Intériorisation

intérioriser inconsciemment l'interdiction ou l'impossibilité de satisfaire tel ou tel désir. Ceci crée une censure et engendre un mécanisme de refoulement de cette pulsion dès qu'elle se présente, se manifeste. Ainsi se forme le surmoi (Freud) : intériorisation inconsciente des interdits familiaux, parentaux et sociaux. L'enfant vit également des peurs, des désirs, des traumatismes (chocs affectifs violents), d'autant plus que l'enfant ne peut pas « parler », raisonner... L'enfant ne peut pas parler

opposition à celles de la campagne (…) Dès lors, l'accent de réalité de la connaissance intériorisée au cours de la socialisation secondaire est plus aisément mis entre parenthèses (c'est-à-dire que la perception subjective du caractère réel de ces intériorisations est plus fugitive). Il faut plusieurs chocs biographiques pour désintégrer la réalité massive intériorisée au cours de la prime enfance. Il en faut beaucoup moins, par contre, pour détruire les réalités intériorisées plus tard.

un peu comme le temps. Anaphore, rime fratrisée, parallélisme, eau omniprésente dans les 2 quatrains. Alternance des temps et époques + temps verbaux. Méditation sur la vie. L'auteur nous invite à nous asseoir ! Généralisation du vers 9. Intériorisation. Comparaison de l'eau et de la vie, parallélisme de l'eau, référence à l'Homme. Métaphore filée. Fatalité, on va tous vers la mort, comme l'eau qui s'écoule = comparaison. Méditation, on relativise. Tant pis, c'est un fait. Contemplation

des élèves. Par opposition, les autres cultures sont dévalorisées ; l’élève apprend que « bien faire » c’est imiter l’habitus du groupe favorisé et que sa façon de faire est inintéressante, mais aussi qu’il a peu de chance de réussir. Il y a intériorisation des milieux populaires d’une domination symbolique des couches supérieurs. D’où une remise en cause de l’utilité d’obtenir un diplôme (on va penser qu’on n’a de toute façon aucune chance), mais aussi de sa valeur en tant qu’individu. On le voit

qui peut se définir comme un ensemble de pression directe ou indirecte pour corriger les écarts de comportements à l’égard des normes adoptés par le groupe d’appartenance. L’apprentissage de ces normes ne se fait pas u n i f o rmément. Cette intériorisation peut re l e v e r d’une stratégie. Les mécanismes de la régulation sociale contribuent pour qu’une adaptation soit possible. 3. Le contrôle social C’est l’ensemble de processus par lesquels une société impose son contrôle pour maintenir une certaine

éléments socioculturels de son milieu, les intègres à la structure de sa personnalité sous l’influence d’expériences et d’agents significatifs et par là s’adapte à l’environnement social où elle doit vivre. * Processus durable, acquisition, intériorisation. Eléments socioculturels : Manière de se comporter, d’agir, Manière de penser, valeur, norme. Adaptation à son environnement sociale. * Influence d’expérience et d’agent significatifs Techniques, méthodes

méthodiquement des valeurs et des normes. Interaction : Les individus se comportent les uns en fonction des autres. Imitation : Les enfants imitent leurs parents. Apprentissage : Acquisition de valeurs et de normes qui guide les comportements. Intériorisation : Faire sienne les valeurs et les normes.

formelles et informelles, explicites et implicites ; la démarche scientifique. Fondements des règles : tradition, valeurs, maintien du lien social, fonctionnalité L’intériorisation des règles sociales, selon les sociétés et les époques Socialisation, intériorisation, exercice de la civilité, conformisme. Rôle de la famille, l’Ecole, l’armée, l’entreprise, les groupes de pairs, les associations … L'acteur social et l'exercice des libertés individuelles Liberté de conscience, d'opinion, d’expression, d’association

l’inconscient, car le cœur désire mais ne raisonne pas. * Dans la forme qu’offrent les quatre premiers vers, l’approbation par le « oui » est intériorisée, elle suggère le silence et la soumission qu’exprime plus loin les vers (5, 6 et 7), intériorisation embrassée par les « non » du refus et du rejet de la réalité dans les vers (1 et 4), * C’est de là que naissent la révolte et le bouleversement déclenchés dans le vers 8 par « le fou rire » qui rompt le silence et extériorise le conflit.

conscience de penser alors que je suis parfois dans l'opinion. « Le sophiste croit savoir quelque chose, alors qu'il ne sait rien » (Socrate) c- J'ai conscience d'être moi mais je suis peut-être aussi les autres en moi : le sur-moi comme intériorisation des lois venant des autres. FREUD Comment savoir qui suis-je vraiment ? III- Par quels moyens peut-on faire coïncider ce que je suis avec ce que j'ai conscience d'être ? Comment dépasser les incertitudes de la conscience de soi ? a- agir