Interjection

assonance (2 premiers quatrains) -ant et -ème + allitération v7 Anaphore v.6-7 Ponctuation importante : - conjonction « et » x6 dans la première strophe + nombreuses virgules → rythme lent. - interjection v.6 + phrases interrogatives → lyrisme nostalgie : femme qui n'est plus → succession du nom, du regard et de la voix v10,12,13 2/ Un chant mélancolique Tristesse et mélancolie v.10 + v.6 univers onirique sombre v.1 → comparaison/

une forte connotation renvoyant presque à de la culpabilité. 2ème vers : ce vers est une question destiné à la France, il est renforcé par l’apostrophe «ô »permettant d'interpeller un destinataire dans le cours d'une phrase ou d'un texte. Cette interjection "ô cruelle » s’inspire des textes Petrarquistes, et appartient au lexique amoureux. Comme souvent dans les Regrets Du Bellay « recycle » un matériau poétique existant déjà, en le détournant de sa fonction première ; c’est le cas du vocabulaire

phrases courtes comme ci sa pensée était martelée, il parlait sous l’emprise d’une certaine émotion. Ce monologue peut nous faire penser à une vraie tragédie grecque mais modernisée. Nous avons les interjections « Hélas » deux fois, « Eh bien », ou encore « Malheur » utilisé ici comme interjection qui nous rappellent la situation désespérée à laquelle Bérenger fait face. La dimension de fatalité aussi présent à la ligne 12 avec la phrase exclamative « Trop tard maintenant ! » ou le mot « jamais »

poète.B] Un souvenir obsessionnel- Léopoldine jamais nommée => pas nécessaire car le cœur du poète est plein de sa présence. - Souvenir toujours présent : récit d’une mort puis passé revécu sous les yeux du lecteur avec le discours direct, les interjections.- Quatre derniers vers qui reprennent les précédents.C] Une hallucination qui permet de convoquer l’être cher- Verbes de perception, lieux et bruits du quotidien- Discours direct, impératifs qui dramatisent la scène, rythme saccadé· L’experience

Présence d’indices qui renvoient à la situation de communication : l’émetteur (je, nous), le récepteur (tu, vous), la situation spatio-temporelle (ici, ceci, cela, là-bas, maintenant, demain, hier) // énoncé ancré X Marques de l’oralité : interjections, phrases incomplètes, accent, etc. X X Temps de base Présent Même temps de base que celui du récit F) Les transformations du discours direct au discours indirect Les temps de la conjugaison o Si la phrase matrice est au présent ou au

explique le recours aux caractères italiques dans la plupart des éditions de la pièce ; chant en vers, visible par les alinéas. • Les marques du lyrisme sont, entre autres, les occurrences de la première personne (dès le premier vers), les interjections, l’apostrophe à Zeus, les images telles que « gouffre fatal ». Un jeu d’oppositions : il s’agit ici de condamner la démesure du héros tragique, pour lui rappeler que les dieux sont tout-puissants. • Opposition dans l’espace, métaphore

Rappel : Phrase verbale : La phrase verbale est construite autour d’un verbe conjugué. Phrase non-verbale : La phrase non-verbale est une phrase conjugué On distingue la phrase non-verbale construite autour d’un participe, d’un infinitif, d’une interjection et la phrase non-verbale autour d’un nom, cette dernière s’appelle la phrase nominale. ATTENTION !! Toutes les phrases nominales sont des phrases non-verbales mais toutes les phrases non-verbales ne sont pas nominales.

représentant de la religion ( ici les « bénédictions » peuvent faire référence aux 7 sacrements, plus particulièrement à l'ultime onction). → Champ lexical de la colère « précipité » « emporté » « jeta avec violence », points d'exclamation, interjections (« Ah ») : l'incompréhension de Rieux face à la mort de l'enfant, il a besoin de rejeter son dévolu sur quelqu'un, de blâmer quelqu'un : celui qui s'oppose à sa vision. → Paneloux défend le caractère divin et punitif de la Peste, Rieux est convaincu

on constate que certains mots sont présents de façon évidente à plusieurs reprises. Tout d’abord, chacun des premiers vers de chaque quatrain (v1 et v5) est scandé par 2 ‘’Ô’’ aux premières et cinquièmes syllabes de décasyllabe. Ce mot est une interjection qui permet d’invoquer et/ou d’exprimer un vif sentiment. Or l’auteur mêle ces deux éléments: elle commence par s’adresser à ses sentiments (CF. v8: il s’agit donc d’une forme d’allégorie) pour traduire son état d’esprit. En effet, on comprend que

1) Ce roman commence par la description d'une scène de pêche qui débute par une interjection («Zut») .ce qui produit une envie d'en savoir plus et donc l'auteur produit un effet d'attente. Ensuite l'auteur fait une narration de la scène et décrit l' action. L'auteur utilise les temps du passé surtout le passé simple puis dans les dialogues le présent d'action « ça ne mord pas» 2)La disposition typographique du texte met en valeur les paroles des personnages . Les paragraphes