Irreprésentable

moyen de l’écriture. Deux options se dessinent : celle qui répond oui (Sarraute ; mais le « réel » qu’elle veut représenter est surtout psychologique) ; celle qui dit non (ARG). Une idée forte du Nouveau Roman (selon ARG), c’est que le réel est irreprésentable (« toute réalité est indescriptible », déclare ARG dans Le Miroir qui revient), l’univers est instable et inépuisable. En son sein, l’homme est désorienté : il n’y a plus d’idéologie rassurante pour l’interpréter, ni marxisme, ni religion. La

autant qu’elle est l’origine de la création et son achèvement dans le regard et l’écoute de celui qui s’y abandonne ? Rien de représentable, rien de visible ni de mesurable. Rien qui ressemble à un objet ! La Vie dans son essence subjective est irreprésentable, invisible. En un mot : abstraite ! Abstraite par rapport à la reconnaissance perceptive, la mesure scientifique des choses, la vision scientifique du monde. Michel Henry tire alors cette conséquence radicale : en un sens, toute peinture est abstraite

tu me l’aies cachée » (Breton, 1988, p. 752). Il est important de distinguer dans le récit de Breton l’amour, immatériel, 17 La place des hommes n’en est que plus significative et symbolique, puisqu’elles encadrent les autres. 14 irreprésentable mais aussi massif, du désir, protéiforme, enfant de l’image et de l’imaginaire. Les lieux photographiés sont généralement vides, comme en attente, eux-mêmes soumis au désir de combler une absence. Celle-ci s’insinue dans le livre sous ses formes

présent n’existe pas, on est toujours soit dans le futur soit dans le passé temps objectif lié à l’espace vs temps de la durée La durée, c’est un temps subjectif et relatif alors que le temps est extérieur à l’homme 3. Aporie de la représentation / irreprésentable - Pour Husserl, nous avons une « conscience intime du temps » qui nous permet de nous souvenir et qui intègre le « temps tel qu’il apparaît » Comment peut-on se représenter un temps externe dans lequel nous sommes et qui est en même temps le produit

automatisme mental dans l’ordre du regard. Nous trouvons les différentes modalités de son détachement, comme objet à la fois soustrait du champ de la reconnaissance, et venant se signaler à l’attention, voire à l’angoisse du sujet, comme objet irreprésentable. Cet automatisme est lié à une séparation selon une structure « en écho » des traits fondamentaux de la représentation. Les diverses observations menées ont permis de montrer l’incidence subjective du regard qui, lorsqu’il ne reconnaît et n’identifie

thématique et la rhétorique. Le poids des mots accompagne le choc des images. Ainsi, s’opère dans les médias une rhétorique de l’image où le drame humain primerait sur l‘événement même. Le direct produit l’expérience d’un présent insaisissable, irreprésentable comme présent parce que, à peine perçu, il est déjà passé ; mais pour cette raison même cette immédiateté est propice à la propagation des émotions, car il reste à raconter et à re-raconter. Il permet de passer d’une émotion comme suspens du sens

autant qu’elle est l’origine de la création et son achèvement dans le regard et l’écoute de celui qui s’y abandonne ? Rien de représentable, rien de visible ni de mesurable. Rien qui ressemble à un objet ! La Vie dans son essence subjective est irreprésentable, invisible. En un mot : abstraite ! Abstraite par rapport à la reconnaissance perceptive, la mesure scientifique des choses, la vision scientifique du monde. Michel Henry tire alors cette conséquence radicale : en un sens, toute peinture est abstraite

diversité comme telle. Ceci constitue un problème : le divers n’est il pas donné comme tel en tant que contenu de la sensation ? Pourquoi a-t-on besoin d’un acte supplémentaire de l’esprit pour comprendre cette diversité ? La diversité pure est irreprésentable, tant qu’elle n’a pas été parcourue et liée dans une unité ; cette unité c’est une représentation empirique. Contrairement à l’empirisme, la multiplicité n’est pas donnée dans la perception, car “ en tant que contenue dans un moment, toute

qui s’y met en scène est un fantasme de maltraitance de cet enfant, le « mauvais » traitement médicamenteux venant à la place du mauvais traitement de son aîné. C’est aussi un fantasme partageable entre nous qui vient à la place d’une réalité irreprésentable, non seulement pour l’enfant puisqu’il ne la connaît pas, mais encore pour sa mère qui ne peut pas en parler. Dans ce fantasme, au départ le père maltraitant qu’est le « mauvais docteur » est encore à l’extérieur de l’équipe. En rapatriant la

contraste avec 2 propositions très courtes qui ferment le paragraphe  conclusion lapidaire = ironie auteur : objet grotesque est neuf & sa visière brille donc attire les regards.  ces 2éléments sont discrédités par ce qui précède Casquette irreprésentable, absence de fonction référentielle = rapport avec réalité Casquette = objet de langage, construction littéraire = moment plaisir littéraire de Flaubert b) Une représentation originale du personnage Description casquette rôle essentiel pour