Instinct

en danger. D’ailleurs, en cas de refus, la loi peut punir à ce sujet, pour non-assistance à personne en danger. C’est un devoir en tant que citoyen. Cependant, la peur, les conditions ou le caractère peuvent être pris en compte. Mais aussi, cet instinct a aussi ses risques. Les risques sont que le faite de risquer sa vie ne suffit pas, le danger est trop énorme, et en final personne n’est sauvé, juste une mort de plus au compteur. Il faut donc resté conscient de la menace. En Belgique, chaque année

Cependant, nous devons rappeler qu’il existe un instinct important et primaire qui nous différencie, qui fait de la femme, une femme. C’est l’instinct maternel, celui qui nous pousse, en tant que femme, à vouloir nous occuper de nos enfants, à les aimer de manière inconditionnelle, tel qu’un homme ne pourra jamais le faire. Cet instinct ne vient pas d’un contexte social, ne peut pas être franchement considéré comme biologique mais est une

Les personnages créés par Zola sont basés sur une observation minutieuse des êtres humains. Ce qui est nouveau chez lui, c’est la façon dont il montre ses personnages. Ce sont les « vrais »  êtres humains forcés par leur sang, dominés par leurs instincts. Dans le roman Thérèse Raquin, publié en 1867, Zola précise une notion importante pour le courant du naturalisme et qui apparait souvent dans ses œuvres. Dans Thérèse Raquin, j'ai voulu étudier des tempéraments et non des caractères. Là

enjeu, nous allons définir la conception de l’être humain de Thomas Hobbes, ensuite celle de Rousseau, et observer les ressemblances et similitudes entre les deux conceptions. Selon Hobbes, l’être humain, à l’état de nature, est gouverné par ses instincts qui causent l’apparition de désirs et ces désirs sont ainsi comblés par des objets de désirs. La raison, ici, est caractérisée par la capacité à l’être humain de se projeter dans l’avenir. Cette raison lui fait une peur constante de perdre l’accès

commun entre tous les êtres vivants, et l'homme n'aurait pas de différence, sur ce point, avec eux. Les êtres vivants obéissent à leur instinct, ou bien à leur condition : le tournesol suit la course du soleil par nature et le chien attaque par instinct de défense. Mais comment peut-on être sur que l'homme n'obéit pas à sa condition d'homme, et à son instinct mais à sa raison ou sa conscience? Schopenhauer disait notamment que nous sommes tous mus par le vouloir-vivre qui est cette force aveugle

2. Selon Nietzche, il y a deux morales, celles des faible et celle des forts... Pour Nietzche, il y a la morale des faibles qui est une morale de culpabilité et de dénie de soi et de ses désirs, besoins, instincts. Parce qu'en étant faible on se nie soi-même, on fait violence à ses instincts, pour donner l'apparence de la bonté morale et se persuader de sa supériorité (ex. le christianisme), elle est donc contre-nature puisqu'elle nie à l'homme toutes ses passions et affects. Selon Nietzche, la

effet d'excès.Dom Juan est comparé à des animaux : « brute », « pourceau », « chien », car il cède à ses pulsions, à ses instincts.___- Le mot « chien » en grec a donné le mot « cynisme ». Diogène était un grec qui vivait à Athènes dans un____tonneau. Il refusait de devenir civilisé ; il se comportait comme un chien et n'avait pas de pudeur. « Chien____» renvoie à cet instinct animal. Dom Juan est cynique, il satisfait ses besoins naturels.___- Un « pourceau » est un porc (→ sale). Épicure était

réaliser pleinement, c’est-à-dire développer au maximum ses capacités, que dans la société (un regroupement d’individus, structuré par des liens de dépendance réciproque, mais souvent hiérarchisés). C’est pour cette raison que l’homme naît nu, sans instinct ni dotation comme il en est le cas pour tous les animaux. En effet, il lui échoit de s’élever par lui-même. Dans le ci-présent texte de Kant, nous verrons la transition de nature à culture, et le rôle prépondérant du travail dans cette transition

lequel il vit. 4) Nous sommes à l’illusion pour plusieurs raisons. La première étant que l’illusion est un besion vitale pour l’homme. Le fait d’effectuer «ce cirque perpétuel de la flatterie » est un moyen de conservation pour l’homme. C’est son instinct de survie. Ensuite la deuxième raison c’est qu’étant donné que cette illusion est quelque chose de vital pour l’homme, sans laquelle il ne pourrait pas subsister, ce besoin est donc ancré dans l’homme. Il est donc présent dans chaque être humain

fait preuve de violence barbare Plus d’extraits de Culture et barbarie...] Pourtant, ces distinctions sont bien théoriques et il semble difficile de trouver des exemples d'individus complètement guidés par leurs instincts ou d'individus qui sont parvenus à anéantir l'influence des instincts. N'y a-t- i pas un risque alors lorsque l'on souhaite distinguer la barbarie de la culture ? Par exemple, en opposant sa propre culture aux autres on peut tendre à assimiler différence culturelle et barbarie. On