Instruire Les Hommes

sur le fait que l’amour possède une réelle puissance : « l’amour est un grand maître » il cherche a faire réfléchir les spectarteur sur la subtilité et la ruse de l'amour. Être amoureux ne garantit en rien le mariage car les filles sont livrées aux hommes par des marchés entre les pères de famille mais Moliere en donnant son point de vue cherche a faire cogiter car il veut nous faire passer un message avec la phrase « Le hasard en ces lieux avait prémédité, / Ce que votre sagesse avait prémédité

classiques. Enfin, en ce temps, les hommes pensaient que par l’usage de la raison, on pouvait contrôler ses sentiments et ses passions. Deux conceptions se dévoilent alors : * Les molinistes, qui ont foi en la liberté et la grandeur de l’homme * Les jansénistes, qui pensent que les hommes sont esclaves de leurs mauvaises passions. II) Principes et thèmes du classicisme Plusieurs doctrines régissent l’esthétique classique : * Plaire et instruire : plaire pour toucher le public, tout

le livre connait un immense succès. Alors dédié au Dauphin ce livre a un double but qui suit la morale du 17ème siècle : « Placere docere », soit plaire et instruire. Pour ce qu’il s’agit de plaire, La Fontaine nous présente de courtes historiettes amusante pour la pluparts où l’on retrouve comme protagonistes des animaux. Quand à instruire, chaque texte est accompagné d’une morale implicite au texte ou explicite. Mais Pierre Clarac nous explique dans sa préface aux fables que le contenu de celles-ci

Des supports mordernes s'intéressent eux aussi aux Fables : la publicité les a utilisées et d'une certaine façon le dessin animé, dans la lignée de Walt Disney ou Tex avery qui ont repris l'héritage de La Fontaine."Je me sers d'animaux pour instruire les hommes" dit-il. Le premier recueil de 125 fables, souvent inspirées du poète grec Esope et du fabuliste latin Phèdre , veut enseigner une morale, mais en charmant le lecteur. Lues et étudiées dans les écoles du vivant de leur auteur, les Fables accompagnèrent

Dans sa dédicace « À Monseigneur le Dauphin » du premier recueil de ses Fables, La Fontaine rappelle le principe qui inspire les fables et surtout les siennes : « Tout parle en mon ouvrage […] Je me sers d’Animaux pour instruire les hommes. » La réussite des fables de La Fontaine tient à ce que ses animaux sont humanisés, mais cette métamorphose s’inscrit toujours dans la logique de leur nature, de leur physique, de leur comportement animal, ce qui rend encore plus convaincant le passage du

dit : « je me sers d’animaux pour instruire les hommes. » En effet, cet auteur classique du XVIIIème siècle s’inspire de textes d’auteurs grecs, comme Esope (VIème siècle) pour les transposer dans le contexte de son époque. Ainsi, il n’inclus jamais de personnages humains dans ses fables. Il divertis et instruit, en touchant le lecteur en employant divers registres et apporte grâce aux morales une dimension supplémentaire, telle que dénoncer les vices des hommes. Quelle condition de l’homme Les fables

justement, de savoir quelque chose d’eux. Enfin, le lecteur est conduit à s’intéresser aux personnages dupes, imbéciles, dans le but de chercher à rigoler d’eux ou plutôt de rire de leur imbécillité. Prenons le personnage de Lennie dans Des souris et des hommes de John Steinbeck. Celui ci est complétement imbécile dans le roman, par exemple, il garde une souris dans sa poche pour la caresser car il aime les choses douces. De plus nous nous intéressons plus aux paroles de celui ci, car c’est souvent dans

L'artiste doit-il, comme le conseillait Molière, instruire en faisant rire ? Le parti pris de « rire de tout » n'a-t-il pas des limites ? I. L'humour rend plus réceptif aux sujets sérieux 1. Qu'est-ce qu'un sujet « grave » ou « sérieux » ? Que faut-il entendre par sujet « sérieux » ou « grave » ? Sans doute tout ce qui a trait aux questions fondamentales de la condition humaine : la vie et la mort, l'ignorance de son destin... Mais les hommes, à travers toutes les formes d'art, abordent aussi

écrits des Lumières…). II – Mais la littérature peut très bien se passer d’intentions instructives 1) La littérature de divertissement n’a pas d’autre ambition que de procurer un agrément à son lecteur. L’écrivain ne cherche alors surtout pas à instruire. Il veut procurer au lecteur le plaisir du divertissement, du dépaysement, du rire sans arrière-pensée. Les romans d’aventures, la littérature fantastique, ou, dans un tout autre domaine, le théâtre de boulevard, sont des exemples de cette tendance

différentes histoires, dans le but de faire différentes morales au lecteur et faire comprendre les erreurs de la vie. Comment le poète critique-t-il dans les fables  ? Nous verrons Premièrement qu'il cherche à plaire, dénoncer et instruire. Puis ce qu’il veut prouver/expliqué dans ses récits. Pour finir, nous verrons par quels moyens va-t-il essayé de convaincre le lecteur. -Tout d’abord La fontaine met particulièrement en avant la cour du lion