Institution oratoire

un système qui est quotidien, les joutes oratoires, c'est-à-dire le recours aux vannes. Celles ci peuvent être directes et porter sur la personnalité de l’interlocuteur, ses traits physiques ou de caractère, ou être plus larges et toucher un groupe ethnique particulier, sans que cela ne soit vécu comme une insulte, quelque soit la méchanceté intrinsèque de la vanne. Ces échanges de vannes ont un véritable intérêt ludique et la qualité des joutes oratoires dépend des capacités d’improvisation mais

philosophes des Lumières. Les cibles de ce combat peuvent être rangées en 2 catégories : -les formes de pensée et les habitudes qui en découlent -les institutions qui propagent tout ça (l.2, 3) Dans un 1er temps, les philosophes rejettent les préjugés (l. 3, 4, 20), la superstition, les erreurs (l.26). Et dans un 2nd temps, ils rejettent les institutions sociales, politiques et religieuses (les écoles, les gouvernements, despotisme, tyrannie). Les philosophes accusent le clergé, la religion et les qualifie

pour faire un empereur”. Ces images insistent sur la duplicité du personnage, censé incarner la loyauté (Louis Napoléon est prince, donc noble, d’où le qualificatif de baron), mais qui se conduit en malfaiteur ; il est aussi censé garantir les institutions, ce que rappelle l’allusion au “serment”, alors qu’il en est le fossoyeur. Enfin le mot de “proie” va encore plus loin, puisqu’il déshumanise le prince, le transformant en une bête fauve, un prédateur guettant la république. La métaphore est d’ailleurs

une ré_________ critique de la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (1789), en y incluant les femmes. Après s’être adressée à divers d________________ parfois de façon p__________, elle adopte le style d’une institution o__________/ s________________ dans le préambule qui introduit les articles, et pose les revendications à l’é___________ des sexes. (2Lecture ) (attention de bien respecter la disposition typographique des diverses parties, prononcer les numéros

acceptée naturellement par le lecteur. Oratoire : Caractéristique des discours. Parodique : Qui imite de manière comique une oeuvre célèbre ou serieuse. Pathetique : Qui vise à provoquer un attendrissement en portant à l'extreme l'expression des sentiments. Picaresque : Registre dans lequel de petites aventures successives et indépendantes surviennent à un héros qui en constitue le seul point commun. Polémique : Qui attaque une idée/une personne/une institution de manière vive/agressive. Réaliste

hyperbole est très discutable ! La phrase nominale exclamative dans laquelle elle se trouve montre bien le choc qu’éprouve l’auteur à la simple évocation d’une telle éventualité (aucun verbe conjugué n’est nécessaire pour la conclure). La période oratoire qui conclut ce texte est une démonstration des qualités d’orateur de Rousseau. L’apostrophe finale « Non, madame », dite sur un ton choqué et réprobateur, montre la haute idée que Jean-Jacques a de lui-même. Il n’ira pas jusqu’à s’abaisser pour sa

hors normes et à des capacités oratoires très développé ce qui lui a sauver la vie plusieurs fois .Il est entouré de personnages important tel que le roi de Babylone. Les grands thèmes : •La justice : c'est un thème essentiel défendu par les Lumières. Dans Zadig, Voltaire montre son idéal de justice. Lorsque Zadig devient ministre du roi, ses jugements ne sont non pas arbitraires. C'est tout l'idéal de justice véhiculé par les Lumières. •La satire des institutions : Voltaire s'attaque au fanatisme

seulement, il passe encore aujourd’hui pour avoir été le chef de file du romantisme. Le Dernier jour d’un condamné est une œuvre de fiction (un roman paru en 1829) mais sa préface est autobiographique : elle est un cri de révolte contre une institution française : la peine de mort. Il y développe sa thèse abolitionniste. Plan détaillé I. Une réfutation argumentée et explicite 1. La logique de la démarche 2. L’analyse minutieuse des arguments

respecter la religion Athénienne : la religion civique (la notion d’Etat laïque n’existera pas avant des siècles dans le monde entier.) 3) Mais la place concrète du citoyen reste encore à déterminer : à quoi se dédit le citoyens ? A quelles institutions siège-t-il ? Au centre de la vie politique, il y a donc le citoyen (l’étymologie du mot démocratie qui joint “demos” (l’ensemble des citoyens) à kratos (la souveraineté)). En effet le citoyen n’exerce aucun métier à proprement parler : les esclaves

pour 10 ans un homme jugé dangereux pour la démocratie exilé mais garde tous ses biens. Aréopage sur la colline d’Arès (dieu de la G) : rassemble les anciens membres de l’archontat Conseil important oligarchique et gérontocratique garant des institutions, avec pouvoirs politiques et judiciaires. * Aristo imp = Frein à participation du démos dans les affaires politiques. CIMON, chef du parti aristo, profite du dév de la ligue de Délos et sur l’aréopage. b) Le contenu de la réforme