Invention Mécanique Bergson

sociologie historique des sciences » (1997). Applications, inventions, innovations et économie de la science Articles détaillés : Innovation et Invention (technique). Le domaine de l'informatique est particulièrement concerné par les innovations. Ici, une puce informatique. L’« application » d’une science à une autre est l'usage qu’on fait des principes ou des procédés d’une science pour étendre et perfectionner une autre science. L'« invention » est d'abord une méthode, une technique, un moyen nouveau

scolaire5 ». Au cours de cette période, il approfondit ses connaissances en autodidacte par la lecture de livres de référence, comme ceux de Ludwig Boltzmann, de Helmholtz et de Walther Hermann Nernst. Son ami Michele Besso l’initie aux idées de la Mécanique de Ernst Mach. Selon plusieurs biographies, cette période de 1900 à 1902 est marquée par la précarité de sa situation : il postule à de nombreux emplois sans être accepté. La misère d’Albert Einstein préoccupe son père qui tente en vain de lui trouver

19ème (USA, Russie, Moyen Orient) et aux progrès du transport et de l’emploi de l’électricité (mise au point des lignes à hautes tension, utilisations domestiques grâce à la lampe Edisson, invention de la dynamo, tramway électrique…). * Les branches industrielles motrices : industries métallurgiques, mécaniques et chimiques : développement de l’automobile comme objet de consommation de masse aux USA dès les années 1920, naissance et progrès du transport aérien, constructions navales (paquebots)

mode de production et d’action humain reste pertinente pour penser la spécificité de l’action et de la production humaine. · La technique n’est pas (ou n’est plus) une habileté, un tour de main, ni un tâtonnement heureux qui aboutit à des inventions indépendamment des progrès scientifiques : pour être transmissible il lui faut être fondé sur des savoirs, des règles, des principes et non sur un talent (qualité individuelle difficilement transmissible). La technique et la science ont un rapport

technique est ce qui nous rend « comme maîtres et possesseurs de la nature. » (comme car c’est une réserve de la part de Descartes, Dieu étant considéré comme le vrai maître de la nature.) La technique apparaît à tel point comme un développement que Bergson propose de ne pas définir notre espèce comme "homo sapiens sapiens" mais comme "homo faber", un fabricateur plutôt qu’un savant. La valorisation de la technique comme facteur de progrès reste profondément ancrée dans la mentalité moderne : d’après

a compris que toute image est déjà une construction mentale, donc une sorte de « fiction », d’une part, et d’autre part que l’imagination créatrice ne nous détourne pas du réel mais au contraire nous permet de mieux le déchiffrer. C’est ainsi que Bergson nous montre que l’artiste « développe » le réel, de la même manière qu’un photographe développe un cliché photographique. Celui-ci resterait enfoui s’il n’était soumis à un traitement chimique approprié permettant de révéler l’invisible. Certains

chaussures, les lits, et de tirer les aliments du sol. Avec ces ressources, les hommes, à l’origine, vivaient isolés, et les villes n’existaient pas ; aussi périssaientils sous les coups des bêtes fauves, toujours plus fortes qu’eux ; les arts mécaniques suffisaient à les faire vivre ; mais ils étaient d’un secours insuffisant dans la guerre contre les bêtes ; car ils ne possédaient pas encore la science politique dont l’art militaire fait partie. En conséquence ils cherchaient à se rassembler

science. L'exemple le plus connu est celui de la machine à vapeur. C'est une réalisation pure du génie expérimental : la succession des inventions qui reposent sur des tâtonnements pratiques. L'explication scientifique des phénomènes viendra plus tard, avec un décalage de deux siècles et sera très difficile à donner. Nous sommes donc loin de l'enchaînement mécanique de la science et de la technique. La relation n'est pas aussi simple ; il y a de plus en plus d'interaction : toute recherche scientifique

Ionesco a recours à la répétition dans la scène 4 de La Cantatrice chauve, lorsque les Martin scandent chaque réplique qui mène à la reconnaissance par la phrase : ‘Comme c’est bizarre, comme c’est étrange, quelle coïncidence !’ Ici, c’est l’aspect mécanique qui déclenche le rire. Les différences de niveaux de langue créent eux aussi des effets cocasses et savoureux. Le pittoresque du patois paysan permet à Molière, dans une comédie comme Dom Juan, de creuser l'écart avec la langue soutenue

par les sens, ni un pur fragment d’étendue conçu par la raison. Il faudrait cesser de confondre la perception avec autre chose qu’elle (sensation ou intellection) et lui restituer sa spécificité. Un sujet pas à pas Dans cet extrait, Bergson met en lumière le rapport de la perception à l’action intéressée et leur dissociation chez l’artiste. Auxiliaire de l’action, elle [la perception] isole, dans l’ensemble de la réalité, ce qui nous intéresse  ; elle nous montre moins les choses