Interjection

aussi comique car le décalage entre Sganarelle et Dom Juan est démesuré et peu faire rire : Don Juan qui va vers la mort avec courage et Sganarelle qui a peur : « Oh ciel ! voyer vous c’est un spectre ». Sganarelle commence ses répliques par des interjection : « ah » qui montre qu’il est impressionné et qu’il a peur. Don Juan est noble, il n’a peur de rien : « rien n’est capable de m’imprimer de la terreur ».Il est noble en respectant sa parole et en allant « manger avec moi », alors que Sganarelle

qu’il doit jouer. L’hyperbole « Voilà pour me faire mourir », alors qu’il courait quelques instants avant, sert à montrer le ridicule d’Argan qui à poursuivit sans vain Toinette.Le comique de mots est également présent dans cette scène lorsque les interjections « Ouais ! », « Ah ! », « Eh ! » donnent de l’intensité et surprennent le lecteur. Le registre de langue est courant voire familier, avec l’emploi de jurons ou d’injures par Toinette ou Argan comme « Mon Dieu », « Chienne », « Pendarde », ainsi

dernière qui va amener le lecteur à comprendre qu’elle est ironique et qu’elle se moque de Valmont dès le début de sa lettre : « Que vos craintes me causent de pitié ! Combien elles me prouvent ma supériorité sur vous ! » v.1. Laclos utilise des interjections telles que « Ah ! mon pauvre Valmont » v.3 et une ponctuation exclamative pour souligner l’hypocrisie de la Marquise envers son destinataire. La Marquise ne se sent non seulement supérieur à Valmont, mais aussi aux autres dames de la société :

- les points de suspension expriment l’hésitation, laissent sous-entendre une idée (registre ironique). - les phrases exclamatives traduisent la surprise, ou la vivacité d’un sentiment (la joie, la tristesse, l‘énervement...). Idem pour les interjections (oh!....). - les phrases interrogatives peuvent inviter à la réflexion (question oratoire pour les registres épidictique et polémique), exprimer un doute, une perte des repères, curiosité, interréssé… Le registre polémique peut aussi s’exprimer

2.les prépositions : de, chez, par, depuis… 3.les conjonctions de subordination : parce que, pour que, depuis que… 4.les conjonctions de coordination : mais, ou, et, donc, or, ni, car 5.les interjections : hélas !...

Isotopie de l'amour avec les mots: "amour" (l.1-11-45-62), "passion" (l.4-47), "plaisirs" (l.5), "joie" (l.13), "attachement" (l.21), "plaisir" (l.24), "amant" (l.32), "charmée" (l.45), "aimais" (l.47), "jouissais" (l.48) et "coeur" (l.64). - Interjection :On remarque aussi une sorte de journal intime avec la marque de l'oralité comme: "Ah!" (l.2)et "Hélas!" (l.14-53) → spontanéité, réalisme qui font croire à de vrais lettres B) Abandon - Isotopie de la douleur "absence" (l.8), "douleur" (l.8-35)

le poème est diviser en deux parties , du vers 1à11 on peut voir le désespoir du poète et du vers 12à20 son refus d’y croire Dé l’ouverture du poème dans les deux première vers on ressens la souffrance du poète par interjection ‘oh’ et ‘hélas’ + point d’exclamation en début de vers . « je pleurai trois jours amèrement . » appuie sur sa souffrance et accentue « je fus comme fou » qui est mis en valeur par une allitération en « F » . Cependant en ce début de poème

d'inspirer au lecteur une émotion, un bouleversement, de la pitié, souvent par le récit ou la description de la douleur et la souffrance d'un être qui se trouve désarmé, impuissant face à elle. Du grec pathos : "souffrance" Lexique de l'émotion, interjection, exclamation, rythme brisé etc. Tragique Présente la prise de conscience par l'homme de forces (divines, politiques, morales) qui le dominent et l'enferment ou l'écrasent malgré la résistance qu'il leur oppose. Il y a identification du lecteur

souffrance : « trouble » v274, « tourments » v278, « ma raison égarée » V282, « incurable amour » v283 : cet amour est également comparé à une maladie. Phèdre exprime ça souffrance au vers 289 : « O comble de misère » avec au début de ce vers : une interjection suivi du mot « misère » qui exprime la souffrance puis il y a une hyperbole « comble de ». tout ceci exprime une souffrance moral mais phèdre souffre également physiquement. Au vers 273 : « je le vis, je rougis, je pâlis à sa vu » phèdre vois

Dieu contre de l’argent 2) qui mène le dialogue ? Dom Juan domine. Il tutoie le pauvre. Il l’interpelle de façon hautaine (« mon ami ») C’est Dom Juan qui pose la question ! Utilisation de l’impératif par Dom Juan (lignes 17,43,44...) Interjection Ton moqueur (ricanements) Dom Juan mène le dialogue. 3) l’utilisation de l’ironie pour ridiculiser Ligne 14 Dom Juan accuse le pauvre de vénalité(vouloir de l‘argent). Ironie pour dénigrer la croyance du pauvre II/ Comment le pauvre