Jean étienne Portalis

éminents juristes :  François Denis Tronchet, Félix Julien Jean Bigot de Préameneu, Jean-Étienne-Marie Portalis et Jacques de Maleville pour rédiger le  projet de « Code civil des Français », sous la direction de Cambacérès. Ce Code voulu par le premier Consul Bonaparte a été l'un des éléments  clés de l'unification juridique de la France. Les quatre rédacteurs proviennent de lieux très différents ; deux sont de pays de droit écrit (Portalis et Maleville), et les deux autres, de pays de coutumes (Bigot

Portalis Le Discours préliminaire du Code civil fut prononcé par Portalis, devant le Conseil d'État, en 1804, par la commission de rédaction de ce qui allait devenir le Code civil. Signé par les quatre « rédacteurs » du Code civil, Portalis, Tronchet, Maleville et Bigot de Préameneu, ce texte d'environ 70 pages est dû à la plume de Portalis. L'auteur expose l'esprit dans lequel les rédacteurs ont travaillé, les caractères de l'œuvre qu'ils ont voulu réaliser. La volonté d'une codification notamment

(année de son accession au rang d’empereur, justement). Mais avant qu’il soit promulgué, il faut evidemment qu’il soit rédigé. Il a donc été rédigé a partir de l’an 1800 par 4 hommes, Félix Julien Jean Bigot de Préameneu, Jacques de Maleville, François Denis Tronchet et Jean Etienne Marie Portalis. Ce dernier, dans son Discours préliminaire du premier projet de Code civil, nous donne son idée de code civil : il doit servir a régler les questions de manière juridique surle mariage, l’etat des enfants

BIOGRAPHIE DE PORTALIS Portalis (Jean-Etienne-Marie). Né à Beausset (Var) le 1er avril 1746, mort à Paris le 25 août 1807 ; fit ses études chez les oratoriens de Toulon et son droit à Aix. Il début dans le barreau vers 1763, en même temps qu’il se fit connaître dans les lettres par ses observations sur l’ouvrage intitulé Emile, ou De l’Education, et fut un des quatre administrateurs électifs de la Provence, connus sous le nom de procureurs du pays. ; député aux Etats de Provence, s’y fit remarquer

DISCOURS PRELIMINAIRE SUR LE PROJET DE CODE CIVIL (21 JANVIER 1801) – JEAN ETIENNE MARIE PORTALIS La fin de la terreur Tragédie de Robespierre : l’amour, l’armée, la trahison se côtoient. Comité de salut public : 10 personnes qui transmette a la convention, les décrets de la terreur est une œuvre collective La terreur est un système de gouvernement, une idéologie La question est de sauver la république ou de la voir mourir (soit on la sauve soit on la laisse) La fin justifie- t- elle les moyens 

Commentaire de texte Discours préliminaire du premier projet de code civil, Portalis Depuis le 21 mars 1804, le Code civil des Français, plus connu sous le nom de code Napoléon, domine non seulement la France, mais de très nombreux pays en Europe et hors d'Europe. C'est au début du XIXe siècle que le recours a la codification à été nécessaire. En effet, sous l'Ancien Régime, de nombreuses coutumes s'appliquaient sur le territoire, mais elles variaient selon les régions. Ainsi, le droit

Étienne Vatelot Incontestablement considéré comme le plus grand Luthier-Expert français d'aujourd'hui, Étienne Vatelot a eu une carrière remarquable, côtoyant les plus grands musiciens tout en étant une référence pour eux. En effet, son art ne sera pas porté vers la fabrication, mais bel et bien vers l'entretient, la réparation et l'expertise des instruments du quatuor à cordes. Il a ainsi eu comme clients les grands noms, mettant en jeu les plus grands instruments du quatuor, tel Yehudi Menuhin

Commentaire des extraits du discours préliminaire du premier projet de Code civil prononcé par Portalis le 1er pluviôse an IX. « Général, c’est le plus grand monument qui se puisse élever à une nation qu’un code des lois. » Portalis à Napoléon Bonaparte ; la rédaction du Code civil est une mission des plus importantes car à l’échelle de la Nation. Ce projet de Code civil est essentiellement à l’initiative du Premier Consul Napoléon Bonaparte, à la fin du XVIIIe siècle, dans le but d’unifier

(1) Napoléon veut établir un catéchisme uniforme dans tous les diocèses de l’Église de France. Un conseiller d’état chargé des cultes est nommé en 1801; Jean Etienne Marie Portalis qui devient en 1804 ministre en titre des cultes. (1)(2) Une version originelle est prête en septembre 1803 écrite par l’abbé d’Artros, neveu de Portalis. Il est largement inspiré du catéchisme historique de Claude Fleury (1683) et du catéchisme de Bossuet (1687). Les évêques sont tenus à l’écart durant l’élaboration

par un retour partiel aux institutions autoritaires de l’absolutisme : ce texte de référence unique, qui permet aux citoyens d’avoir une connaissance aussi précise que possible de ce qui est prohibé, concrétise ainsi une maxime du juriste Jean Etienne Portalis, l’un des principaux rédacteurs du code civil de 1804, affirmant qu’il ne saurait y avoir de crimes ou de délits sans qu’ils soient, d’une part, précisément définis et regroupés dans un seul texte, et d’autre part, sans qu’y soient associées