Inné

pourrait même que la loi de dieu soit écrite dans les âmes dés la naissances . Donc, dans le premier cas, on peut affirmer que les connaissances s’apprennent dans le temps avec l’aide des expérience puis dans le deuxième cas les connaissance sont innées, elles ce développent dans le temps . Par conséquent un problème ce pose: Si dans le premier cas les connaissances donc les vérités dépendent des expériences, alors pourquoi dans certains cas on prévoit une expérience alors que celle-ci n’a jamais

enfants ? A) Distinguer l’inné de l’acquis Introduction  : (voir polycopié) Document 11) Dormir est un acte naturel, inscrit dans nos gênes. Une personne fatiguée va s’endormir, ce comportement est en soit inné car inscrit dans nos gênes, néanmoins la manière et le moment où l’on dort peuvent être différent en fonction des situations et des culturesDans un hamac, sur un futon (Japon), certaines personnes peuvent être contrainte de dormir assise (voyage en

facteurs environnementaux comme l’alimentation. Les facteurs d’influence : La nature et la culture : L’influence de la nature : La maturation et les prédispositions innées : -Maturation : processus naturel de transformation par lequel l’organisme atteint son plein développement. Prédisposition innées : Tendance innées qui porte l’individu à réagir de telle ou telle manière aux stimuli environnementaux. L’influence de la culture : L’environnement et l’interprétation qu’on en donne :

gueule ». Le second sens est une métaphore. Ce que nous faisons de notre gueule serait alors ce que nous faisons de notre inné, la manière d’utiliser les capacités qui nous sont offertes. Coluche introduit également une notion de responsabilité. Être responsable signifie que nous devons répondre de nos actes. La phrase nous dit donc que notre physique, tout comme notre inné, ne dépend pas de nos actes ni de nos choix. Ils nous ont été transmis à la naissance et nous ne pouvons pas les changer

idées purement rationnelles. Ces représentations purement rationnels sont des « idées innées », ou « idée » est synonyme aux représentations rationnels que l’on fait dans notre esprit dès que l’on pense a quelque chose. Ce sont des idées en nous, et non pas produites par nous. Deuxièmement, nous pouvons dire avec les « empiristes », que l’origine des principes rationnelles viennent non pas per les « idées innées », mais par l’expérience sensible, et se forment dans notre esprit dès notre naissance

une source de satisfaction. Nous pourrions ainsi en déduire la proposition suivante, le désir est-il inné ou bien acquis ? Nous considèrerons la chute comme une conséquence, ce qui découle d'un enseignement ou d'une expérience, le déisr serait donc acquis. Au contraire la vocation est ce pour quoi une chose existe, ce à quoi elle est destinée. La destinée, l'essence, nous renvoie donc vers le coté inné du désir. Le désir peut-il être acquis ? De grands hommes tels que Epictète ou Sénèque en étaient

DISSERTATION : AIS-JE LE DEVOIR D’AIMER AUTRUI ?DISSERTATION : AIS-JE LE DEVOIR D’AIMER AUTRUI ? Il est paradoxal d’associer l’amour des autres à un devoir, car l’amour ne se contrôle pas, c’est quelque chose d’inné, tandis que le devoir est une obligation. On pense donc qu’aimer autrui n’est pas un devoir. En effet, éprouver un sentiment d’affection et de tendresse par rapport aux autres ne peut pas être une action exigible d'un point de vue moral . Par exemple, si on tombe amoureux d’une personne

thèse ou opinion l’auteur s’oppose). La thèse de Rousseau dans ce texte oppose le langage naturel donc inné (qui est héréditaire et que l’on a à la naissance) et le langage culturel donc acquis (qui est un « héritage » que l’on doit s’approprier). Il met en avant ici le fait que le langage dépende d’une faculté propre à l’homme qui le pousse à exprimer ses pensées alors que le langage inné ne sert aux animaux qu’à exprimer leurs besoins premiers. En effet les animaux s’entre-communiquent sans

La métaphysique de Descartes : a) Le cogito, Dieu, les idées innées ►  Le cogito Au sein du doute, Descartes rencontre une première certitude, le cogito (« je pense » en latin). Le cogito représente la conscience de soi du sujet pensant. En effet, aussi universel que soit le doute, puisqu’il porte sur la totalité des connaissances, il y a quelque chose qu’il ne saurait atteindre : c’est sa propre condition, car doutant, je pense et, pensant, je suis. Dans le Discours de la méthode, le cogito semble

plusieurs autres textes de philosophes, que chaque introduction traduit une incompréhension de l'auteur face au sujet de son étude. En effet, ici, Malebranche, nous montre sa confusion car il n'arrive pas à concevoir que les hommes dont l'esprit est inné puissent s'en remettre à l'opinion des personnes qui les entourent. L'auteur critique ainsi le choix que prennent les hommes de ne pas réfléchir par eux même et d'écouter ce que disent les autres. Il traduit se choix par « aiment mieux » car il semble