Interjection

« foudre « brasier ardent » « feu invisible » « brûle » - Contrairement aux tragédies classiques, D.J est libre de son destin 2. Registre comique : « fait rire » - Attitude de Sganarelle : peureux Question « entendez-vous monsieur ? » Interjection « Ah monsieur c’est un spectre » Invoque le ciel « Oh ciel » - Décalage entre l’attitude de Sganarelle et D.J - Attitude finale de Sganarelle : répétition « mes gages, mes gages » => il n’est pas touché par la mort de son maître et n’a

malheureuse orpheline , de boire et de manger », « tu auras honte et horreur de moi » ,ce sont des question rhétorique. On peut aussi voire qu’il est angoissé a l’idée de la mort : il y a beaucoup de point d’exclamation (ponctuation forte) + des interjections : ô ma pauvre petite fille ! » et il y a beaucoup de répétition du « moi » qui indique une obsession pas la mort. 6. Dans cet extrait Hugo donne plusieurs arguments pour qu’on abolisse la peine de mort. Premièrement il explique qu’on enlèvera

présence de la 2eme personne du singulier ( destinataire ). Les procédés utilisés : - Présence du champ lexical des sentiments et émotions - Présence d'une syntaxe émotionnelle ( la ponctuation tel que ''!, ?, …'' ainsi que les Interjections « Oh ! », « Hélas ! » → Le registre élégiaque : Il emploie les mêmes procédés du registre lyrique, mais il désigne avec précision la plainte de la mélancolie, de la douleur. - Le registre pathétique : C'est un registre

tes bras triomphants Par l’anaphore v39 a 41 insiste sur la domination et expansion romaine Termes hyperboliques des vers 47.48 Éléments relatifs a la victoire II EXPLICATION DU DILEMME A le tragique TERMES PEJORATIFS SUR SON MARIAGE INTERJECTION HELAS : esclave enchaînée Pt d’exclamation = contrariété de Sabine V27mais adversatif associé au conditionnel B son désarrois V25 elle indique qu’elle n’est pas Romaine de naissance grâce à « puisque » répétition de ce désarroi au vers

(= négatif, dévalorisant, dépréciatif) ≠ d' affreux rideaux beige des verbes comme a) = aimer, détester, craindre… b) = penser, croire, prétendre… _ des adverbes (ou compl. circ.) sans aucun doute, probablement, heureusement, peut-être… _ des interjections hélas, bravo, hé bien … _ le temps ou le mode des verbes subjonctif, conditionnel (probabilité), ou futur (possibilité) _ la ponctuation guillemets, italiques, capitales, point d'exclamation _ insistance, distance, ironie... _ Tout ce qui ressemble

STROPHE - Tercet li au spleen. Avant il y avait des doutes, maintenant cest une certitude. Le tercet montre la rupture complte par rapport au rve. - Expression de la douleur apparat dans le 1er hmistiche qui apparat dans un double cri de dsespoir. Interjection lyrique , apostrophe la douleur morale et la rime en eur soppose la rime de la strophe avant, car la douleur renvoie lincapacit de crer. Par cette rupture B. met encore plus en horreur cet ennemi.

nous remarquerons une discussion opposante entre les deux sœurs.CitationProcédé Interprétation-Oh ! c’est de lui !... c’est de lui !...- Voilà bien sa devise, que j’avais prise aussi pour la mienne... Adesso e sempre... « Maintenant et toujours. »-Interjection accompagnée d’une phrase anaphorique -Pronom possessif avec conjonction de subordination relative -Etonnement elle ne s’attendait de cette information-Une description I)Une scène agitatriceDurant l’entrée en scène par Clara, nous apercevons son

→ interjection je ne sais pas si j'ai fait leur fortune, mais ils n'ont pas fait la mienne. Les chiens, les singes, les perroquets sont mille fois moins malheureux que nous. Les fétiches[footnoteRef:6] hollandais qui [6: Ici, « fétiches » désigne ironiquement

pathétique pour le personnage :· La ponctuation abondante tout au long du texte qui matérialise le trouble intérieur du personnage. Tous les types de phrases sont mis en perspectives dans la scène : les interrogations, les exclamations et les interjections. La variété, et l’alternance de ces types de phrases soulignent l’agitation intérieure et certainement physique du personnage. Exemple  : émotion qui se manifeste par la présence de pts d’exclamation (v.38, 52), d’interjections (« hé

il traduit la stupéfaction et l’état désemparé de Rodrigue, cette marque de subjectivité suggère les sentiments du locuteur. Egalement, la présence d’interjections peut être associée au registre lyrique : ‘Ô(v8), Ô(v18)’ A l’aide de ces interjections, Rodrigue pousse un cri de désespoir, cela renforce l’expression des sentiments qu’il veut nous faire partager. Enfin la disposition du texte, sous forme de stances, caractéristique du lyrisme, nous confirme dans l’hypothèse que ce texte appartient