Intonation

pièce à l'autre : en effet, selon le courant littéraire dans lequel se situe l'auteur, les exigences ainsi que l'esthétique sont dissemblables. Ces didascalies nous renseignent sur le comportement des personnages tout au long de l'action, leurs intonations, leurs mouvements. De plus, elles nous présentent et introduisent le contexte, l'intrigue et peuvent même nous informer sur la situation de certains personnages. + Exemple de longues didascalies La lecture est donc un loisir permettant au lecteur

pouvoir communiquer avec un certain degré d’aisance et de spontanéité rendant tout à fait possible une | |interaction régulière. Il devra s’exprimer dans une langue grammaticalement acceptable et avoir acquis une prononciation claire et une | |intonation pertinente. » Bulletin Officiel n°42 du 16 novembre 2006 | |Conseil des professeurs : la qualité de votre expression linguistique, votre culture hispanique et générale, mais surtout

avec une pièce de théâtre classique. Ce qui m'a le plus plu, c'est l'aspect auditif. La musique, les bruits étaient en live est très bien adaptés aux situations. La voix des acteurs était très agréable à entendre, ils avaient une bonne puissance, intonation, articulation et prononciation. On repérait facilement le changement de personne. Enfin le rapport entre les comédiens et le public était bien car l'acteur principal parlait en nous regardant. Par contre les points négatifs en ce qui me concerne

suggère un léger écart, un accent particulier. De plus, dans ce cas, ce mot se prononce avec une diérèse (inflexi/on). Puis, plus loin dans le vers, l’accent sur la septième syllabe (chères) brise l’alexandrin, ce qui suggère un sanglot dans la voix (intonation descendante) CONCLUSION Pour conclure, nous pouvons dire que ce poème traduit le malaise affectif d’un homme malheureux qui devient peu à peu un malaise physique. Verlaine insiste sur le souvenir, la douleur et le goût pour la musique qui se

son pantalon. Silence. VLADIMIR : Alors, on y va ? ESTRAGON : Allons-y Ils ne bougent pas. COMMENTAIRE I - Une pièce de théâtre 1) Le langage dramatique 2) Les paroles des personnages (Quiproquos...) 3) Les didascalies/Débit/Intonation II - Un drame moderne 1) Situations grotesques 2) La noirceur du comique 3) Message de l'auteur PROPOSITIONS DE PLANS POUR LES TROIS QUESTIONS ORALES 1ère question : en quoi cette scène finale présente-t-elle un dénouement original

niveau [Inversion reprise par Jean Genet dans Les bonnes]: -Physique (Mari tord le poignet au professeur), -Psychologique (elle est sévère, sarcastique, très dure, = gradation, voir didascalies), -Linguistique (utilisation de l’impératif et intonation très injonctive) Marie impose sa suprématie et devient inaccessible à la folie meurtrière que « cette espèce d’araignée qu’était le professeur » voudrait continuer d’exercer à ses dépend : « il essai de lui donner un formidable coup de couteau

"épandait", "jetait", au passé simple, temps du relief : "apparut", "brilla". Celle qui apparait, c’est celle que l’on nomme "la belle matineuse", l’amante, la jeune femme dont le poète est épris ou s’éprend tout à coup. Pour continuer sur les intonations mythologiques, cette femme est désignée par le terme "Nymphe", renvoyant à ces jeunes beautés, divinités féminines de la nature. Cependant on peut interpréter cette désignation comme hyperbole et compliment. En effet, le poète parle ensuite d’"une

rechercher toutes les intentions imaginables, improvisation participation à une création collective · déstructuration d'un texte: - les émergences - les trames sonores rechercher une "forme musicale" · jeux à partir d'une comptine: - voix parlée intonations variées - voix chuchotée - en parler rythmé - avec un ostinato - en canon parlé - voix chantée sur une seule note, chacun avec sa note - en chantant la ligne mélodique - ...etc. ...Françoise Godefroy CPDEM ArdècheMise en voix et jeux vocaux

action Les différents cours de pensées : La ville de Palo Alto = Mr WATZLAWICK : Pour lui on ne peut pas ne pas communiquer. Pour lui la communication est volontaire ou pas et : * verbale, donc avec des mots * vocale, avec la voix/intonation * écrit, verbale non vocal * non verbal, par les gestes = kinésique par la distance = proxémique Pour Shanon et Weaver, la communication = verbale ET volontaire ! Double Bind (entrave/ contrainte) = l’ordre auquel

en gras qui marque la puissance et l’importance, ce qui est en rapport avec le diable. La ponctuation sert à marquer l’arrêt sur les mots. Il y a une répétition de la tentation (« tenter », « une pure tentation », « la tentation »). Krony a une intonation féminine avec le « y ». Il y a une opposition des mots entre le bien et le mal (« douce amère », « tendre et forte »). Pourquoi Krony est-elle une publicité psychologique ? De nombreux détails font le lien avec le diable, tout d’abord, nous pouvons