Instinct

l'individu est considéré comme un produit de son environnement et de ses instincts, et non comme un être doté d'un libre arbitre. Il y a donc une dimension scientifique très pertinente dans l'écriture des auteurs naturalistes qui tentent de décrire avec précision les personnages, leur comportement, leur milieu social et leur évolution, Dans "Nana", Zola décrit le personnage principal comme un produit de ses origines et de ses instincts, incapable de s'élever au-dessus de son milieu social et de son éducation

choix éclairés. - La raison place l’humain au-dessus de l’animal, classe à part, différence de nature. L’humain peut utiliser la nature selon ses désirs. Maître et possesseur de la nature. -Raison supérieure à l’affectivité, aux passions, aux instincts. L’humain doit maîtriser passions par la raison. Corps= siège des passions, source d’erreur sur plan de la connaissance, fausse la perception de la réalité, précipite le jugement. Il faut se distancer du corps. - Raison→ amène l’humain à fonder

L’humain est conçu comme les autres espèces animal il a l’obligation de procrée pour survivre. La femme est-elle dotée d’un instinct maternel? Selon plusieurs études non! Mon texte va porter sur trois différents points de vue qui affirment qu’un tel instinct est uniquement culturel, l’aspect concret de différente société, le fait que l’humain reste un animal et la démonstration que l’instinct maternel a été créé dans les derniers siècles. En premier lieux, dans certaine société du monde la protection

Gobseck fait donc écho avec la propre vie de Balzac à la fois dans la ressemblance et dans la différence. Tout d’abord, Balzac, l’endetté et Gobseck, l’usurier se ressemblent car tous deux ont cet instinct de conservation qui leur permet de vivre au détriment d’autrui. Ils pensent à eux, « cet instinct se nomme l’intérêt personnel » l 17. En effet, Balzac poursuit sa vie, riche en en épisodes amoureux, en voyages, en dépenses fastueuses et aventures financières ruineuses, sans réellement penser

est) etmétaphysique (connaissance de l'être absolu, des causes de l'univers et de la nature). Ensuite, il souligne les méfaits des idéologies sociales qui déstabilisent cette voix intérieure divine. Rousseau définit laconscience morale comme un« instinct divin ». Cette proposition constitue un paradoxe: l’instinct, au sens premier, consiste en un « savoir » inné, d’ordre naturel et physiologique. La notion de« divin », renforcée par l’expression « immortelle et céleste voix », nous renvoie au contraire

tardif émergent d'une lente évolution de la matière, du néant à l'être, de la matière à la vie, de la vie à la conscience. - dimension sociale : la conscience est une surface c'est à dire que derrière elle, il y a une histoire, des pulsions et des instincts (Nietzsche "Ecce Homo"). En somme, il existerait des déterminations de la conscience physique, psychique, sociale : "ce n'est pas la conscience des hommes qui détermine leur être, c'est inversement leur être qui détermine leur conscience" (Marx "Idéologie

c'est lui conseiller... Ce n'est donc pas entendre la nature. Aussi les hommes qui sentent naturellement leur condition n'évitent rien tant que le repos : il n'y a rien qu'ils ne fassent pour chercher le trouble. Ce n'est pas qu'ils n'aient un instinct qui leur fait connaître que la vraie béatitude... La vanité, le plaisir de le montrer aux autres. Ainsi on se prend mal pour les blâmer; leur faute n'est pas en ce qu'ils cherchent le tumulte, s'ils ne le cherchaient que comme un divertissement;

que ce lion _ ou tout autre animal _ est vraiment libre lorsqu'il fait ce qu'il veut? Et bien non, en effet les animaux, qui ne sont pas doués de raison, agissent par instinct animal uniquement, c'est-à-dire que lorsqu'ils font quelque chose, ils ne sont pas libres car ils obéissent à leur instinct. Ils sont soumis à leur instinct et donc, bien qu'apparemment ils font ce qu'ils veulent, ils ne sont pas libres. Il en est alors de même pour les Hommes qui font ce qu'ils veulent, ils se croient libres

parce que l'être humain est le seul a pouvoir penser raisonnablement et est le seul qui peut se détacher de son instinct. Par exemple, les animaux ne pourront jamais philosopher parce qu'il ne questionne jamais ce qu'ils ont appris. Donc, pour vous, cette capacité mentale fait en sorte que l’humain est une exception… mais à quel point l’humain est capable de se distinguer de son instinct, à quel point il a ce « contrôle » (si l’on prend l’hypothèse de Freud et la notion d’inconscient, par exemple…)

Enfin Kant nous explique pourquoi l’homme a besoin d’éducation pour passer de « l’état d’animal à celui d’homme ». Et il nous précise que l’animal à un instinct et que celui ci lui permet de devenir « tout ce qu’il peut être » c’est à dire que d’après lui l’animal n’a pas besoin de recevoir l’enseignement de ses parents mais que son instinct lui suffit à devenir se qu’il doit être. En revanche d’après Kant l’homme a besoin d’instruction donnée par d’autres personnes puisqu’il n’aurait pas d’instinct