Isotopie

respect des forêts. La utilisation de la deuxième personne du singulier ("te couper") marque la création de l’idée d’un lien9 de proximité, de connaissance voire d’intimité entre la forêt et le poète. Le poème commence sur une tonalité très violente. Isotopie de la violence : "couper"(v2), "dure congnée"(v2), "s’enferrer"(v3), "coupa" (v.5). THÈME!!!!!!!!! La malédiction lancée par le poète se développe selon le parallélisme biblique: «oeil pour oeil, dent pour dent » . L’idée de

limites. I. Un roman propre au mouvement littéraire classique a) Style esthétique clair et bref : *Le portrait de La princesse de Clèves : pureté du langage, omni présence de la beauté => dimension exceptionnelle. Portrait physique très élogieux, isotopie de la clarté : « blancheur », « éclat » Dimension angélique => Plait au lecteur, ne le choque pas. Limpidité du langage et vocabulaire épuré « éclat » «  honnête femme ». * art de l’écriture : constance régularité, écriture classique, omniprésence

Les « glaïeuls » sont des plantes d’eau mais aussi des gerbes mortuaires. « La nuque baignant dans le frais cresson bleu » : liquidité qui fait penser au sang. « Tête nue » : il ne porte donc plus son casque … Oscillation constante entre les isotopies de la mort et celles du sommeil. Une contamination progressive et dramatique Esthétique picturale qui fait penser au cadrage du cinéma : plan général sur le vallon puis rapprochement progressif vers le soldat, parcouru des pieds à la tête jusqu’au

comment poète réécrit l’histoire récente de la France pour ériger Marguerite en ultime rempart VS guerre et l’ignoranceQ1 = âge d’or lettres et arts, heureux temps du règne de François 1er• Emploi des temps du passé• Adj mélioratifs au superlatif• Isotopie lumière et fructification, images de la maternité // A30 : fertilité• v1-2 : allitération en [l] : temps de l’harmonie• « dessous » : image d’un roi stellaire, comme un astre ; rayonnement• plusieurs enjambements/rejets : continuité, harmonie, comme

des syntagmes (des chants et des folies ; deuils et fureurs ; mitraille et fusillade). Un lexique dysphorique, une caractérisation négative Sur le plan lexico-sémantique, le texte développe, par le biais d'un lexique dysphorique, une isotopie lexicale (champ lexical) de la guerre et de la destruction : funestes traces – deuils – fureurs – atrocités – mitraille – fusillade – massacre – haine…Combinée à une forte caractérisation négative (cf. l'atrocité ; la haine ; les excès ; les représailles…)

les objectifs d’un mouvement. 1) Les procédés d’écriture: Plusieurs grandes catégories de procédés. Le vocabulaire: a) Sens des mots (définition particulière et contextuelle). b) Réseaux de mots [champs lexicaux] (répétions, association et isotopie) La grammaire: a) Genre et le nombre des mots. b) Forme verbale (affirmative, interrogative, expressive, etc.). La phrase: Simple ou complexe, longueur, syntaxe. La ponctuation: Fréquence, type de signe utilisé (points d’exclamation, points

hyperbolique: "les princes et les peuples" (l.20) Tr: Cette mort est à l'origine d'un bouleversement. 3) évènement d'une grande violence ==> connotation surnaturelle soulignée par l'adverbe d'intensité : "un mal si étrange" (l.13) * isotopie (redondance d'éléments significatifs dans un texte) de la désolation et de la ruine. * exclamation dramatisée par l'anaphore de l'interjection :"Ô nuit effroyable ! Ô nuit désastreuse" (l.9, 10) * adjectifs renforcés par les adverbes de quantité

une connotation de familiarité. Par conséquent, la fin de phrase « nos souvenirs d’indigents absurdes, notre jeune misère » n’est pas sans connoter et confirmer une amertume, une frustration. Par ailleurs, il semble que l’on soit en présence d’une isotopie de l’incongruité, de l’inopportun, de l’inadéquat dans les deux premiers paragraphes du texte. En effet, la touche lyrique initiale « Ô » ne manque pas d’incongruité ; le surgissement du vent du sud ne concorde par avec le mois de février ; le choix

modernité: introduire mouvement dans la stabilité)= cohabitation primitive avec une architecture régulière ; «droits».-donc l'accès à la beauté se fait grâce au phénomène des synesthésies: lexique des sens. b)Renvoi aussi à un idéal spirituel. L' isotopie de la spiritualité,et la série d'éléments renvoyant à l'élévation «piliers» et la diérèse à «cieux» donne de l'allongement, de l'ampleur et rend compte de cette élévation. A cela s'ajoute le bruit de la mer qui lui donne une sorte de spiritualisation

fait de l'ouvrage un livre inégalable. II - Enjeux, principes et difficultés : Rousseau assigne à son entreprise des fonctions bien précises. A- Les enjeux : Rousseau écrit son autobiographie surtout pour justifier son existence et ses choix (isotopie du jugement, de la moralité) , mais c'est essentiellement au jugement suprême, celui de Dieu, qu'il s'en remet. Il veut rectifier l'opinion déformée que ses contemporains ont de lui. « Si la nature a bien ou mal fait de jeter le moule dans lequel