Inné

de la réussite, ils n’avanceront pas dans leur domaine, même avec un gros effort d’assimilation. En définitive, cette volonté d’acquisition du savoir combinée avec l’ingéniosité demeure phénoménale et utopique vu que seuls les talents avec un don inné en sont capables, et encore faudrait-il qu’ils ne tombent pas dans la facilité et qu’ils négligent la charge d’entrainement à accomplir. Néanmoins, le facteur déterminant dans la réussite dans une branche reste la motivation car même s’il on possède

d’étudier en deux temps et deux cas différents l’inconscient. Est-il en moi nature, ce qui signifie qu’il est inné et qui a ses caractéristiques propres, ou alors est-il histoire, se base-t-il donc sur mon histoire, mon vécu tel que l’enfance mais aussi l’avenir. L’inconscient est-il donc en moi nature ou histoire ? Mon inconscient est-il formé de pensées non-réfléchies, donc innées ? Suis-je dominé par cet état « d’animal » où seules les pensées non confrontées à mon histoire dominent ? Ou

idées qui sont constitutives de notre entendement même, comme celle de causalité. Les idées innées peuvent être activées par l'expérience, mais il a fallu pour cela qu’elles existent d’abord potentiellement dans notre entendement. Il paraitrait alors que nos connaissances ne nous viennent pas seulement de nos sens et de nos perceptions bien qu’ils nous soient nécessaires pour que nos idées innées nous soient révélées. Contrairement, à la théorie des empiristes où l'expérience seule permet

Relations corps/esprit Opposition inné/acquis - Relations corps/esprit : ère  thèse : Dualisme : Corps et Esprit sont séparés Défendue par Platon et Descartes ème   thèse : Monisme : Corps et Esprit ne sont pas  séparés par un sceau qualitatif (défendue par Aristote) - Opposition inné/acquis : se demander si, pour chaque  faculté mentale, a une origine innée (présente dès la  naissance) ou d’une acquisition ère  thèse : Innéisme : certaines facultés sont innées  (trouvent leur ancrage dans le patrimoine génétique de 

[pic] كلية علوم التربية Faculté des sciences de l’éducation Empirisme et rationalisme [pic] Table de matière : Table de matière : 2 Introduction : 3 A. La métaphysique comme science : 4 B. Les idées innées : 4 I. Le rationalisme : 6 1. Précisions terminologiques : 6 2. Le rationalisme moderne : 7 II. L’empirisme : 9 A. La biographie de HUME : 9 1. Les perceptions : 10 2. La possibilité de connaître : 12 3. La causalité : 12

moraux comme nous, bien qu'ils adorent des Dieux immoraux et méprisables, qui divinisent le vice, la faiblesse et les monstruosités. Cette permanence des idées de bien, de mal et de justice ne peut donc s'expliquer que par l'existence d'un « principe inné de justice et de vertu » résidant au fond de nos âmes, et qui correspond à la conscience morale. De plus, nos impératifs moraux ne peuvent en aucun cas être le fruit d'une quelconque acquisition, puisque « nous n'apprenons point à vouloir notre bien

raisonnant que l’on apprend à connaître les principes de justice ou est-ce en prêtant attention à nos sentiments qu’on reconnait ce qui est juste ? Pour résoudre ce problème, Rousseau défend la thèse selon laquelle nous avons tous en nous un principe inné de justice, ici nommé conscience, et grâce auquel nous sentons ce qui est bon ou mauvais, indépendamment des circonstances. Rousseau commence dans un premier temps par exposer sa thèse (premier paragraphe). Puis il précise son intention : Rousseau

telles prouesses? Quels seraient alors les sens qui ont pu nous permettre d’acquérir de telles connaissances? Une théorie qui est supposée par les empiristes, notamment anciennement par John Locke, suggère que nous sommes tous dotés de forces innées qui se traduiraient par une genèse psychologique de la raison, de l’intelligence et des principes rationnels de l’esprit, et tout cela simplement grâce à nos sens et grâce à notre enrichissement spirituel progressif. En partant de ce principe, nos

s’appuie sur la multiplication d’exemples particuliers pour arriver à une vérité générale. Il détermine des vérités empiriques, qui ne sont pas immuables cependant. Seules les vérités abstraites le sont, et nous verrons que ces vérités abstraites sont innées chez l’homme, l’âme comprend la vérité sans avoir besoin de preuve d’après Platon. Seulement, l’homme doit reconnaître la vérité, car elle est innée mais n’est pas acquise pour autant, il doit finalement questionner son âme pour parvenir à saisir

ce qui est juste ou injuste. Selon Rousseau, la justice trouverait son origine dans le sentiment. Le philosophe défend l'idée qu'il existe en chaque homme un principe inné de justice et de vertu. Ce principe est ancrée dans la loi naturelle, inscrite dans le cœur de l'homme. "Il est donc au fond des âmes un principe inné de justice et de vertu, sur lequel, malgré nos propres maximes, nous jugeons nos actions et celles d'autrui comme bonnes ou mauvaises, et c'est à ce principe que je donne le