Intériorité Du Personnages

Sartre : - conception de la conscience telle que la pensée de la phénoménologie d’Husserl.  Conscience = perpétuel mouvement vers l’extérieur. (je pense un arbre, je sors de moi-même vers l’arbre, mais je ne peux penser comme si il constitué mon intériorité.  extérieur à moi  essayer avec la conscience reviendrait au même CAR conscience n’existe pas. Descartes | | Sartre | - Cogito : 1ère expérience de vérité. | | - Impossible de savoir, l’intériorité de la conscience

Les liaisons dangereuses Marquise de Merteuil Portrait de Merteuil a- Une féministe qui revendique son altérité Le personnage de la Marquise, d’après le roman de Laclos, est un personnage hors normes pour son époque : elle est différente des autres femmes et elle a un caractère profondément féministe. Laclos a choisi de rester volontairement flou quant au passé de la marquise. Nous savons qu’elle n’a pas connu « une éducation cloîtrée » grâce aux soins de sa mère, féministe

Maison d’édition : Le LIVRE de POCHE Année d’édition : 1989 [1885] Nombre de pages : 417 Analyse du roman Le choix du roman Un roman long mais plein de péripéties, drôle, imitant au plus près le réel et dont l’histoire montre la réussite d’un personnage arriviste qui par ses pensées nous permet de pénétrer cet état d’esprit. C’est la réussite du mensonge, de la trahison, du reniement et de l’opportunisme. « Derrière chaque grand homme, se cache une femme » citation de Gabriel-Marie Legouvé, poète

réclamer plus de liberté et de démocratie. Deng Xiaoping mena une répression importante pendant toute l'année 1987 associant ces manifestations à une menace de libéralisation bourgeoise. Les œuvres mettent mal à l'aise car les représentations des personnages sont rebutantes avec une peau bien rose, brillante, qui ressemble à celle des brûlés s'apparentant à de la chair arrachée, avec des visages ressemblant à des masques de cire, grotesques, déshumanisés. « Si vous regardez les œuvres que nous avons

Envoyé par Delphine. MADAME BOVARY FLAUBERT I - LE RECIT 1) L’incipit Le récit débute puis se termine avec le personnage de Charles. L’incipit relate l’enfance de Charles et dépeind son caractère. En peignant Charles, Flaubert peint aussi l’élément essentiel du malheur qui attend Emma : la médiocrité de son futur mari. Le romancier insiste sur la faiblesse et l’intelligence limitée de Charles, pour ancrer par avance la déception d’Emma dans une réalité bien connue

Envoyé par Delphine. MADAME BOVARY FLAUBERT I - LE RECIT 1) L’incipit Le récit débute puis se termine avec le personnage de Charles. L’incipit relate l’enfance de Charles et dépeind son caractère. En peignant Charles, Flaubert peint aussi l’élément essentiel du malheur qui attend Emma : la médiocrité de son futur mari. Le romancier insiste sur la faiblesse et l’intelligence limitée de Charles, pour ancrer par avance la déception d’Emma dans une réalité bien connue du lecteur : l’insuffisance

influencer par cette quête de soi, obsédante, omniprésente et qui emprunte pourtant une infinité de directions selon les œuvres, selon les lecteurs et surtout selon ce que chacun a d’unique. Or, le roman s’applique souvent à suivre les pas d’un personnage dans les instants cruciaux de son cheminement identitaire. La sélection que propose le Roman des Romands offre ainsi différents livres qui s’inscrivent dans cette problématique existentielle. Dès lors, une même aspiration à la connaissance de soi

d’encre 1ière) - ch1 : « Fortune du roman », - ch 2 « Singularité du roman » - ch 3 « Expérience du roman » « Histoire littéraire : le roman au 17ième et 18ième » (SdE p62-63 et groupement de textes p64-73) + « Histoire littéraire : personnages de roman » (SdE p 20-21) D)ACTIVITES -roman et adaptation cinématographique : travail sur quelques séquences de « La belle personne » (C. Honoré 2008), avec L. Seydoux et L. Garrel -explications orales -écrit : préparation à la dissertation

texte ; une histoire c’est déjà qqchose de travaillé, d’organisé, sélectionné, on ne raconte pas tout; l’idéal du nouveau roman tende vers l’idée de tout raconter dans le détail mais même là le temps n’est pas le même. Une histoire se sont déjà des personnages, des rythmes, des événements sélectionnés. En plus de cela, une histoire a un sens : conclusion donnera le fin mot. LOGIQUE de l’histoire (événements fictifs ou non) • Le récit c’est un énoncé narratif (participe passé passif, qui a été et qui

référence qualité pour les bourgeois. Au salon officiel vont > exposer surtout les pompiers. Cad soit qui vient du pot Pomp > : art pompeux, soit qui vient du métier de pompier car les pompiers > portent des casques et dans les œuvres les personnages en portent > souvent. Salon des refusés!!! Il est mis au point en 1863 par Napoléon > III parce que les refus du salon officiel rejetaient beaucoup > trop d'artistes. On y découvre l'art moderne, les artistes > y discutent et se