Je N Ai Aucune Expérience Du Moi Hume

­ Origine de nos croyances morales  ­ Examiner « la valeur des valeurs »  ­ La morale est d’abord une affaire de pulsions     ∙         ​ B. Mais, n’y a­t­il pas un sens inné de la morale ?  ­ Etat de nature / état civil  ­  Opposition Hobbes / Rousseau  ­ Pitié  ­ Expérience de Milgram           ∙       ​ A. À première vue, la morale vient de notre éducation :    Origines de nos croyances morales :  Idée principale : la généalogie de la morale (Nietzsche)  Nietzsche ­> « ​ Généalogie de la morale​  »  Il explique dans ce livre les origines de la morale

parvenir. Dans les temps classiques, on dit que « le vrai caractérise la chose immédiate où encore l'exactitude de l'énoncé ». Alors que le mouvement du réalisme fait son apparition à cette époque, on constate que son éminent représentant est sans aucun doute Platon. Cicéron avait déclaré que Platon fut « le philosophe grec le plus grand ». Platon croit que la philosophie ne s'enseigne pas, qu'elle ne peut être appris avec la lecture d'œuvres et c'est pourquoi qu'il fut dit lors de son existence:

Cependant placés dans une solitude absolue serions-nous vraiment capables d'y rester ? Qu’est ce qu’être soi-même ? C’est une attitude, qui veut dire être naturel, faire ce que l’on veut. Être libre de dire, de faire et de penser comme on l’entend sans aucune honte, ou quelconque retenue. On a en quelque sorte une capacité à faire abstraction du jugement des autres. C’est avoir une identité propre à soi-même, une personnalité, s’assumer tel que l’on est réellement, ne pas dépendre de la société. Que signifie

est surtout utile dans les sciences mathématiques, qui l’emploient dans les démonstrations, forme particulière de syllogisme qui permet uniquement de montrer la vérité du rapport entre deux propositions, c’est-à-dire la logique de leur enchaînement. Hume nous l’expose bien dans son Enquête sur l’entendement humain, l’enjeu d’une démonstration est uniquement sur la cohérence de l’enchaînement des propositions qui la composent et non sur leur fond. Russel affirme dès lors que « les mathématiques sont

ces unités simples observent entre elles un ordre de détermination réciproque. La beauté de l’ensemble présuppose l’accord des parties entre elles et avec le tout grâce à l’ordre et à la proportion. Inversement sera laid ce en quoi on ne discerne aucune possibilité d’agencement des parties sous une forme commune, ce qui ne présente ni ordre ni proportion. Seront laids le déplacé, tout ce qui n’occupe pas son rang dans un ensemble, donc aussi le désordre, le disproportionné, le disloqué. 3 La simplicité

montre dans l’exemple du cinabre : «aucune synthèse empirique de la reproduction de pourrait avoir lieu » si tel n’était pas la cas (Critique de la raison pure). L’existence d’une légalité qui régule tout cela est donc nécessaire, étant donné que Kant perçoit l’Univers comme une mécanique. Le principe de raison des phénomènes est donc absolument nécessaire, comme le montre la citation suivante : « le principe de raison est donc le fondement de toute expérience possible, c’est à dire de la connaissance

Galton, du modèle des statistiques, lequel avait précisément été employé par Quételet pour sa conception de l’homme moyen, que Comte réprouvait. Je pense que ce n’est pas un hasard si l’autre branche du positivisme, le positivisme empiriste issu de Hume, dont Stuart Mill est la figure essentielle, a adopté une attitude tout autre vis à vis de la psychologie. Tout d’abord, le positivisme millien est associationniste, et vise à énoncer des lois de l’esprit (les lois d’association). D’autre part il

est un effort pour circonscrire les limites du jugement moral de façon à ce qu’il entrave le moins possible la liberté individuelle (// De la liberté de J. S. Mill, chap III). Bentham (//Beccaria : action publique des juges) prolongeant les idées de Hume prend le tournant décisif en faisant porter l’analyse sur l’action et ses conséquences et non plus sur les motifs de la conduite. Bentham : dénonciation de l’iniquité des peines dont le but était de satisfaire l’esprit de vengeance de la société et

Mill appelle « intuitionnistes », qui ont en commun de considérer que la distinction entre le bien et le mal est un fait inexplicable. Ce courant inclut selon lui aussi bien, par exemple, la morale kantienne – fondée sur la raison – que celle de Hume – fondée sur le sens moral. Mill veut montrer que « l’autre » théorie, c’est-à-dire l’utilitarisme, peut au contraire expliquer très préci- sément la distinction entre le bien et le mal. C’est ce qu’il va faire dans ce deuxième chapitre en répondant

responsabilité  et  tel  est  le  projet  d’Hannah Arendt.  La  rupture  dans  la  tradition est définitive, elle s’oppose ainsi aux conservateurs qui veulent y revenir. Maintenant, il faut  penser autrement car l’autorité réconfortante des anciens, leurs expériences, les absolus (le beau, la  morale  idéale,  la  liberté,  le  juste) ne  sont plus. Hannah Arendt ne  sombre pas pour  autant dans  le  relativisme d’un monde où « tout se vaut ». Dans le chapitre « Pensée et action » de Édifier un monde,  Hannah