Intériorité Du Personnages

pénétrante, minutieuse et profonde du cœur humain et un examen détaillé de la détérioration graduelle du sentiment amoureux qui conduit à l’échec. Cette étude traitera du problème de l’inconstance chez Constant, et plus précisément de l’instabilité du personnage d’Adolphe dans le roman éponyme, œuvre purement littéraire qui constitue un témoignage travesti de la personnalité complexe et ambigüe et de la vie sentimentale agitée l’auteur. Adolphe est un miroir de l’âme tourmentée de Constant. C’est la conscience

de l’imagination : la peinture (figurative), même si elle est entièrement d’imagination, représente toujours une ressemblance avec quelque chose de réel et de véritable. Même inventé, un personnage représenté aura toujours « des yeux, une tête… », cette identité dans tous les portraits existe même si le personnage n’existe pas (de même pour les êtres imaginaires), il y a toujours des éléments empruntés ou au moins des couleurs. Quelque chose résiste. De la même façon, les représentations (acte

l’ancien spectateur devient un membre de la troupe. Il fait son entrée comme partenaire à part entière dans les relations sociales avec les autres acteurs, et participe désormais au déroulement de l’action. ”) en endossant un rôle afin de jouer son personnage dans la société. Dans ce moment de contingence absolue, aucun rôle ne s’impose nécessairement, et pourtant il faut bien en choisir un pour entrer dans la représentation sociale, en fonction des nécessités de la situation. On peut bien dire alors

le thème principal est l'évasion dans la rêverie du bonheur par l'intermédiaire de la femme. En effet, dans le premier et deuxième vers, le regard du poète se ferme à la réalité et le loin en estompe les lignes. Le poète ainsi concentré sur son intériorité et blotti contre le sein de sa bien-aimée peut se laisser aller è la magie de son parfum. C’est donc le parfum de la femme qui permet le dépaysement du poète « Guidé par ton odeur vers de charmants climats » v. 9. Dans « La chevelure », Baudelaire

critique social, dans le passage évoquant les intellectuels français américains protestant aux frontières du Cambodge. De même, Kundera n’admet pas la médiatisation de la culture, cette façon de l’extérioriser, de l’exploiter au détriment de son intériorité qui selon lui constitue une complaisance à l’égard des médias, et la façon toute superficielle qu’ils ont de traiter les œuvres. C’est à cet effet qu’il est allé jusqu'à formuler une attaque particulièrement caustique que les journalistes culturels

En quoi la danse est-elle l’art du corps par excellence ? Nous sommes en 1910-1913. Rodin, à l’heure où sa renommée est déjà mondialement reconnue, élabore une série de 11 sculptures en terre cuite, d’une étonnante liberté, qui décrivent une série de mouvements de danse. Exprimer la vie des corps, rendre compte de leur énergie vitale, leur équilibre, leur force sont au cœur de l’œuvre de Rodin. Il n’est donc pas étonnant que ce dernier fut un grand amateur de danse : par la liberté des

ne peut être signifiant que dans l’instantané, que dans la résolution éphémère des contradictions intérieures. C’est ainsi qu’il faut percevoir le poème placé sous le signe du masque et de la mascarade, « Pantomime » des Fêtes galantes où les personnages de la Commedia dell’ Arte passent de la griserie à la grivoiserie, des larmes à la gaîté, de la rêverie amoureuse au dialogisme intérieur qui permet de faire « entendre en son cœur des voix », comme le poète fait entendre dans sa voix, plusieurs

le plus réussi (la meilleure représentation ) est celui (celle) qui paraît (ou est, en l’occurrence) vivant. Dans un musée, nous admirons particulièrement en effet les portraits expressifs, qui donnent l’illusion de la profondeur (celle d’une intériorité, reflétée par les traits du visage et surtout le regard) ; ou bien ceux qui semblent nous regarder, nous suivre du regard ; ou encore ceux qui s’imposent à notre attention par leur forte présence. Le but du peintre est donc de reproduire la vie

présent, le futur, le passé composé  adverbes et c.c.t. "relatifs" comme aujourd'hui, hier, demain... ou ici  mots avec sèmes évaluatifs, émotifs ou modalisants (peut-être) Dans un récit littéraire, on trouve du discours : 1. celui des personnages : cf. la ponctuation : deux points et guillemets, tirets. On rencontre la forme de présentation du dialogue. 2. celui de l'auteur / narrateur : il commente le récit (Stendhal, dans Le Rouge et le Noir). Il existe des formes mixtes : récit à

critique morale. Certains genres littéraires sont spécialement liés à la morale comme l’épopée, la satire, les apologues qui se veulent porteurs d’une leçon ou même le théâtre classique dans le jugement de certains personnages (cf. le jugement divin du personnage éponyme de Don Juan pour son comportement par la statue du commandeur au Vè acte) et ce trait ne tient pas qu’à la période classique en effet, au Moyen-Âge, il existait le genre de la moralité. La princesse de Clèves