Interjection

grande capacité d’adaptation et d’improvisation : * Il fait semblant d’avoir de l’assurance. * Il exagère sa douleur : « un peu foulé le pied droit ». (comique de geste). * Exagération par le vocabulaire : « A,a,a,ah ! / o,o,oh ! » interjection et comique de mot. La comédie passe par les personnages de Figaro et d’Antonio. Cependant, des tensions interviennent à l’intérieur de la comédie. C’est se que nous allons étudier. II) Entre tension et comédie 1°) Des situations

cette transition marque surtout le début des aveux de Phèdre (au vers 665 vouvoiement avec « jugez-vous » qui passe au tutoiement au vers 670 avec « tu m'as trop entendue » ; « je ne t'ai pu parler de toi-même » ; « Toi-même en ton esprit ») → Interjection « Ah ! » qui vient couper Hippolyte -Involontaire → Phèdre s'exprime à travers une question qui marque la faiblesse au vers 694 « Cet aveu si honteux, le crois-tu volontaire ? » + allitération en -on qui marque la surdité. b) Une passion

tercets qui semblent se répondre. Structure très subtile complexe &rigoureuse qui contribue à mettre en valeur thème de la perte. *Composi° du poème* av *oppo*° Un début qui annonce bien l’atmosphère du poème : Interjection « hélas », monosyllabe + ton de l’éplora° dc tristesse qui ouvre le poème Place de l’adv « maintenant » placé à l’hémistiche qui ouvre le poème pcq parle condi° de mnt Démonstratif « cet » « cette » qui souligne le poids de

mots, les mises en reliefs, les parallélismes de construction, le rythme de la phrase binaire, ternaire ; les phrases simples ou complexes, les phrases nominales -La ponctuation : souvent expressive, questions rhétoriques, exclamatives, les interjections lyriques, les points de suspension, qui créent une attente, du suspense, ou montrent une interruption, etc. -Selon les types de textes : vous adoptez les outils d'analyse d'un texte romanesque (le récit, le dialogue), d'un texte théâtral, d'un

a-t-il sur l’enfant ? - conséquences affectives : o Solitude et détresse de l’enfant rescapé et abandonné o Conditions pitoyable : vaincu, « tête humiliée » o Soumission, passivité - Pitié du narrateur : o passage du récit au dialogue. Interjection, interrogation : sollicitude, consolation. o Attitude protectrice et réconfortante : anaphore « veux-tu » volonté de donner à l’enfant les plus belles choses qui soient pour lui faire oublier sa douleur. 2. Un monde d’innocence On remarque

tête », « un tronc ». Cela permet une certaine généralisation concernant la question de la peine de mort. Cet extrait fait appel aux sentiments du lecteur. Il est rendu encore plus touchant grâce à l’apostrophe à la « petite fille »l 2 et aux interjections « O », « oh » l 1 et 21. Il fait aussi appel au passé, avec des moment passé avec sa fille « marie »l 9 « Pauvre petite … prier dieu » l 11 a 15 puis au paragraphe suivant il expose sa fille dans le future « Qui est ce qui … boire et de manger

amusant C.Le discourt argumentatif un jeux? 1.Raisonnement logique «un homme de bien».Un argument ,un raisonnement avec des questions oratoires.En même temps se raisonnement logique est syllogisme 2.Il y a des questions oratoires et interjections. «Ah de grâce» .Impératif «Ne vous encombrer pas» .On est bien dans la persuasion.Rabelais demande d'avoir confiance en lui comme Dieu.Il construit un argument argumentatif mais c'est un jeux 3.Rabelais fait référence aux animaux mythologiques

« l’un et l’autre » + « aussi » : effet de miroir -vocab. péjoratif, hyperbolique + registre épidictique + ponctuation  : s’adresse de manière outrée à son fils. -chps lexical déshonneur s’oppose à celui de la vertu pour mieux servir sa démo. -Interjection « Ah ! » : mépris -expression très virulente du reproche : tournure négative + interrogations = vise à provoquer la honte auprès de ce fils et confirme caractère tragique du pers. Le gentilhomme qu’il est s’oppose au « monstre » à qui il a donné

vendu par ses parents, déporté d'Afrique en Amérique (Guyane hollandaise), esclave, victime de châtiments. Le discours rapporté: le fait d'entendre directement l'esclave (paroles rapportées au discours direct), quelques marques d'exclamation (interjection "hélas!"), lexique de la souffrance ou de l'injustice. Le vouvoiement montre une position d'infériorité par rapport à son interlocuteur qui le tutoie. La réaction du personnage auquel s’identifiera volontiers le lecteur (personnage relais),

de mots : noms, adjectifs, prépositions, adverbes, pronoms, conjonctions, verbes, articles, interjections. * Modalités : => Si ça touche des mots variables : masculin, féminin, singulier, pluriel. => pour les verbes : infinitif, temps, mode, personne, voie (active ou passive) * Fonction : => c’est le rôle que le mot joue dans la phrase (sujet, attribut, COD…). Les interjections et les prépositions n’ont pas de fonction. L’A.L.concernent les propositions. Elle touche