Infini

contentent d’extraire, avec leur pompe, la quintessence de votre sang. Attendez un instant, je vais vous le dire : c’est parce qu’ils n’en ont pas la force. Soyez certains que, si leur mâchoire était conforme à la mesure de leurs vœux infinis, la 5 cervelle, la rétine des yeux, la colonne vertébrale, tout votre corps y passerait. Comme une goutte d’eau. Sur la tête d’un jeune mendiant des rues, observez, avec un microscope, un pou qui travaille ; vous m’en donnerez

Si on a compris la cause métaphysique de l’existence de l’atome et de la matière apparente, cette cause étant la poursuite d’un infini nécessaire mais inaccessible, et qu’on a compris que l’atome fige cette poursuite dans un équilibre presque définitif, on comprend immédiatement la cause fondamentale de la vie : si l’atome est un équilibre à peu près parfait, s’il est quasiment éternel, il n’en reste pas moins que le but absolu n’est pas atteint. Il ne peut donc en rester là. Il ne fait pas de doute

Prouver quelque chose, c'est aussi en faire apparaître l'existence, la réalité. C’est ce que Descartes veut faire dans ses Méditations Métaphysiques Troisième et Cinquième. Il veut prouver à travers son raisonnement rationnel l’existence de l’être infini, éternel, immuable ; Dieu. Le paradoxe de l’œuf et de la poule et l’un des plus vieux paradoxes de l’humanité, il est notamment à la base de ce questionnement philosophique sur l’existence de Dieu. « Qu'est-ce qui est apparu en premier : l'œuf ou

comme la clarté, Les parfums, les couleurs et les sons se répondent. Il est des parfums frais comme des chairs d’enfants, Doux comme les hautbois, verts comme les prairies, – Et d’autres, corrompus, riches et triomphants, Ayant l’expansion des choses infinies, Comme l’ambre, le musc, le benjoin et l’encens Qui chantent les transports de l’esprit et des sens. La Nature est ici personnifiée : « vivants piliers (vers 1), elle « observe » (vers 4), « paroles » (vers 2). Elle est imposante, gigantesque

c'était l'endroit rêvé pour le couple désireux d'une reproduction de la société terrestre sans ses défauts. Mais la plus grande différence entre Pleb et la Terre était la forme, en effet Pleb était plate, on imagine d'ailleurs que sa surface est infinie puisque personne n'a encore trouvé de limites. L'installation du couple sur Pleb était inévitable, la planète étant leur idéale. Pour finaliser leur installation, ils ont donné un nom à « leur » planète: Pleb. Tout simplement parce que ce sont les

apportera une réponse à ce problème, en proposant un Dieu qui ne soit autre que la Nature elle-même, dieu serait-il atome ? Pluralité des mondes Ce point étant admis, les atomes peuvent alors s'assembler : « Les nombreux éléments, depuis un temps infini, sous l'impulsion des chocs qu'ils reçoivent et de leur propre poids, s'assemblent de mille manières différentes et essayent toutes les combinaisons qu'ils peuvent former entre eux, si bien que par l'épreuve qu'ils font de tous les genres d'union

d’amour personnelle du poète et de Marie Laurencin. b) Le personnage d’Arlequin, une métaphore de la grandeur de l’artiste… Il est également tentant de voir, au travers du personnage d’Arlequin, une métaphore de l’artiste, dont les pouvoirs semblent infinis. Symboliquement, on remarque que le personnage est en hauteur (ce qu’indique la préposition « sur » dans l’expression « sur les tréteaux », vers 9). Si l’on accepte l’idée selon laquelle Arlequin est une figure du poète, doit-on comprendre que le

les jeux n’avaient pas lieu qu’une fois • Désormais,ils sont répétés plusieurs fois • Deux types de jeux répétés : - Les jeux à répétition finie : le nb de fois que le jeu aura lieu est identifiable par les entrpses - Les jeux à répétition infinie : le nb de fois que le jeu aura lieu n’est pas su et ne peut pas être su des entreprises Exemple de jeu à répétition finie : • Une loi est en projet concernant l’interdiction de la vente de cigarettes éléectroniques • La loi sera probablement officielle

pense le travail de délibération comme l’assomption de la liberté raisonnée. Liberté de l’homme | Liberté de Dieu | *entendement fini (mais capable de vérité) | *entendement infini | *puissance finie | *puissance infinie | *volonté infinie | *volonté infinie | L’homme s’apparente à Dieu par une volonté infinie. L’homme est marqué par un divorce au sein même de ses facultés. Il est écartelé par le fini et l’infini. L’entendement est capable de vérité mais il ne connait pas instantanément

la vengeance. 1) La justice restreint la vengeance et contient la chaîne infinie de ses effets / intervention de l’état La justice s’instaure d’abord pour tenter de contenir la vengeance et d’en limiter les effets. René Girard dans La violence et le sacré rappelle comment la vengeance engendre la vengeance, dans une chaîne infinie et un enchaînement inévitable de violence. « La vengeance constitue un processus infini, interminable. Chaque fois qu’elle surgit en un point quelconque d’une communauté