Interjection

forts et l'ironie de plus en plus soutenue. Nelligan lance un cris du coeur, il utilise une ponctuation exclamative pour démontrer sa rage. Les «Ô» de «Ô le beau soir de mai!», permettent d'exprimer avec intensité les sentiments du poète. Ces interjections peuvent aussi démontrer de l'ironie. La répétition des mots «vin» et «gai» met l'accent sur l'ivresse du poète qui exprime tout son mal être. Les anaphores et l'utilisation de quatrains classiques propose un rythme qui communique plus d'énergie

didacalies internes mais aussi externes ligne 43 à 52 . Lorenzo joue deux roles, celui du duc et le sien . Lorenzo imagine à plusieurs reprises ses échanges à venir avec le duc(dialogue imaginaire ) l'oralité est soulignée avec les nombreuses interjections ligne 35 et 38 « eh » « oh » « ah ». II- l'exaltation du ton Lorenzo est en pleine émotion , il est euphorique. On le remarque avec les nombreuses phrases exclamatives (21 ) , interrogatives (11) et toujours beaucoup d'interjections . Les phrases

passé composé à valeur d’antériorité« une femme qui se tient au dessus de moi, s’offense de porter mon nom »Présent d’énonciation + lexique du méprisB/ Monologue d’exposition qui permet de présenter le personnage principal « Ah ! », « qu’ », « que »Interjection/exclamation, modalité exclamative« George Dandin, George Dandin, vous avez fait »Répétition + emploi de la 2e pers« effroyable », « chagrin »Nous renseigne sur la situation pathétique du perso à l’ouverture de la pièce. C/ Un monologue qui fait

de la plainte amoureuse ⇒ Registres lyrique et élégiaque.Champs lexical de la mort et la souffrance ⇒ Registre tragique.Par exemple :ANGÉLIQUEAh ! je le hais plus que la mort,Et sa présence, ainsi qu'à vousM'est un cruelsupplice.- Interjection + exclamation + hyperboles ⇒ Colère et indignation de la jeune femme, qui ne peut masquer ses sentiments. ANGÉLIQUE Plutôt, plutôt mourir , Que de jamais y consentir,

surprise de l'amour. Le dénouement ne fais aucun doute mais comment le mariage va t-il se faire ? 2; une scène très vivante, pétillante, langage qui ressemble à une discussion familière ( scènes vives avec de courtes répliques, interjections, questions-réponses, éclats de rire qui donnent beaucoup de vivacité) . 3; Preuves que ces personnages jouent un rôles : Les apartés : ( sont la pour nous informer, expliquer aux spectateurs, mais aussi de suivre les réaction de Dorante

d'émouvoir le public. Il doit susciter une émotion tragique sur le spectateur et c'est de la pitié. Ici Hermione se livre au constat des outrages qu'elle a subit. (v 1403 → apostrophe qui suscite la sympathie. Avec/souffrir → Compassion) (v 1421 → Interjection « Hé quoi » reflète l'émotion d'Hermione, son trouble. 2)La sympathie du spectateur est facilité par la façon d'où Hermione rend Phyrrus coupable de son malheur. (v 1420 P est désigné par un pronom personnel sujet et H est désignée par un pronom

conte II Une histoire exemplaire qui fait réfléchir I 1 ) Témoin effacé, Candide n'intervient pas, Voltaire n'insiste pas sur les mutilations, le noir ne s'apitoie pas, n'insiste pas sur son état. "Candide" veut dire naïf et innocent "Eh" interjection qui montre la surprise de Candide. Les personnages n'ont pas de personnalité, le noir n'a pas de nom, évoque le cas de tous les noirs. Les interlocuteurs ne sont pas présent. Le noir ne se plaid pas et parle plus longtemps que candide " que fais

son charme : “jamais” = négation exclusive = unicité + essaie de la culpabiliser > son amour est supérieur au siien. - Accumulation “je” > il pense d’abord à lui. Il n’est pas sûr que son charme ait marché > Atténuation à la fin 2 X “votre” + interjection “Oh” = lyrisme - Elle ne la retira pas > mise en valeur “il” et “elle” sont séparés par l point virgule > idée du couple - Passé simple = action soudaine, unique > importante + puis utilisation de l’imparfait = durée > c’est acquis pour

(points de suspension) : réticence, suspense, le poids du silence est important. Périphrase, circonlocution : ne prononce pas le nom d’Hippolyte. La tension atteint son paroxysme à la dernière ligne. b) Oenone, une confidente dévouée : Interjection « Quoi ! », multitude de questions : se soucie du mal être de Phèdre. « Mon âme chez les morts descendra la première » : prête à donner sa vie pour Phèdre. Elle pense pouvoir délivrer Phèdre par la parole mais c’est aussi pour elle-même « Délivrez

énormément. Elle envoie ses nombreuses lettres pour combler la distance entre elle et sa fille. « ma chère fille ».• Echange de propos, impression de discours oral, dialogue écrit. « Vous me demandez » qui renvoie à une lettre précédente. « Ah ! » interjection orale qui donne l’impression de parole, il donne de la vivacité au récit, il exprime les sentiments. 2. La mise en scène de l’affectivité La tonalité exprimée par le vocabulaire affectif donne l’impression que la personne qui s’exprime est touchée