de différentes

regroupées sous deux grands axes, les résistances individuelles et celles qui deviennent ensuite collectives. I. Résistances individuelles L'action de résister est étroitement liée au système de valeurs établi dans une société. En effet, nous appartenons tous à différents « groupes sociaux », c'est-à-dire des ensembles d'individus liés par certaines caractéristiques communes. Nous vivons dans un monde contrôlé par des règles, des codes moraux, qui incitent les individus à adopter tels ou tels

Sujet : Droit, religion et morale :autant de règles d’inégales importance, toutes sont néanmoins fondamentales de notre ordre social. La vie est encadrée par des règles, des normes. L’homme voit son comportement soumis à de nombreuses règles (religion, morale,…). Toutes vie est encadrée, normalisée même pour ceux qui prétendent vivre en marge de la société ont des règles de vie.L’anarchie, elle-même est une règle. Enoncer qu’il n’y a pas de règle en est déjà une. Parmis ces différents types

quelconque sentiment de responsabilité. Plus encore il justifiera son comportement au nom de la liberté, comme le font grand nombre de grimpeur sans sûreté en cas de chute. Mais par là nous pouvons aussi penser que la responsabilité émerge de la conscience de notre liberté, de ce fait leur dissolution est donc impossible. Car tout d’abord nous ne pouvons pas négliger le fait que chaque liberté s’arrête où une autre commence, par ça nous devons avoir la responsabilité de connaître chacun avec ses besoins

entendons le nivellement des différences, a organisé le travail social. Quels constats en faisons-nous ? Des interrogations. En quoi le travail individuel, le case work, est, reste un outil, un moyen suffisamment adapté pour prendre en compte les difficultés présentes par les usagers des services sociaux. Le développement des actions collectives notamment dans le cadre de la politique d'insertion est au goût du jour. Le travail communautaire dans une acception classique du terme stipule

l'information et à la documentation, des outils numériques, de la conduite de projets individuels et collectifs ainsi que de l'organisation des apprentissages ; « 3° la formation de la personne et du citoyen : ce domaine vise un apprentissage de la vie en société, de l'action collective et de la citoyenneté, par une formation morale et civique respectueuse des choix personnels et des responsabilités individuelles ; « 4° les systèmes naturels et les systèmes techniques : ce domaine est centré sur l'approche