Infraction Douanière

légale : Une infraction prévue par le code du commerce qui prévoit que les membres du conseil de surveillance et du directoire sont unis pénalement s’ils sont de mauvaises fois, des biens ou du crédit de la société, un usage contraire à l’intérêt de celle-ci (entreprise), à des fins personnelles, ou pour toute entreprise avec laquelle ils sont liés. Elément matériel : c’est l’usage des biens de la société dans un intérêt contraire à l’intérêt social. Elément moral : il faut une infraction intentionnelle

jurisprudence parvient-elle à ce jugement en raison de l’application de la loi pénale dans le temps ? =>Selon l’art 112-1 du code pénal : « Sont seuls punissables les faits constitutifs d'une infraction à la date à laquelle ils ont été commis […] Toutefois, les dispositions nouvelles s'appliquent aux infractions commises avant leur entrée en vigueur et n'ayant pas donné lieu à une condamnation passée en force de chose jugée lorsqu'elles sont moins sévères que les dispositions anciennes ». Ainsi une

-1- § 2. - Distinction externe : police administrative et police judiciaire A. Position du problème La police administrative a pour but la recherche générale de l'ordre public. La police judiciaire a pour mission de découvrir les infractions, d'en rechercher les auteurs, de les confier aux tribunaux. La police judiciaire agit donc en application de règles de procédure pénale, pour l'application ultime du droit pénal, alors que la police administrative n'est encadrée, dans le champ potentiellement

exceptions : • La tacite reconduction du bail ; • En cas d'offre renouvelée et acceptée ; • Les offres faites dans l'intérêt exclusif de la personne à laquelle elle est adressée (augmentation proposée par l'employeur). • La vente forcée, qui est une infraction pénale de 5° classe et qui entraîne une amende à hauteur de 3000 €. Les personnes physiques et morales obligées d'accepter de vendre sont : Les entreprises de services publics ; Les commerçants (sauf motif légitime) ; Les assureurs. • • •

pour faire opposition. -DES SANCTIONS REPRESSIVES : Cela veut dire qu'il s'agit de punir la violation de la règle de droit. Or il y a deux catégries de sanctions répréssives : a) Sanctions pénales : C'est celle qui s'applique à l'auteur d'une infraction pénale cad un crime, un délit (vol) ou une contravention (violences volontaires qui n'ont entrainées aucune incapacité au travail). Ces santions pénales peuvent : -Frapper dans sa personne. EX : On le prive de liberté, lui imposer un travail d'interet

Introduction: «Le sifflet dans une main et le fouet dans l’autre», ainsi avant de frapper la loi pénale doit prévenir. C’est ainsi que se conceptualise le principe de légalité pénale qui a pour fondateur Beccaria. Ainsi l’avocat italien affirme qu’une infraction doit être clairement et précisément définie, pour se faire, une qualité rédactionnelle des textes est exigée. Ce principe avait pour but d’abolir l’arbitrage des parlements sous l’Ancien régime. Dorénavant, il faut que le texte existe pour pouvoir

LES VOIES DE RECOURS JURIDICTIONNELLES Les décisions répressives comme les décisions civiles ont l’autorité de la chose jugée. Une décision rendue par les juridiction ne devient définitive que lorsqu’elle aura eu l’autorité de la chose jugée, et qu’elle n’est pas possible en voie de recours. Les voies de recours étant une nécessité, elles sont des procédures qui permettent de juger de nouveau ce qui a été jugé. Ainsi la juridiction saisie par voie de recours peut soit l’annuler soit modifier

matière, l’étude du droit pénal commence forcément par celle de la norme pénale, puisque seul un texte peut fonder des poursuites. Il n’y a et ne doit y avoir de droit pénal en dehors de la norme pénale, la seule à pouvoir ériger des comportements en infraction et leur associer les sanctions correspondantes. Cette exigence porte un nom, le principe de légalité, introduit par les philosophes du 18ème siècle, consacré aujourd’hui dans un certain nombre de textes, aussi bien internationaux qu’internes

du gérant * Responsabilité civile : faute de gestion ; violation des statuts ; non respect de la loi applicable au SARL : préjudice subit par les associés, la sociétés, le tiers * Responsabilité pénale : seulement si le gérant réalise une infraction

Cour de cassation chambre criminelle Audience publique du mercredi 7 juin 1995 N° de pourvoi: 93-84757 Publié au bulletin Cassation sans renvoiPrésident : M. Le Gunehec, président Rapporteur : M. Massé., conseiller rapporteur Avocat général : M. Dintilhac., avocat général REPUBLIQUE FRANCAISEAU NOM DU PEUPLE FRANCAIS CASSATION sans renvoi sur le pourvoi formé par : - X... Geoffrey, contre le jugement (n° 663) du tribunal de police de Nancy du 28 septembre 1993 qui l'a condamné à une amende